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Stornoway est le village jouxtant l'édifice de la W.I.S.E. La route entre les deux se fait, à pieds, en une vingtaine de minutes et offre une vue spectaculaire des plages qui bordent l'île. Village tout près des montagnes est traversé d'une rivière se jetant dans la mer, charmant et pittoresque, Stornoway - à force de cohabiter avec la W.I.S.E. - est devenu un village entièrement sorcier où il fait bon vivre et travailler. Là-bas vous y retrouverez également le quartier Coigrich, un quartier qui, depuis quelques années, s'est naturellement développé avec l'arrivée d'étudiants aux origines multiples à la W.I.S.E. - sur la rue Goathill. Restaurants italiens, japonais, coréens et même canadiens y ont vu le jour. Salles de bowlings, de karaokés, petits salons de thé, boulangeries, bibliothèques, magasins de musique, terrains de foot, studios de danse, gymnases et bars ont pointés lentement le bout de leur nez, faisant maintenant compétition aux édifices ancestraux présent depuis bien longtemps dans les rues de Stornoway.
welcome sur Memor Mirificus, un forum University/City/HP de type fantastique ou vous pouvez incarner moldus, sorciers ou cracmols. Le jeu se déroule a Stornoway sur l'île de Lewis, là ou la première université pour sorciers et moldus a ouvert ses portes. Vous aurez sept jours pour terminer votre fiche. aucun nombre de RP par mois n'est demandé, ni de ligne minimum par réponse.
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TOUT NU ET TOUT BRONZÉ. [Avertissement RP coquinou] [RP roulette] [PV Popo]

Mar 13 Déc - 8:57
C’était trop beau pour être vrai. Evidemment que ça allait se terminer ainsi.

« —Madame ? »

Plus les minutes s’écoulaient, et plus cela devenait évident qu’elle ne reviendrait pas. Poussant un soupir profond, Drystan regarda avec désespoir ses deux poignets qui avaient été noués par un sortilège aux barreaux du lit. Il ne savait pas où était sa baguette, pas plus que ses vêtements qui avaient disparus en même temps que la journaliste.
Ce n’était pas le moment le plus glorieux de son existence.

Un nouveau soupir, et il entreprit la seule solution qu’il voyait à son problème le plus immédiat, dénouer ses liens avec les dents.

FLASHBACK.

Drystan n’en crut pas sa chance lorsque cette femme, élégante, distinguée, séduisante, l’aborda un jeudi soir au Bloody. Il ne savait quasiment rien d’elle : que faisait-elle dans ce bar un soir de soirée étudiante, qu’est-ce qu’elle lui voulait, ni même quel était son nom. Elle prétendait être une journaliste de passage dans le coin. Il ne savait pas si c’était vrai, mais très honnêtement, il s’en fichait. La journaliste avait l’air de quelqu’un qui pouvait lui régler sa note à la fin de la soirée, ce qui arrangerait pas mal Drystan parce qu’il avait déjà bu pour plus qu’il n’en avait les moyens. Et puis si Aglae pouvait le voir, si elle pouvait admettre qu’il n’était de toute évidence plus un gamin et qu’il pouvait plaire à des femmes bien plus âgées qu’elle, il aimerait bien ça, lui faire ravaler son râteau à cette connasse.
Mais ce à quoi Drystan ne s’était pas explicitement attendu c’est qu’après avoir payé ses boissons et les siennes, la journaliste lui proposa de continuer leur conversation dans un endroit plus tranquille.

A peu près certain que le Larkspur Tea Room était fermé à cette heure-là, il fut surpris de constater que l’endroit plus tranquille auquel elle pensait était en fait une chambre à l’auberge de la Tête de Sanglier, et encore plus surpris de se retrouver attaché aux barreaux d’un lit et épluché de ses vêtements un par un.

Soit la sorcière détestait particulièrement le désordre, soit elle savait comment faire monter la tension —qui honnêtement était déjà à son comble du côté de Drystan— car elle prit le temps de plier chacune de ses affaires et la ranger soigneusement dans son petit sac à main.
Il crut qu’il allait s’évanouir, ou peut-être bien mourir de bonheur lorsque la journaliste déboutonna sa chemise pour mieux dévoiler son soutien-gorge. Un soutien gorge !!! Un pas une des ces brassières pour petits tétons qu’il avait pu apercevoir occasionnellement dans les vestiaires de Quidditch (à part ceux de Ruth mais il ne voulait pas penser à sa soeur de coeur dans un moment pareil, merci bien). Un vrai, en dentelle, comme seules les cougars en portaient dans son imagination, et apparemment dans la vraie vie aussi.

Il était maintenant évident que plus rien ne pourrait le séparer de son destin. Ce soir, grâce à cette inconnue, il allait enfin devenir un homme. Sauf que ce soir, à cause d’un hibou qui vint toquer du bec à la fenêtre, il allait repartir aussi innocent qu’il était venu.

« Je dois filer ! » s’exclama la jeune femme après avoir rapidement lu le message que le hibou apportait dans son bec.

Sans prendre le temps de s’expliquer, ni même reboutonner sa chemise d’ailleurs, elle jeta la sangle de son sac à main sur son épaule et monta sur le rebord de la fenêtre.

« Désolée, le boulot. On remet ça ! »

Elle sauta dans le vide, et le bruit d’un bouchon de bouteille de champagne lui indiqua qu’elle avait transplané.

RETOUR DANS LE PRESENT.

Bon.

Voyons voir.

D’abord, il venait de se faire planter, ça c’était un fait. Il blâmait secrètement Aglae, parce que si elle ne lui avait pas brisé le coeur pour commencer, il n'aurait pas essayé de lui envoyer son bonheur à la figure, et il n'aurait jamais suivi cette folle lubrique là où il en était à présent. Et aussi, parce que c'était plus facile de blâmer quelqu'un d'autre plutôt que lui-même

Il n’avait plus de fringues, si ce n’était ce drap de lit qu’il avait noué comme une toge autour de ses hanches, et il n’avait plus sa baguette non plus. A l’heure qu’il était, elle était probablement toujours dans la poche de sa veste, qui était elle-même dans le sac de cette femme, qui était il ne savait où et dont il ne savait même pas le nom.

GG Wojciech.

Sans sa baguette, il ne pouvait pas transplaner hors de la chambre, et de toute façon, celle-ci était sûrement protégée pour empêcher les coquins de partir sans payer.
Parlant de partir sans payer…il doutait fort que la sorcière ait pris le temps de s’arrêter à la réception de l’auberge pour payer sa note. Et Drystan n’avait plus un sou en poche, sans compter qu’il n’avait même plus de poche.
Il envisagea un instant d’emprunter la même sortie, mais vivre ses derniers instants comme le type qui avait grimpé sur la fenêtre d’un hôtel avec sa saucisse à l’air et ensuite mourir nu et désartibulé parce que transplaner en plein vol, il ne faisait pas ça tous les quatre matins, ce n’était pas vraiment la fin digne qu’il espérait avoir. Et même si il avait su faire ça, il n'avait toujours pas sa baguette. C'était le serpent qui se mord la queue.

De toute évidence, et à son grand désespoir, il n’allait pas pouvoir se sortir de cette situation tout seul.

Drystan se pencha à la fenêtre que sa cougar avait laissée ouverte. Il était tard, mais pas suffisamment pour que les rues de Pré-au-Lard soient complètement désertes. Un type passa sous sa fenêtre. Tant pis pour lui. Qu’il le veuille ou non, ce type était celui qui allait l’aider.

« Psssst ! Toi ! Hey, toi là ! File-moi tes fringues ! »
Anonymous
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Mar 20 Déc - 12:11
C’est la tête bien lourde que Pollux avançait dans les petites ruelles de Pré-au-lard. Ses pas écrasant la neige dans un bruit hypnotisant sur lequel il ne pouvait que se concentrer. Autours de lui, tout était calme… obviously quand on allait prendre un verre un mardi soir plutôt que de travailler comme tout le monde sur la tonne de devoir tout frais donné tout autant par Arista, Ulanovski et Nutcombe - vraiment c’était une mutinerie contre leur vie sociale - c’était plutôt logique qu’il se retrouve seul. Pour être tout à fait honnête, il l’avait un peu chercher aussi, il ne s’était pas précipité à la salle commune des gryffondors pour allez chercher Sara, ni même à celle des Pouffsouffle pour - aisément - convaincre June de venir prendre un verre avec lui. Et puis, même pas la peine de penser à Tobias, il avait une réputation à tenir, des notes à entretenir, il voulait être le meilleur et… Pollux respectait ça.

Si ce n’était qu’être le meilleur ne l’intéressait pas. Si c’était pour rester planté tous les soirs à bouquiner toujours le même sujet redondant.

Enfin, tout ça pour dire qu’il avait attendu toute la journée pour s’enfuir de l’atmosphère étouffante de Poudlard. Les fêtes se préparaient lentement, les gens étaient excités pour un rien, la date de la prochaine sortie pour Pré-au-lard avait été annoncé et les troupes de filles gloussantes allaient et venaient entre les troupes de gars mal à l’aise, espérant se faire inviter à un rencard, espérant se faire remarquer, espérant trouver leur premier amour.

Tsss.... c’était malaisant tout ça. Rien qu’aujourd’hui il avait assisté à cinq rejet (dont trois venant d’un groupe de gars de 4ième année qui avaient essayé de convaincre Nutcombe d'aller en rencard avec eux.) C’était quoi cette idée de tomber sous le charme de ses professeurs?

Pollux rigola en pensant à la ligne de filles qui devait suivre Cael en ce moment et se dit qu’être caché à Pré-au-lard était vraiment la meilleure idée qu’il ait eu de la journée… si ce n’était qu’il ne pouvait pas rire de la tronche de son frère lorsqu -

« Psssst ! Toi ! Hey, toi là ! File-moi tes fringues ! »

Pour le coup, Pollux sursauta légèrement, cherchant autours de lui qui l’avait appelé… et surtout - why in hell il devrait donner ses vêtements à qui que ce soit. Pourtant à première vu, il ne semblait y avoir personne… l’alcool le rendait peut-être fou? Un verre de fire whisky de trop peut-être? C’est l’ombre projetée par une fenêtre sur la neige à ses pieds qui attira son attention et, instinctivement, il leva les yeux pour mieux comprendre.

Chose qu’il regratta aussitôt.

«What the f*ck Wojciech?» fut tout ce qu’il réussit à dire alors qu’il plissait les yeux pour mieux voir Drystan à contre-jour. Pollux enfonça ses mains un peu plus loins dans les poches de son manteau, avec la ferme intention de faire demi-tours.
Anonymous
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Mar 17 Jan - 15:52
Hevelius ! Merlin soit loué, c’était Hevelius ! Un copain d’école, il allait forcément l’aider !
Drystan n’aurait jamais cru être content de trouver un visage familier dans une situation comme la sienne. Cela dit, il n’aurait jamais cru se retrouver dans ce genre de situation tout court, alors il pouvait sûrement encore être bien surpris.
Les yeux brillant d’espoir, il attendait impatiemment que son sauveur vienne le sauver. La lueur d’espoir se transforma en détresse lorsqu’Hevelius sembla faire demi tour.

« Eh ! Attends ! » Merlin, comment il s’appelait, ce con ? « Felix ! »

Drystan se pencha à la fenêtre, ses épaules nues toute grelottantes dans le froid de Décembre. Le vent lui battait le visage, lui faisant rosir les joues et voler ses mèches blondes en auréole.
Mais Felix ne semblait pas vouloir s’arrêter pour l’aider, et Drystan n’allait pas laisser filer ainsi ce qui serait probablement son unique chance de préserver sa dignité. Il ne savait pas combien de temps cela prendrait avant qu’un autre pèquenaud pointe son nez à un heure aussi avancée de la soirée, surtout par un froid de canard comme celui-ci. Ça lui faisait mal de l’admettre, mais Hevelius était son seul espoir.

Et si ce grand con aux longs cheveux blonds —encore plus longs que ceux de Drystan avec en plus de belles vagues qui ne le rendaient pas du tout jaloux— était trop idiot pour s’en rendre compte, il allait le forcer à le faire.

S’éloignant rapidement de la fenêtre, il attrapa autant de coussins que ses bras pouvaient en tenir, courut de nouveau à son poste et entreprit de les lancer consciencieusement un à un dans la tête du Serdaigle.
Et puis au cas où ce geste vraiment réfléchi ne serait pas suffisant pour attirer son attention, il jeta aussi le drap qu’il avait noué autour de la taille pour protéger son intimité. Chose qu’il regretta immédiatement, mais son acte désespéré avait au moins eu le mérite de tomber pile sur la tête d’Hevelius, lui donnant l’air de Casper le petit fantôme —pas celui que les moldus connaissent à la télévision, mais le fantôme d’un adolescent mort étouffé en essayant de changer sa housse de couette.

« TU. VIENS. ICI. Troisième étage, chambre 307. Et magne-toi, ça caille ! » fit-il avant de s’empresser de refermer la fenêtre et d’attraper une paire d’oreillers qu’il plaça de chaque côté de lui, attendant avec appréhension.
Anonymous
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