Leo Purple Lockhart

Leo Purple Lockart est le fils du professeur Lockart et de Rita Skeeter. Un concentré de tout ce qui a fait la grandeur de ces personnages : égo surdimensionné et potins acérés.

Car en effet, Leo est un jeune homme qui ne manque pas d’ambition, il a lancé son propre journal de l’école le « Lockart & Hogwart, (votre daily Purple favoris.) » où il s’applique à y décrire les moindres frasques de la vie à Poudlard, tenant une liste des couple de l’école à la place de la rubrique obsèques, écrivant des pages et des pages de ragots (bien souvent infondés) sur élèves/professeurs/spectres/calamar géant en fonction de ce qui s’écoulera le mieux ou de ce qui lui ferais plaisir d’écrire sur le moment.

Comment ? On raconte que Drystan ne fréquenterait pas de filles de plus de 15 ans ? « Plus elles sont jeunes plus je les trouve attirantes, c’est vrai. Il y a quelque chose de charmant dans le regard des enfants. » Avoue-t-il à la rédaction.

Des rumeurs circulent également sur cette Olivia, en effet, comment se fait-il qu’une américaine soit à Poudlard ? Clandestine ? Réfugiée politique ? « En tout cas je me demande bien ce qu’elle cache dans sa coupe afro ! » Nous confie une élève qui à préférer garder l’anonymat.

Vous êtes outrés ? Choqués par ces propos ? N’hésitez pas à venir voir Leo, il se fera un plaisir de recevoir vos commentaires. Avant d’en écrire sur vous.

Ce qu’aime Leo c’est l’attention. Qu’on parle de lui, en bien ou en mal, peu importe ! Lui est persuadé d’être au cœur de toutes les discussions et ne peut s’empêcher de s’incruster dans les groupes de filles en leur lançant avec un sourire étincelant : « Salut les donzelles, alors, on parle de moi ? » « Donzelles » « nénettes » « minettes », Leo se voit comme un « sacré galopin ». Son attitude ringarde s’accorde parfaitement avec ses tenues, robe fuchsias étoilés et chapeau extravagant, Leo à tout piqué à son père à ce niveau-là.

Il pourrait pourtant être charmant avec sa tête de blondinet et son corps à faire rougir plus d’une lectrice de « 50 nuance de Grindelwald », mais tout est gâché par son ego surdimensionné qui ressort par tous ses ports.

Leo travaille à son œuvre avec ferveur, espérant probablement que le Lockart & Hogwart soit le tremplin qui le mène à la célébrité. Il a pour habitude de s’afficher sur la couverture de son journal et à moins qu’il ne parvienne à capturer un cliché particulièrement saisissant de McGonagall faisant du pole dance, vous risquez de devoir supporter tous ses sourires Colgate et autres clin d’œil fripons.

Même s’il vous apparaît comme une vaste plaisanterie, méfiez-vous de lui car il peut faire et défaire les réputations d’un coup de plume a papotte, si bien que l’on pourrait finir par entendre :

« Voldemort est une menace au loin. Lockart est une menace au quotidien. »