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Stornoway est le village jouxtant l'édifice de la W.I.S.E. La route entre les deux se fait, à pieds, en une vingtaine de minutes et offre une vue spectaculaire des plages qui bordent l'île. Village tout près des montagnes est traversé d'une rivière se jetant dans la mer, charmant et pittoresque, Stornoway - à force de cohabiter avec la W.I.S.E. - est devenu un village entièrement sorcier où il fait bon vivre et travailler. Là-bas vous y retrouverez également le quartier Coigrich, un quartier qui, depuis quelques années, s'est naturellement développé avec l'arrivée d'étudiants aux origines multiples à la W.I.S.E. - sur la rue Goathill. Restaurants italiens, japonais, coréens et même canadiens y ont vu le jour. Salles de bowlings, de karaokés, petits salons de thé, boulangeries, bibliothèques, magasins de musique, terrains de foot, studios de danse, gymnases et bars ont pointés lentement le bout de leur nez, faisant maintenant compétition aux édifices ancestraux présent depuis bien longtemps dans les rues de Stornoway.
welcome sur Memor Mirificus, un forum University/City/HP de type fantastique ou vous pouvez incarner moldus, sorciers ou cracmols. Le jeu se déroule a Stornoway sur l'île de Lewis, là ou la première université pour sorciers et moldus a ouvert ses portes. Vous aurez sept jours pour terminer votre fiche. aucun nombre de RP par mois n'est demandé, ni de ligne minimum par réponse.
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[flashback] D'un simple regard... tu deviens mon enfer ! [pv mini dry]

Mar 16 Aoû - 21:41
Je n’ai rien pu faire, pas eu un mot à dire depuis mon réveil ce matin en fait pas que je n’ai rien pu faire, je n’ai pas eu rien à faire, il y a quand même une nuance. Ma mère, elle s’est arrangé pour que tout soit prêt sans que je n’aille eu à lever le petit doigt, tous mes livres sont soigneusement emballer et empiler dans ma valise, tout comme mes vêtements déjà tout étiqueter à mon nom. CLOVER MONTGOMERY. Je la regarde faire alors qu’elle boucle mes cheveux un peu comme une poupée. Je dois être aussi parfaite que l’image qu’elle s’évertue à donner de moi depuis ma naissance. Ma mère est quelqu’un de noble et elle veut bien évidemment que je lui ressemble. Mélangeant à sa guise la culture américaine et anglaise, prenant ce qui lui plaît le plus dans chacune des deux.

Maintenant, c’est mon reflet dans le miroir que j’observe, je porte une petite robe qui est mignonne et chic sans trop l’être, puisque je ne peux pas porter ma robe de sorcier avant d’être dans le train pour ne pas attirer le regard, j’ai presque l’impression d’être une poupée de porcelaine à cause de mon visage pâle, mes yeux bleus qui brille derrière le verre de mes lunettes et mes cheveux qui tiennent seul en boucle tout autour de ma tête. Je sens pourtant la nervosité qui commence à monter un peu plus à mesure que les minutes passent. Je sais que le moment arrive de plus en plus rapidement. La voix de ma mère se fait entendre en bas.

Je descends rapidement l’escalier pour aller rejoindre ma mère qui m’attend au bas des marches, la voiture est déjà chargée de ma valise et n’attend que nous pour que l’on se rende à la gare. Je suis ma mère et prends finalement place dans cette bagnole, je regarde les paysages urbains défilé devant mes yeux, je ne parle pas, ma mère fait la conversation au chauffeur, les mains bien à plat sur ses cuisses à peine découverte à cause de sa jupe qui remonte. Quand il m’ouvre la porte de la voiture, je me précipite dehors pour aller chercher un chariot, mais je suis stoppée par la voix de ma mère.

« Clover, une vraie dame ne se précipite pas de la sorte, laisse le monsieur aller le chercher pour toi. »

Une petite moue sur le visage, j’attends je laisse échapper un petit soupir. « D’accord mère. » Quand ma valise et que la cage de mon chaton est sur le chariot je le pousse jusqu’à la bonne plateforme, ma mère m’explique comment faire et c’est sans hésitation que je pousse le chariot entre la barrière neuf et dix. Puis je le vois, le train, rouge brillant et majestueux. Mon regard ne sait plus trop ou se poser, pourtant, j’ai un dédain en voyant les effusions un peu trop affectueuses juste à côté de moi et les larmes qui coulent en abondances sur d’autre visage. Ma mère me fait sursauter en posant sa main contre mon épaule, m’encourageant à avancer vers une des portières du train, me gavant de conseil avant de regarder sa montre. « Je dois te laisser, j’ai un rendez-vous important. Maintenant, souviens toi de ce que je t’ai dit, et fait honneur au Montgomery. » J’hoche la tête alors qu’elle transplane devant mes yeux. Je tire ma valise et mon chat vers l’intérieur du train et je prends place dans une cabine libre, tirant un livre de ma valise que je pose sur la banquette. Mais je soupire devant ma valise que je suis incapable de mettre dans le filet au-dessus du banc.
Clover Montgomery
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Mer 17 Aoû - 9:24
« Mère, Père. Vous m’avez bien éduqué, mais à présent que je suis grand, je dois vous quitter. NON MERE, ne pleure pas. Je promets de t’écr—
« Ta braguette est ouverte, fils. »
« Oh ! »


Drystan Wojciech, onze ans, la mèche blonde parfaitement lissée sur le côté et ses plus beaux habits sélectionnés avec soin pour sa première rentrée scolaire.
Une fois sûr qu’il était parfaitement présentable, il embrassa sa mère —il aurait pourtant juré avoir vu des larmes dans ses yeux— enlaça son père et serra son petit frère si fort dans ses bras que les pieds de Roman décollèrent du sol.

Tous les deux avaient été inséparables pendant les neuf années d’existence de Roman. Ils avaient été éduqués dans leur maison —dans leurs différentes maisons— et n’avaient jamais eu l’occasion de s’attacher à d’autres enfants pour bien longtemps.

Mais aujourd’hui était le commencement d’une nouvelle vie. Le quai 9 3/4 était bondé d’adolescents, dont la plupart semblait déjà se connaitre. Ils s’étaient manqué pendant l’été, se demandaient avidement des nouvelles, se serraient dans leurs bras.

Est-ce que dans un an, quelqu’un lui demanderait des nouvelles à lui aussi ? Et s’il ne parvenait pas à se faire d’amis ? S’il était juste le weird kid sans aucune capacité sociale ?

Si on ne l’aimait pas ?

Le chef de quai siffla, annonçant le départ imminent du Poudlard Express.

Son père l’aida à charger sa valise (« Sérieusement Regina, tu lui as acheté combien de kilos de fringues à ton fils ? ») et après un dernier « J’vous aime » hâtif à sa famille, Drystan se précipita dans le premier compartiment ouvert alors que le train commençait à bouger.

Il colla son nez à la fenêtre, contempla le quai s’éloigner de lui et sa famille avec. Bientôt, il ne vit plus qu’un défilé flou et rapide de bâtiments londoniens, puis de moins en moins de bâtiments, puis la campagne.

Il était à présent livré à lui même.

Il fallait qu’il se fasse des amis, et vite.
A quoi est-ce qu’on reconnaissait des futurs Gryffondor ? C’était vers ces personnes là que Drystan devait se tourner, car il en était sûr, lui-même porterait dès ce soir les couleurs rouge et or, et il les porterait avec fierté. N’était-ce pas cette maison qui avait vu grandir les sorciers les plus cool et les plus mémorables ?

Fermement décidé à faire ce qu’il fallait sans perdre une minute de plus pour que l’école entière ne puisse ignorer plus longtemps l’existence de Drystan Wojciech —et soit incapable de ne pas l’aimer— il pris soudainement conscience de la présence d’un autre humain dans son compartiment.

Une petite poupée à bouclettes et à lunettes. Sûrement une future Serdaigle à en juger par la couverture de son bouquin qui avait déjà l’air chiant à des kilomètres à la ronde. Parfait, il ne comptait pas limiter son futur cercle d’amis à sa seule maison.

« Chouettes, tes bouclettes, » lança-t-il pour toute forme d’introduction. Il jeta un oeil à la valise de la blonde qui était posée sur la banquette, comme si elle n’avait pas l’intention de rester. Il l’attrapa par la anse sans demander l’avis de sa propriétaire. « Viens, on bouge, on va pas rester là touts seuls, on va avoir l’air de losers ! »



coucou:
Anonymous
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Ven 19 Aoû - 8:43
Ce n'est pas parce qu'aucun mot ne sort de ma bouche que je n'en pense pas moins pour autant. Mon regard se pose de part et d'autre tandis que je me fais vriller par une multitude de pensées. Ma tête de gamine de onze ans est capable d'en prendre pas mal. J'ai appris par mes parents qu'une fille doit être belle et savoir se taire surtout. C'est une enseignement que j'ai su retenir, même si souvent j'ai envie de dire mon opinion et de parler.

Mais, maintenant, je n'aurais plus toujours mes parents derrière moi pour surveiller chacun de mes faits et gestes, mais je dois leurs faire honneur je sais qu'ils ne me pardonneront pas si je fais des écarts de conduite, moi leur petite fille précieuse. Je soupire dans ma tête, qu'est-ce que ça va être dans quelques années dis moi ? Je n'ai pas hâte de le savoir.

Toute dans mes pensées que je suis, un peu après que ma mère m'ai abandonné sur le quai de la gare, je suis dans ce compartiment Je tente de poser ma valise dans les filet au-dessus du banc, mais elle est beaucoup trop lourde pour mes petit bras frêle. Je n'ai que senti un coup de vent derrière moi, et c'est là que je croise le regard d'un garçon qui ne semble pas voir qu'il n'est pas seul ici. Il est si mignon, je sourie dans ma tête, mais je sais pas j'ai envie d'être son amie.

Puis, me prenant par surprise, il me complimente et avant que je n'ai eu le temps de dire quoi que ce soit, il m'entraîne en dehors du compartiments. En fait, il traîne ma valise. " Mais... " Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai l'impression qu'il est inutile d'argumenter avec ce garçonnet.

" On va aller voir qui ? On connaît personne... Puis, c'est quoi être looser ? "

Je veux dire, je ne suis pas une né-moldus et il ne semble pas l'être non plus, je n'ai jamais compris comment on peut les reconnaître de toute façon, mais selon mes parents, c'est pas des gens très fréquentable. " On peut pas parler a n'importe qui quand même ! "
Clover Montgomery
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Dim 1 Jan - 9:14
Drystan traina la valise de la fille hors de leur compartiment. Elle était effroyablement lourde et il la soupçonnait d’être blindée de livres. Dommage qu’il ne sache pas encore utiliser des sorts pour la faire léviter !
Soufflant, le visage légèrement rouge, il réussit finalement à balancer la valise de la future Serdaigle sur un tas d’autres bagages dans le coin qui leur était réservé.
Fier de lui, il lui adressa un sourire brillant. Il était sûr d’avoir fait une bonne première impression. Bientôt, l’école entière saurait que Drystan Wojciech était un bonhomme, un vrai, qui portait des objets lourds et tout. Dans un an, on lui demanderait de rejoindre l’équipe de Quidditch, et dans moins de temps qu’il n’en faut pour dire ‘populaire’, il deviendrait le Capitaine de sa maison, et il aurait la plus jolie des petites copines. Qui sait, peut-être que ce serait cette fille à bouclettes qui se tenait devant lui. Il ne voyait pas comment elle pourrait s’avérer la plus jolie fille de l’école, avec ses lunettes et son col trop serré, mais tant qu’il n’avait croisé personne d’autre, techniquement, elle ne pouvait être que la plus jolie.

« Au fait, moi c’est Drystan, » dit-il avec enthousiasme, saisissant la main de sa peut-être-future-jolie-petite-copine et la secouant vigoureusement. « Je suis en première année, je vise Gryffondor, et toi ? Enfin je sais pas, toute ma famille a été à Serpentard avant moi, à part mon père, mon père était à Durmstrang, si ça se trouve c’est pas si mal, Serpentard, faut voir. »

Il haussa les épaules, répondant à ses propres interrogations. Ce fut à peu près à cet instant qu’une vieille sorcière apparut au bout de leur couloir, poussant un charriot plein de sucreries. Drystan en acheta une poignée et en fourra une partie dans sa bouche, le reste dans sa poche, sans penser à en proposer à l’autre fille.

« Tu connais du monde ici, toi ? Tu as déjà des amis ? »

Ses yeux brillaient d’espoir. Peut-être, avec un peu de chance, que si il passait par elle pour rencontrer d’autres première années, il serait beaucoup plus facile pour lui de s’intégrer et de créer son propre cercle d’amis.
Il ne connaissait encore ni son nom, ni rien d’autre sur elle, mais il voyait déjà comment elle pourrait lui être utile.
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Lun 2 Jan - 23:24
Je le regardais faire et je sentais mon coeur papillonner dans ma poitrine. Il était vraiment charmant ce garçon en plus il parlait. Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai toujours cru que les garçons ne parlaient pas beaucoup, parce qu'à la maison c'était presque seulement ma maman qui faisait la conversation alors que mon papa se contentait de laisser échapper une monosyllabe de temps en temps. Sinon, même quand je voulais lui parler, il n'était pas très disponible et en fait. C'est surtout ma mère qui s'occupait de moi et sinon ma cousine qui me racontait toujours pleins d'histoire sur Poudlard. Je secoua la main qu'il me tendit et dans mon esprit j'espérais qu'elle ne soit pas trop moite ma main.

« Moi c'est Clover ! » Je lui fis un petit sourire, en essayant de ne pas rougir. Je tentais aussi d'appliquer les conseils de ma mère sur comment me tenir en public et ça consistait aussi à ne pas trop parler, ne pas trop en révéler. La discrétion était le secret me disait-elle sans cesse. Mais, pour rencontrer des gens, je devrais peut-être suivre ce garçon, il ferait le travail pour moi. Il semblait assez sociable. Il continue de me parler en me racontant qu'il est lui aussi en première année et puis tout un tas de trucs que je tentais d'assimiler, même si j'ai du refouler une grimace au nom de Gryffondor, je crois que mes parents ne voudraient pas me voir dans cette maison, plutôt être une Pouf que là-bas.

« Ma famille est toute allée à Serpentard, ma cousine y est cette année, en septième. Et je crois que j'aimerais bien y aller ou sinon serdaigle... mais pas Gryffondor. Tu es ce qu'on appelle un amoureux des moldus ? » Je demande hein, je n'en ai jamais vraiment rencontrer dans ma vie et pourtant, ma mère en parle tout le temps. Mon père je ne sais pas trop ce qu'il en pense, mais ma mère je sais qu'elle les juge totalement. Genre, on fait semblant d'apprécier ceux qui sont issue de famille moldue, mais pour ne pas perdre la face c'est tout. Dans ma question il n'y avait aucune méchanceté, mais bien de la curiosité.

« Bah, je connais seulement ma cousine je crois, peut-être que ah oui je crois que Nash Yaxley a la même âge que nous, mais je ne le connais pas beaucoup. Sinon je ne sais pas... » Dis-je en haussant les épaules. « Et toi tu connais des gens ? » Son visage... il était si joli...
Clover Montgomery
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