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Stornoway est le village jouxtant l'édifice de la W.I.S.E. La route entre les deux se fait, à pieds, en une vingtaine de minutes et offre une vue spectaculaire des plages qui bordent l'île. Village tout près des montagnes est traversé d'une rivière se jetant dans la mer, charmant et pittoresque, Stornoway - à force de cohabiter avec la W.I.S.E. - est devenu un village entièrement sorcier où il fait bon vivre et travailler. Là-bas vous y retrouverez également le quartier Coigrich, un quartier qui, depuis quelques années, s'est naturellement développé avec l'arrivée d'étudiants aux origines multiples à la W.I.S.E. - sur la rue Goathill. Restaurants italiens, japonais, coréens et même canadiens y ont vu le jour. Salles de bowlings, de karaokés, petits salons de thé, boulangeries, bibliothèques, magasins de musique, terrains de foot, studios de danse, gymnases et bars ont pointés lentement le bout de leur nez, faisant maintenant compétition aux édifices ancestraux présent depuis bien longtemps dans les rues de Stornoway.
welcome sur Memor Mirificus, un forum University/City/HP de type fantastique ou vous pouvez incarner moldus, sorciers ou cracmols. Le jeu se déroule a Stornoway sur l'île de Lewis, là ou la première université pour sorciers et moldus a ouvert ses portes. Vous aurez sept jours pour terminer votre fiche. aucun nombre de RP par mois n'est demandé, ni de ligne minimum par réponse.
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Empruntez : Gregor Ulanovski

Dim 11 Déc - 11:52

GREGOR ULANOVSKI

Professeur d'Initiation à la Magie Noire (Poudlard et STB)
Directeur de Serpentard.

♕ né le 13 Novembre 1959♕ à Bălți, en Moldavie, un petit pays enclavé entre l’Ukraine et la Roumanie.
♕ Moldave avec des ancêtres russes.♕ Sang pur.♕ ft. Peter Capaldi
Emprunter ce perso
Tu peux faire ta demande à la suite de ce message, ou envoyer un message privé à un membre de la direction.
Ton mot de passe te sera fourni après que tu aies répondu à ces trois questions :
1) Où Gregor a-t-il fait ses études ?
2) Comment s'appelle son petit-fils ?
3) Cite au moins deux choses que Gregor déteste.
Bon jeu !


♕ Descriptions


IMPERIUM - description psychologique

Que peut-il bien se passer dans la tête du professeur le plus détesté de Poudlard ?
Sadique, psychopathe, connard, mal baisé. Un savoureux bouquet garni des surnoms dont l’affublent régulièrement ses élèves —de façon plus ou moins objective.
Il est vrai que le professeur Ulanovksi n’est pas là pour se faire apprécier. De punitions parfois injustes en humiliations bien senties, en passant par des piles de devoirs monstrueuses, le sorcier n’a pas peur d’employer les grands moyens pour faire rentrer quelque chose dans le crâne de ses élèves.
Ce qu’il y a de bien, c’est que tout le monde en prend pour son grade. Les cancres, les faillots, l’élève moyen du fond de la classe qui a du potentiel mais ne le travaille pas. Même l’élève brillant qui ne la ramène pas pourra toujours être plus brillant en travaillant avec plus d’acharnement. Chacun d’entre eux, Ulanovski les poussera jusque dans leurs derniers retranchements, quitte à en faire pleurer s’il le faut.
Impulsif, parfois colérique, bien souvent froid et toujours cinglant, le professeur a entendu dire qu’il était arrivé, à l’occasion, que des épouvantards prennent sa forme face à des élèves… un peu trop sensibles.

PORTRAIT - description physique


On a peine à croire que Mr. Ulanovski est âgé de 55 ans seulement. Surtout pour ses élèves, qui bien souvent peinent à donner un âge aux adultes.
Les heures, jours, années de sombre réflexion semblent gravés profondément dans ses rides. Les soucis ont creusé ses cernes, les idées noires grisé ses cheveux.
Ses iris sont du même gris qu’une matinée de novembre plongée dans la brume.
On le voit rarement porter autre chose que du noir, du strict, du parfaitement taillé, tombant sur sa silhouette déliée avec une élégance millimétrée.
Quiconque a connu Gregor dans son jeune temps serait probablement troublé par son air constamment grave et les sourcils bas sur son visage. A se demander ce qui a bien pu arriver au garçon aux boucles brunes bondissantes, au regard rieur et à l’éternel sourire narquois flanqué sur les lèvres.

VERITASERUM
⌇ Participation de la famille de votre personnage dans la grande Guerre de Poudlard du 1er et 2 mai 1998: Il y a lui-même participé, mais dans l’ombre, pas directement sur le front, et pas forcément dans le camp qu’on pourrait lui prêter.

⌇ Ancienne maison à Poudlard: Il a fait ses études à Durmstrang. Il est d’ailleurs l’une des rares personnes à en connaitre l’emplacement, car il a quitté son ancien poste de professeur là bas sans prévenir. Il a donc échappé au sortilège d’Oubliettes que reçoivent normalement toutes les personnes quittant l’école, comme l’exige la procédure.
C’est assez naturellement, cependant, qu’on lui a offert le poste de directeur de Serpentard, qui aurait sans nulle doute été la sienne s’il avait lui-même été scolarisé à Poudlard.

⌇ Forme de son patronus: une hermine blanche
⌇ Que voit-il dans le miroir du Riséd: Il se voit lui même, plus jeune, avec ses boucles bondissantes et son sourire narquois flanqué sur son visage.
⌇ Sorcier célèbre en modèle: Il a suffisamment d’expérience pour savoir que tous les êtres sont faillibles, et qu’il n’existe personne digne d’être considéré comme un modèle. C’est même une attitude dangereuse à éviter… comme l’Histoire l’a prouvé.
⌇ Peut-il voir les Sombrals : oui
⌇ Forme de l'épouvantard: Une lueur verte s’évaporant de la terre, comme un feu follet, une âme ancienne n’appartenant plus à ce monde revenant parmi les vivants. Elle s’enroule sur elle-même, prenant lentement la forme de la marque des Ténèbres.
⌇ Odeur de l'Amortentia: La cendre d’un feu de cheminée, le poivre, le parfum des cheveux de bébé de son petit-fils.

Trois choses que votre personnage aime:
⌇ La Magie Noire, et tous les secrets qu’elle recèle. Il la voit comme la forme la plus noble de la Magie, car elle requiert un grand talent, une compréhension pointue de son fonctionnement. Il aime que la Magie Noire ne soit pas à la portée du premier singe venu. C’est une magie qui se respecte, et qui se mérite. Il a cependant pour règle de ne jamais l’utiliser pour arriver à des fins personnelles. C’est d’ailleurs ce qui lui permet d’être en bons termes avec le gouvernement, et de préserver la confiance de McGonagall.
⌇ La lecture. Il est très amateur de poésie, de théâtre, de lettres classiques. Difficile à croire venant d’un homme qui a pour habitude d’appeler ses élèves « petit con » et « espèce de gourde empotée », mais le professeur Ulanovski a véritablement des goûts raffinés.
⌇ La neige. S’il y a bien une chose qui lui manque de ses années à Durmstrang, ce sont les hivers blancs, les flancs de montagnes enneigés, la danse des flocons qui éclatent en silence sur la glace. Le froid et l’hiver l’apaisent, l’enveloppent dans un cocon de familiarité et de sécurité, comme un souvenir d’enfance trop flou pour parvenir à l’identifier précisément, mais suffisamment vivace pour le chérir sans savoir exactement pourquoi.

Trois choses que votre personnage déteste:
⌇ Les pleurnichards, les victimes, les chochottes. Ceux qui ne sont pas prêts à l’impossible pour atteindre leurs objectifs. Ceux qui s’apitoient sur leur propre sort. Ceux qui se contentent de moins que ce qu’ils pourraient avoir, qui ne sont que l'ombre de ce qu’ils pourraient être.
⌇ Le manque de ponctualité. Les devoirs rendus en retard. Les élèves qui commencent à ramasser leurs affaires cinq minutes avant la sonnerie. L’heure, c’est l’heure, quand on n’a pas été élevé chez les trolls.
⌇ Les ondées de terreur qui semblent remonter à la surface, après seize années de calme apparent. Seize années que le monde sorcier avait passées à panser ses plaies et à se reconstruire. Comme il l’avait fait les seize précédentes années avant cela. A croire que l’Histoire n’apprend jamais de ses erreurs.

HISTOIRE


Citation :
Ma fille, tu es une conne. Tu es la chair de ma chair et je t’aimerai jusqu’à ma mort, mais laisse moi te dire une bonne chose, tu es une conne. Tu tiens ça de ta mère.

Tu te pointes chez moi, avec mon menton, avec mes yeux et la forme de mes lèvres, et tu agis comme si tu n’étais pas la chair de ma chair, comme si ton sang n’était pas mon sang.

Tu te pointes là et tu me dis que tu ne veux plus jamais voir ma face. Ma chérie, ma face, c’est aussi ta face.
J’aurais souhaité que mon sens critique soit aussi ton sens critique, je regrette que tu aies hérité de celui de ta mère.
Tu l’as toujours préférée, je ne m’en suis jamais formalisé. J’inspirai, tu serrais ton petit poing minuscule autour de mon index. J’expirai, tu étais une adolescente avec tes règles et tes taches de rousseur et tu marchais dans les empruntes de pas de ta mère, sans un regard pour ton père.

Qu’est-ce qu’elle t’a dit, lorsque je suis parti ?

Je ne sais pas si j’ai aimé ta mère. Peut être au début. Elle était belle à sa façon, tant qu’elle était encore trop jeune et optimiste pour voir comme elle était laide de l’intérieur.

C’est la guerre qui l’a révélée. La guerre révèle tout. En particulier ce que l’on ignore sur soi même. Je crois bien que ta mère fut encore plus surprise que moi par sa propre laideur.

Est-ce que tu t’en rappelles ? Bien sûr que tu t’en rappelles. Tu étais protégée par les murs de Durmstrang et les bras de ta mère, mais tu avais treize ans. Tu étais suffisamment âgée pour tout comprendre.
J’enseignais l’Art de la Magie Noire, lorsque la seconde guerre a commencé. Après que la guerre ait commencé, j’enseignais toujours la Magie Noire, mais je n’enseignais plus l’Art.
Auparavant, je préparais des étudiants à devenir des sorciers brillants, maitrisant les finesses de la Magie dans sa forme la plus délicate, subtile, la plus obscure et la plus dangereuse à la fois. Puis je devins celui qui transformais des enfants en apprentis assassins, en machines de guerre.

Tu t’en rappelles ? Bien sûr que tu t’en rappelles.

Qu’est-ce que ta mère t’a dit, lorsque je suis parti ?

Finalement, je préfère ne pas savoir. Tais toi. J’ai dit tais toi. Lorsque je suis parti, c’est ta mère qui avait fait ma valise. Elle avait dit « Je ne veux plus voir ta face » exactement comme tu es venue me le dire aujourd’hui. J’avais décidé de quitter mon poste d’enseignant. Je ne voulais plus partager mon savoir, pour ce qu’ils en faisaient. Ta mère était terrifiée. Evidemment qu’elle l’était. C’était la guerre, tout le monde était terrifié, ton père le premier. Je préférais déserter cette guerre pour laquelle je n’avais jamais désiré m’engager.
J’ai pris ma valise que ta mère avait bouclée, tu dormais, je n’ai pas pu t’embrasser avant de partir, et je m’en suis allé rejoindre le camp adverse.

Je suis parti trouver les Aurors, ceux qui étaient encore trouvables après le putsch du Ministère, je leur ai dit « Je sais comment tirer les ficelles de la Magie Noire, je vais vous apprendre à les découdre. »

Tu as l’air étonnée, ta mère ne te l’a jamais raconté ?

Tu te pointes chez moi en agissant comme si je n’étais pas ton père. Tu viens jusque là pour me sommer de ne plus essayer de voir Maxim. Comme si mon petit fils n’était pas la chair de ma chair, comme s’il n’avait pas mon menton et la forme de mes lèvres.

Tu me dis ça, tu me dis « parce que je te connais ».

Ma fille, tu ne connais pas ton père.
Ce que tu connais, ce sont les restes de souvenirs délavés par le temps, déformés par l’usure, distendus, jaunis. Ce que tu connais, par coeur j’en suis sûr, ce sont les mots de ta mère qui n’a jamais cessée d’être effrayée.

Tu ne connais pas ton père, tu ne connais rien du grand-père de ton fils. C’est simple, je vais t’expliquer. Reste là, je te parle.

Je suis né là où tes grands parents ont vécu jusqu’à leur mort, en Moldavie. Oui, je commence par le commencement. Tu vas tout savoir, je ne t’épargnerai aucun détail. Quand j’en aurai fini, et seulement là, tu pourras me dire « parce que je te connais » avec ce ton condescendant que tu emploies.
Je suis donc né dans la même chaumière où tu passais tes étés, je me baignais dans le même ruisseau, je me promenais dans les mêmes sentiers du même village. Je n’ai pas toujours été le vieux con rabougri qui se tient devant toi. J’étais un enfant rieur. Avec trop d’énergie, beaucoup trop, et une imagination débordante pour emmerder le monde.
L’année de mes onze ans, je suis allé à Durmstrang, comme toi. Je n’étais ni le meilleur, ni le plus mauvais élève. Je continuais à inventer des moyens d’emmerder le monde. J’avais les yeux rieurs et un sourire narquois constamment flanqué sur le visage.

J’ai fait l’amour pour la première fois quand j’avais quinze ans. Pendant les vacances d’été, avec le fils du laitier. Quoi, qu’est-ce que tu ne comprends pas ? C’est pourtant simple —ton père était un pédé. Une tapette, un sodomite. Ne me regarde pas comme si je t’avais giflée. Tu aurais bien fini par l’apprendre, de toute façon. Juste avant, ou juste après ma mort, probablement. Les langues ont tendance à vomir leurs secrets lorsqu’elles s’apprêtent à être bouffées par les vers.

J’ai vécu, puis j’ai épousé ta mère. Parce que c’était ce qui était attendu de nous. Personne ne nous à jamais forcé la main, mais on sentait que l’on devait ça à nos parents.

Puis tu es née, et j’ai vécu de nouveau.
Dans ton poing, tu étreignais mon index de toutes tes menues forces, et moi, je me suis fait la promesse de ne jamais rien faire qui puisse te blesser. Je me suis promis d’aimer ta mère autant qu’il est possible d’aimer une personne dont on n’est pas amoureux. Je lui suis resté fidèle. Je suis devenu calme, et j’ai arrêté d’emmerder le monde.
J’étais un père et un mari, et treize ans plus tard j’ai cessé d’être tout ça. Qu’est-ce que j’étais alors ? Une coquille vide. Un homme misérable. Un vieux con.

Et aujourd’hui tu te pointes chez moi, et tu me sommes d’arrêter de vouloir être à nouveau quelque chose pour quelqu’un. De vouloir être un grand père pour Maxim, qui a mon menton et la forme de mes lèvres, qui est la chair de ma chair, qui est mon sang.

Qu’est-ce que tu fous encore là, à me regarder avec ton air de merlan frit ?

Je croyais que tu ne voulais plus jamais voir ma face ?








© Nalex

Jane McCambridge
Jane McCambridge
Muggle Lover
ft. : Caitriona Balfe
Hiboux envoyés : 313
Sur MM depuis : 08/02/2016
Âge : 80
Allégeance : Serdaigle for ever
Mornilles : 1193
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