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Stornoway est le village jouxtant l'édifice de la W.I.S.E. La route entre les deux se fait, à pieds, en une vingtaine de minutes et offre une vue spectaculaire des plages qui bordent l'île. Village tout près des montagnes est traversé d'une rivière se jetant dans la mer, charmant et pittoresque, Stornoway - à force de cohabiter avec la W.I.S.E. - est devenu un village entièrement sorcier où il fait bon vivre et travailler. Là-bas vous y retrouverez également le quartier Coigrich, un quartier qui, depuis quelques années, s'est naturellement développé avec l'arrivée d'étudiants aux origines multiples à la W.I.S.E. - sur la rue Goathill. Restaurants italiens, japonais, coréens et même canadiens y ont vu le jour. Salles de bowlings, de karaokés, petits salons de thé, boulangeries, bibliothèques, magasins de musique, terrains de foot, studios de danse, gymnases et bars ont pointés lentement le bout de leur nez, faisant maintenant compétition aux édifices ancestraux présent depuis bien longtemps dans les rues de Stornoway.
welcome sur Memor Mirificus, un forum University/City/HP de type fantastique ou vous pouvez incarner moldus, sorciers ou cracmols. Le jeu se déroule a Stornoway sur l'île de Lewis, là ou la première université pour sorciers et moldus a ouvert ses portes. Vous aurez sept jours pour terminer votre fiche. aucun nombre de RP par mois n'est demandé, ni de ligne minimum par réponse.
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My Anaconda don’t want none unless you got pure blood. [LIBRE]

Sam 2 Avr - 10:30
YOYOYO:

Comme elle était chanceuse. Assise devant la cheminée de la salle commune, Gabrielle n’en revenait pas de la veine qu’elle avait d’être aux côtés de Drystan pour la deuxième fois en deux jours. Ils se repassaient les photos qu’ils avaient prises hier dans la nuit et ils s’amusaient bien à commenter chacune d’elle. Gabrielle était tellement aux anges qu’elle avait même laissé à Drystan l’honneur de prendre son portable, son bébé, et de faire défiler les photos lui-même.

Et le mieux dans tout ça c’est qu’ils étaient dans la salle commune, un samedi matin, autrement dit devant tout le monde. Et ça pour Gabrielle-la-superficielle, c’était merveilleux. Allez-y, regardez bien avec qui elle traîne, elle, la petite Elliott, la gamine de 14 ans, la sang-de-bourbe, regardez qui est assis à côté d’elle, Drystan, le grand, le beau, le populaire.

Sa Slytherin Street Cred avait fait un sacré bond.

Elle enroulait et déroulait les lacets de ses converses du bout des doigts tout en gloussant au moindre commentaire du garçon. Il y avait quelque chose d’irrésistible à l’entendre utiliser les mots « selfies », « snaps » ou « filtres », comme un enfant fier d’avoir appris un nouveau mot et qui s’appliquait à le prononcer particulièrement bien. Ou alors c’est elle qui se faisait des idées et la perspective qu’un Serpentard utilise son jargon l’émoustillait au plus haut point.

En tout cas elle était beaucoup plus à l’aise en jean-pull-basket qu’avec sa robe de soirée d’hier (les garçons aimaient les filles naturelles, elle l’avait lu dans « Jeunes & Superficielles », son magazine sorcier préféré, bien au-delà du torchon que faisait l’autre Lockart.) Oh ! Si seulement cet abruti de Lockart pouvait être là, en fait ! Qu’il écrive quelque chose sur elle et Drystan, oh, là, là… Ça se serait des ragots sacrément bons pour sa réputation, que tout Poudlard sache qu’elle traînait avec les meilleurs. Mais peut-être que ça gênerait Drystan ? « Ecoute Gabrielle, je ne supporte pas toutes ses rumeurs, je préfère qu’on arrête de se voir. » ARGH, ça lui briserait le cœur !

Bon de toute façon ça ne servait à rien de s’inventer des scénarios, elle était là, en train de se moquer allégrement du snap de Drystan avec un filtre qui lui faisait la tête au carré et la vie était belle.


YOYOYO2:
Anonymous
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Sam 2 Avr - 11:48

Spoiler:

Les yeux légèrement rougis et cernés par sa nuit sans sommeil, Drystan se les explosait encore plus en fixant le petit écran que lui avait prêté Gaby. Car oui, maintenant on était passé de nom de famille à petit surnom. Gaby était maintenant son nom officiel.
D'un mouvement de doigt vite appris, et bien plus facile que n'importe quel mouvement de baguette magique, il faisait défiler les photos qu'ils avaient prises ensemble la nuit dernière.
Franchement ces moldus, c'étaient les rois de l'entertainment. Les champions pour inventer des trucs inutiles mais fun. Il savait maintenant appliquer des filtres, ajouter des effets sur les images. Il y en avait un que Gaby lui avait montré, ou elle avait appliqué de grands yeux style manga --une autre invention moldue qui valait apparemment bien le detour. "Je préfère tes vrais yeux," avait-il alors commenté.

ll continua de faire défiler les photos, pas du tout lassé et y allant de ses commentaires délicats ("AHAH la gueule !"). Il s'arrêta sur l'une des photos ou il avait posé un diadème de Gaby sur sa tête et s'était suspendu des médailles aux oreilles, mort de rire, et la petite serp faisait un V avec ses doigts et un cul de poule avec sa bouche.
La façon dont ils avaient traité ces objets nobles était un veritable scandale. C'est ça qui était bon.


"On est si beaux ! Le roi et la reine de Poudlard."

Il lui mit l'écran sous le nez, pointant de son index sa tête de débile couronnée du diadème.

"Et c'est moi qui fait la reine !"  My Anaconda don’t want none unless you got pure blood. [LIBRE] 351499070
Anonymous
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Sam 2 Avr - 18:52
Cette nuit avait été particulièrement longue. En effet, j'avais eut pas mal de difficulté à trouver le sommeil pour je ne sais quelle étrange raison. Et en plus, comme si je n'avais pas déjà assez de mal à m'endormir, j'avais dû supporter une bonne partie de la nuit le bruit des mouvement de Drystan qui se retournais dans son lit sans arrêt. L'envie de lui envoyer un stupéfix plusieurs fois dans la nuit fut très difficile à réprimer, mais je finis par réussir à me contenir. Alors qu'enfin, je commençais à réussir à fermer les yeux, des bruits de pas attirèrent mon attention, je tournais doucement la tête pour apercevoir Drystan qui quittait les dortoirs en douce. J'entrepris alors de le suivre pour savoir ou se fieffer coquin se rendais si tard dans la nuit. Mais après plusieurs centaines de mètres dans les cachots, je perdis sa trace et fis finalement route pour rejoindre à nouveau mon lit.


L'heure du réveille arriva vite et, je fus malgré moi tirer de mon sommeil par le bruits des autres élèves qui quittait le dortoir sans une once de respect pour le someille des autres. C'est donc de relatives mauvaises humeurs. Je me rendis dans la salle de bains pour prendre une rapide douche et, le peu de monde déjà présent dans la salle de douche se rendit vite compte qu'il ne valait pas mieux me contrarier ce matin et s'empressèrent de libérer les lieux pour ma plus grande satisfaction. Une fois ma douche prise, je me rendis dans la salle commune et je ne mis pas longtemps à repérer Drystan, assis au côté de ... La sang de bourbe ?!


Non d'un Scroutt à pétard qu'est-ce qu'il fout avec elle ...

Je m'approchais alors d'eux. Les entendre rire ensemble me donna rapidement la nausée. Je me laissais tombé dans le fauteuil en face d'eux les fixant du regard, je sortis alors ma baguette magique et me mis à la faire tourner entre mes doigts laissant échappé des volutes de fumée verdâtre de celle-là. J'aperçu alors un objet moldu entre les mains de Drystan qui captais toute leur attention. J'agitais alors ma baguette en direction du dis objet pour le voir, s'envoler et atterrir dans mes mains. Je regardais alors l'écran et aperçu une photo de Drystan en compagnie de Gabrielle, dans la salle des trophées dans une position des plus étranges avec des médailles pendue aux oreilles. J'arquais un sourcil d'un air moqueur puis dis à l'attention de Drystan.

Le style moldu te vas à ravir, tu devrais le porter plus souvent ... Et puis tu sais ce qu'on dit... Moldu un jour ... Moldu toujours !
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Dim 3 Avr - 12:43
Ce qu'ils faisaient de bruit de si bon matin tous autant qu'ils étaient ! Ma lettre ne s'écrivait pas facilement à cause de leurs rires. Dire que je m'étais levé aux aurores pour pouvoir profiter d'un peu de calme... Ce n'était jamais assez tôt pour ces anglais désagréables ! Je soupirai et hésitai à demander le silence. Mais ce serait un peu trop court certainement.

Quelque chose vola dans la salle commune, faisant taire les rires. Qu'est-ce que c'était que cette boite noire ? Je ne voyais pas l'intérêt d'une boite noire. Sincèrement j'espérais qu'ils allaient se taire. Mais en attendant, j'allais m'installer non loin d'eux, près de la cheminée, histoire d'être au courant de ce qui allait se passer mais sans me trouver au centre de la tempête. Le fauteuil était confortable, et de là, je voyais la scène, deux qui étaient affalés sur le canapé et un plus loin, qui semblait leur ennemi, qu'en savais-je ? Je reconnaissais deux septièmes années et... Mais n'était-ce pas la petite pimbêche de quatrième qui se faisait bien voir de tout le monde ? Ah, mais si, je la reconnaissais.

Ce qu'elle m'agaçait. Si l'autre plus sombre l'embêtait un peu, j'irai même un peu l'aider, peut-être. Si je n'avais pas trop la flemme.

Mais c'était amusant combien il avait dégradé l'ambiance. Même si leurs précédent rires m'agaçaient, je les préférais à cette espèce d'attente lourde et tendue, tout à fait anglaise. Tout à fait désagréable. Si ça continuait, en fait, j'allai plutôt leur demander de se calmer. Ou leur lancer un sort de pétrification. Ça, c'est sûr, ça allait les calmer... Et je les laisserais là. A réfléchir à leur besoin de s'acheter un cerveau, ou le respect de l'ambiance d'une salle supposée commune à tout les élèves, et où il est bon de ne pas afficher ce qui est désagréable pour les autres.

Mais j'attendais, je savais me montrer patient. On allait voir ce qui allait se passer.
Ochi Asaki
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Dim 3 Avr - 15:57
Quand même, c’était bien sympa de passer du temps avec sa petite amie— enfin, son amie petite.   (Il allait falloir arrêter de lire les âneries de Purple, à croire que ça commençait à lui monter lui-même à la tête.)
Ils étaient la à regarder leurs photos, et à rigoler comme des adolescents —wait— fiers de leurs bêtises de la nuit. Ils avaient parié combien de temps avant que l’on découvre que les trophées et les plaques avaient été complètement inversés, et certaines légendes changées. Ainsi, de
''à Trokodel Wadelis, pour services rendus à l’école'', on se retrouvait avec ''à Trop Pas Belle Vaseline, pour sévices rendus à mes fesses''.

Contrairement à Gaby, Drystan n’était pas vraiment conscient d’être vu avec la jeune sorcière, et si il l’était, il s’en fichait comme de son premier chaudron. Il n’y avait vraiment pas de quoi avoir honte. Il avait eu la preuve cette nuit que la coolitude de la petite Serp était largement underrated.

Plongé dans son visionnage des photos, il ne remarqua pas tout de suite l’arrivée d’Elie —ni d’ailleurs celle d’Asaki— dans un fauteuil qui leur faisait face. En revanche, il fut bien obligé de la constater lorsque le téléphone de Gaby lui glissa des mains, pour aller voler au dessus de la table basse, jusque dans la main du bouclé.
Bien entendu, Elie y alla de sa petite remarque sarcastique.

Drystan plaqua ses deux mains sur son torse, prenant un faux air flatté. Il papillonna des cils, la tête penchée sur le côté, la bouche en coeur.


''Aw, merci ! J’avoue que je suis assez fier des boucles d’oreilles, je vais essayer de lancer la mode. Faut dire que de toute façon, tout me va.''

Il lança un clin d’oeil à sa partner in crime.

''Hein, pas vrai Gaby ?''
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Lun 4 Avr - 6:57
— Et c'est moi qui fais la reine !

Gabrielle gloussa comme une dinde avant de réussir à se retenir. Oh non, franchement la honte, là. Les gloussements elle les réservait pour Olivia et Victoire, ses copines avec qui elle partageait ses goûts honteux, pas avec Drystan, quand même.

Elle jeta un regard en biais à Ochi, assis bien droit dans son fauteuil, sans doute franchement agacé par tout ce bruit, mais silencieux et flegmatique, comme à son habitude. En voilà encore un qui traumatisait Gabrielle. Pas par son attitude brutale à la Elie, mais par son regard froid et dédaigneux de celui qui méprise la moindre personne un peu différente de lui. Ah, ça, on ne pouvait pas dire que Serpentard était une maison de petits plaisantins, elle était obligée de tout faire elle-même. Enfin, heureusement que Drystan avait un peu d’humour, lui.

Elle ne vit pas Elie arriver derrière elle mais quand il s’installa dans le fauteuil en face, les muscles de Gabrielle se contractèrent involontairement. Alerte au connard, alerte au connard.

Son portable vola droit dans les mains d’Elie qui l’attrapa au vol et Gabrielle suivie la course de l’objet avec un regard scandalisé. Elle se retint de se jeter sur le garçon pour lui arracher son bébé des mains, mais tout dans sa posture exprimait son envie de bondir sur le Serpentard. Il regarda leurs photos sans gêne. Mais quel enculé.

— Le style moldu te va à ravir, tu devrais le porter plus souvent ... Et puis tu sais ce qu'on dit... Moldu un jour ... Moldu toujours !

Gabrielle retint un soupir de lassitude. Autant Elie la terrorisait par ses attaques à répétition, autant son niveau de punchline était franchement lamentable. Damn it, regarde quelques films américains par pitié.

— Aw, merci ! J’avoue que je suis assez fier des boucles d’oreilles, je vais essayer de lancer la mode. Faut dire que de toute façon, tout me va. Hein, pas vrai Gaby ?

— Aha, ha, se força à rire Gabrielle, tendue comme un arc.

Cool, Gab, cool.

— C’est vrai que tu portes les médailles comme personne, dit-elle en relâchant toute la pression et en s’enfonçant plus confortablement dans le fauteuil, en fait il y a sûrement un bon business à faire là-dedans, tu crois que Lockart accepterait un encart publicitaire dans son torchon ?

Oui Gaby, c’est ça, détourne la conversation.

— « Elliott and… », Dit-elle en cherchant le nom de Drystan en vain, non juste Elliott ! Je lance ma marque, monsieur Drystan je vous engage en tant qu’égérie, bienvenue dans notre compagnie !
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Mar 5 Avr - 10:24
Mon carnet à la main, je venais d'entrer dans la salle des serpentards. J'avais besoin de cette atmosphère morbide pour écrire. Ces couloirs froids, ces statutes à foutre le frisson à n'importe qui. Comme moi d'ailleurs quand je serai au bout de ma conquète du monde. Mais, je ne suis pas seul. 4 sorciers sont assis dans la pièce. Gabrielle la stupide et exemple moldue qui gloussait en compagnie du jeune Drystan. Elie, un de mes proches camarades et un dont j'ai totalement oublié le nom. C'est à l'évocation de mon abominable demi-frère que mon sourire habituel disparut sous un sifflement. Je hais Leo. Je le deteste encore plus que mon père, car il en est encore plus sa copie parfaite, alors que je n'ai que le physique charmeur qui fait tourner la tête des filles et encore... C'est amplement suffisant...

" On parle de la famille Lockhart à ce que j'ai bien entendu?

Mon sourire fin se dessina, tandis que je vins m'asseoir aux cotés d'Elie, en souriant au "couple".  Passant une main dans mes cheveux blonds, je rangeai mon carnet de plans dans mon sac ensorcelé.

" Mais pourquoi tant de disputes? Nous sommes tous de la même maison. D'ailleurs, Drystan, ta charmante cousine n'est pas avec vous? Il me semblait que vous étiez plutôt proches, non? Une bien brave demoiselle qui t'irait parfaitement mon cher Elie.

Je lachai un simple rire en jouant avec ma baguette et emprunta le telephone de la jeune sorcière

[b] Mais c'est le dernier Iphone? Dire que vous les moldus vous avez des choses bien innutiles... [\b]
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Mar 5 Avr - 16:43
Comme une petite souris, je m'étais glissée dans la salle des serpents pour bosser tranquillement. La salle des mimbletonias était bien trop pleine, comme la bibliothèque ou autres. Alors, je m'était installée au fond, sans qu'on me remarque du tout. Enfin, j'entendais quand même les gloussements de Gabrielle et mon cousin, ce qui me fit esquisser un sourire. Ils iraient bien ensemble ces deux là... Enfin bref, il faut que je révise mes sortilèges encore. Malgré que flitwick me compare à la grande Granger, qui aurait pu devenir une Malefoy, fin bon, je dois quand même lire et relire pour que tout cela s'enregistre...

Elie...

Mon coeur ne fit qu'un bon quand il entra dans la salle commune, lançant son regard menaçant sur les deux serpents. Je n'allais pas pouvoir travailler tranquille, je crois... Mon regard se porte sur un autre jeune homme, qui m'a l'air d'être dérangé aussi. Ils font un tel boucan...

Et puis, c'est quoi cette boite noire? Pourquoi ils tournent autour? Mh... Faudra que je mène mon enquête...

Et voilà Collin.... Toujours aussi beau que son père. Malgré le fait qu'il veut que personne ne sache son nom de famille, tout le monde le connait. On sait tous qu'il est le fils caché de Gilderoy Lockhart. Enfin, tous les serpys le savent...

Toujours aussi jovial et bizzarement sarcastique, comme d'habitude...

À l'évocation de mon nom, je sentis mes joues rougirent... Faites comme si je n'étais pas là....

Trop tard. Collin m'a vu... Il s'aporoche de moi, tandis que mon regard se pose sur les autres. Nom d'un centaure!

Je rêve ou il vient de me proposer de les rejoindre? Euh... Laquelle je joue? La joviale amie de Gabrielle et cousine de Drystan ou la méchante pète sec qui plait je crois bien, à Elie? Je ne dis rien et avance étonnament droite sur mes hauts talons que je m'étais obligé à mettre.



- Collin, Elie, Drystan... Pourquoi parliez-vous de moi? Enfin, je sais que je suis la parfaite serpentard, mais pourquoi cette évoquation, Collin?

Il me tent la boite noire. Je la regarde et la tourne dans tout les sens, sans comprendre. Puis, je laisse tomber et dépose cette chose sur le sol, avant de m'asseoir au coté d'Elie... Figure parfaite que mes parents rêveraient d'avoir dans leur famille... Mh... Et pas forcément ce que j'ai envie, même si il est incroyablement canon. Ce n'est pas le genre Lockhart, mais il a une petite chose en plus... Cette haine au fond de son oeil... Mh...

Croisant les jambes, je reste droite et écoute le reste des discours, un sourire en coin.
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Jeu 7 Avr - 7:35
Lorsque Drystan répliqua à ma phrase sous forme de moquerie, J'arquais un sourcil accompagné d'un léger rire moqueur mon pauvre, traîner avec ce genre de truc... Tu étais tombé bien bas depuis que nous ne traînions plus ensemble... Mais alors qu'il s'adressait à Gabrielle, j'entendis clairement dans le ton de sa voix qu'elle cela ne l'amusait absolument pas. Je tournais mon regard froid et hautain dans sa direction, plantant mes yeux bleu acier dans les siens, comme si je l'inspectais au rayon X et, finalement, je haussais les épaules. D'un geste machinal, je continuais de faire tourner ma baguette magique entre mes doigts. J'aperçus Asaki assis un peu plus loin, je lui fis un léger signe de tête pour le saluer avant de reporter mon attention sur Gabrielle et Dystan.

Je me demande si ton truc bizarre est résistant aux sortilèges.

Alors que je m'apprêtais à déposer l'objet sur la table et à essayer quelque sortilèges dessus et, avant que je n'aie eut le temps de dire quoi que ce soit d'autre Collin me le retirais des mains. Bien qu'il soit un assez bon ami, je n'appréciais pas vraiment me faire prendre des objets des mains même si ceux-ci n'étaient pas à moi. Je tournais alors le regard vers Collin pour le lui faire savoir, mais je n'eus pas le temps qu'il se mit à parler d'Elena et, me dis alors qu'elle m'irait bien... Une fois de plus je n'eus le temps de rien dire qu'Elena s'asseyait à côté de moi. Je fronçais les sourcils et puis fini enfin par leurs dire ...

Eh ! Je crois tout de même avoir mon mot à dire la dessus non ?

Je lançais un regard en direction de Drystan, bien que l'on soit en froid tous les deux, j'espérais tout de même qu'il remarque mon regard et qu'il vienne à ma rescousse. Peut-être que ça serait une ouverture pour une future réconciliation, du moins s'il saisissait l'occasion !
Anonymous
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Jeu 7 Avr - 16:27
Oui, ça devenait intéressant. J'aimais ça, cette tension que je pouvais percevoir. Qui alimentait les conversations, qui englobait mes camarades et qui montait, montait. Elle allait exploser à un moment. Et ce serait digne des plus grands artistes. Avais-je le temps de monter dans mon dortoir récupérer mon appareil et prendre en photo le feu d'artifice. Avais-je le talent nécessaire pour immortaliser sur la pellicule cette tension présente dans les regards et les postures dans toute leur beauté naturelle.

C'était une guerre de clans et d'idéologies, dont les anglais étaient friands. Avais-je le temps... ?

Non, tout évoluait trop vite, trop de gens arrivaient pour lancer les hostilités. Trop de gens se croyaient plus forts que les autres. Tout était trop rapide. Aussi rapide que l'attaque d'un cobra. Je sifflai discrètement entre mes dents. J'aurais aimé que Yuki soit là, caché dans le col de ma chemise blanche, il m'aurait donné son avis sur la question.

Cette fille, Elena, franchement, même moi je sentais qu'elle avait du mal avec tout ça. Comme moi, elle aurait préféré rester dans le fond. Mais Ellie aurait fini par me lancer son regard qui demandait un minimum de soutien. Je l'aimais bien, même s'il avait parfois tort à mon goût, et je tenais à garder de bonnes relations avec lui. C'était pourquoi j'étais là. A attendre comme un chasseur patient le bon moment.

Je souris.

« Peut-être que le problème n'est pas tant la boite noire – est-ce un appareil photo ? - que la personne qui la possède, non ? » dis-je tout en douceur, calmement dans un souffle mais assez fort pour que tout le monde l'entende.

Maintenant, je pouvais me contenter d'observer tout en souriant à Elliot, la gamine la plus insupportable de l'école, et c'était pas peu dire. Il était vrai que je venais de me demander si l'objet prenais des photographies, il avait cette chose à l'arrière qui ressemblait à une lentille. Mais je pouvais me tromper. La dite lentille était minuscule, ce devait être autre chose.
Ochi Asaki
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Ven 8 Avr - 10:19
« Je lance ma marque, monsieur Drystan je vous engage en tant qu’égérie, bienvenue dans notre compagnie ! »

"Ah ouais, mais trop !" lança Drystan avec enthousiasme, levant sa paume en l’air en direction du petit serpent. "Tope la, Gabou !"

Sa tentative d’ignorer les sarcasmes d’Elie en detournant le sujet ne fit pas long feu, car rapidement des renforts arrivèrent. Ce n’est que lorsque Colin se mêla de l’affaire que Drystan réalisa qu’ils étaient observés. Ouah, toute cette attention pour eux, c’était trop d’honneur. Même Asaki était là, silencieux, observateur. Ou plutôt, plein de jugement comme à son accoutumée. Mais ça il s’en fichait pas mal.

Les gars se passaient le téléphone de Gaby comme un calumet de la paix. Sauf qu’ils n’avaient pas spécialement l’air de venir en paix.
Est-ce que c’était son imagination où il sentait le sofa vibrer sous la rage contenue de son amie ? Fallait avouer que même pour Drystan, il trouvait cela abusé la façon dont ses camarades traitaient un objet qui ne leur appartenait pas, et surtout auquel Gaby tenait.
Lorsque Elie suggéra que le portable ne résisterait pas à un sort, ce fut le moment où il décida que ce serait vraiment bien de changer de sujet. Il ne voulait pas perdre son amie dans une crise cardiaque. Par chance (ou pas), Collin se trouva malin d’évoquer Elena.
« Une bien brave demoiselle qui t'irait parfaitement mon cher Elie. »


"Pouah !"

Il éclata de rire à cette idée. De rire, mais aussi un peu d’agacement, hein. Ca ne faisait pas longtemps qu’il s’etait réconcilié avec sa cousine, mais il avait promis de la soutenir et la protéger, et il prenait son nouveau rôle au serieux. Si Elena voulait sortir du carcan des Malfoy, ce n’était certainement pas avec Elie qu’elle allait réussir à trouver qui elle était vraiment, et à s’epanouir. Tant qu’il serait dans les parages, Elelie n’arriverait pas. Il repondit d’ailleurs au regard de son ancien meilleur ami par un simple sourcil levé. Essaye toujours, mon pote. Essaye toujours.

En parlant de sa cousine, celle ci fut conviée à les rejoindre.

«  Collin, Elie, Drystan... Pourquoi parliez-vous de moi? Enfin, je sais que je suis la parfaite serpentard, mais pourquoi cette évoquation, Collin? »

Ue fois de plus, Drystan éclata de rire à s’en taper sur la cuisse.


"La parfaite Serpentard ! T’es la meilleure la couz’, change pas !"

Difficile de dire si elle avait adopté le masque Malfoy, ou si elle le pensait vraiment. Mais au fond, ça lui était égal. Qu’elle ait le melon ou pas, Elena restait sa grande petite cousine.

Pendant ce temps, Asaki n’avait guère quitté le portable du regard —Drystan le remarquait à présent. La voix du japonais, pourtant calme et posée, s’imposa au milieu du tumulte des conversations, et fit perdre immédiatement à Drystan son sourire goguenard.

Ca, ça ne lui plaisait pas du tout. Qu’il attaque Gaby directement.

Il se leva d’un bond et arracha le portable des mains de Collin avant de le tendre à Gaby, sans la regarder. Son regard était plongé dans celui d’Asaki, bien qu’au fond, il s’adresse à tout le monde.


"Sérieux, c’est quoi votre problème avec elle ? Vous avez tant que ça peur d’une gamine de quatorze ans que vous vous sentiez obligés de la harceler ? Et à plusieurs, en plus ? Pour des mecs qui prônent la grandeur de Serpentard, vous vous comportez bien comme des lâches."
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Ven 8 Avr - 15:23
Jamais elle ne perdait les pédales. Jamais elle ne se laissait aller à la colère ou aux crises de larmes, elle savait parfaitement contrôler ses émotions et choisissait avec soin lesquelles afficher ou non. Ochi pouvait bien la trouver futile d’être toujours légère et de bonne humeur mais jamais elle ne se plaignait, jamais elle ne s’excusait.

Dans ce genre de situation où la tension était telle qu’un courant électrique semblait passer entre eux, Gabrielle observait froidement la scène, détachée de toute haine. Son silence en était choquant. Elle affichait sur son visage un masque fermé, inexpressif, calculateur. Elle était tournée vers elle-même, intériorisant chaque échange, chaque regard mauvais dans sa direction.

C’était sa défense à elle, et dans ces moments elle faisait preuve d’une brutale lucidité.

Bras croisées, jambes croisées, visage fermé, elle observait.

Collin l’abruti qui avouait s’y connaître en objets moldus en reconnaissant que son portable était un IPhone. Elena la sale hypocrite qui se présentait comme la parfaite Serpentard. Gabrielle ne pouvait pas les supporter. Elle n’esquissa pas un sourire face au commentaire de Drystan mais elle l’appuya mentalement. C’était plus fort qu’elle, elle ne pouvait pas bouger, pas parler, c’est comme si elle voyait la scène d’en haut. Elie menaça son portable, le gamin. Elle aussi elle avait écrasé des fourmis pour le simple plaisir, parce qu’elle savait qu’elle était mille fois plus fortes. Mais elle avait arrêté à l’âge de sept ans, elle.

C’en était pathétique de gaminerie. Ils se passaient son portable et croyaient lui faire du mal.

Elle était tellement loin de tout ça.

Des portables, elle pouvait en avoir vingt. Ses photos, elles étaient sur Internet. Et Ochi, insupportable de grossièreté. Il l’attaqua directement, sans même essayer de la jouer fine. C’était elle son problème ? Mais qu’est-ce qu’il lui reprochait au juste ? Son sang ? Comme les trois idiots d’en face ? Où sa volonté de s’amuser ? De vivre ? De rire ? Ca le faisait chier de voir que quelqu’un avait plaisir à avoir de jolies vêtements, ça le tuait qu’on puisse perdre du temps dans le choix de son sac à main. Mais qu’est-ce que ça pouvait lui foutre ?

Elle lui avait fait du mal ? Il lui avait déjà parlé ? Des jugements sans fondements, c’était lui qui était obsédé par les apparences. Il jouait les Drama Queens, et ça pour Gabrielle qui ne se laissait jamais aller aux émotions négatives, c’était insupportable.

C’était petit, c’était minable.

Quatre contre un. Contre une gamine de 14 ans. Drystan était le seul, le seul à se dresser face aux abrutis d’en face. Ca la toucherait, ça lui ferait battre le cœur, mais plus tard. Elle n’était qu’une statue inatteignable et ne bougea que pour reprendre le portable que Drystan lui rendait. Ses lèvres closes ne parvinrent même pas à formuler un « merci » mais de toute façon le garçon ne l’aurait pas entendu. Il avait déclenché les hostilités.

On allait voir, on allait voir qui serait le plus malin dans cette lutte pour le pouvoir.
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Ven 8 Avr - 17:25
Il n'avait pas daigné réagir au regard que je lui avais lancé... Le Drystan que j'avais connu était à présent bien loin et je venais seulement de le remarquer. Comment pouvait-il s'enticher d'une personne comme cette fille. Mon regard froid et dédaigneux voyageais entre Drystan et Gabrielle, toujours assis dans mon canapé la baguette à la main. Drystan éclata de rire lorsque Collin nous dit qu'Elena et moi irions bien ensemble.Et même si je dois avouer que l'idée ne m'enchantait pas, le rire de Drystan sonna à mes oreilles comme une insulte. Mon regard envers lui se fit encore plus froid qu'il ne l'était déjà. Asaki pris alors la parole, et sa voix calme et froide suffit à faire taire tout le monde. Ses paroles résonnerent dans la piece comme si elle restait en suspens. Mais le silence fut très vite brisé par Drystan qui se levait d'un bon et faisait à présent face à Asaki le regard menaçant. Sans trop réfléchir, je me levais à mon tour, me postant entre Drystan et Asaki, la baguette pointée sur le torse de Drystan. Le bout de ma baguette touchait la chemise de celui-ci et une légère fumée s'en échappait. Je baissais légèrement le regard vers ma baguette et la pointe de celle-ci commençais a creuser un Leger trou dans la chemise de Drystan. Je relevais à présent les yeux et les plantais dans ceux de Drystan. Si vraiment, il fallait en arriver là, je n'hésiterais pas une seule seconde, et j'étais persuadé qu'il le savait. Et là, c'est ma propre voix qui résonna dans la salle, froide, comme un souffle glacé.

Comment oses-tu prendre sa défense ?... Comme peu-tu, tolérer sa présence...

Je fis un signe de tête en direction de Gabrielle.

Comment, toi qui il n'y a encore pas si longtemps que ça les trouvait pathétiques et indignes de ton attention !

Je reniflais d'un aire dégoûter avant de reposer mon regard une nouvelle fois sur Drystan...

Tu es tombé bien bas ...

Je descendis alors le regard sur le torse de Drystan et à l'endroit ou ma baguette le touchais, on pouvait à présent voir un trou fumant laisser dans sa chemise. Je m'écartais de lui puis fis mine de m'en aller, avant de me retourner d'un geste vif en disant.

Avec les compliments de la maison ! Crachelimaces !
Anonymous
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Sam 9 Avr - 15:52
-NOOOOOON!

Je m'étais dressée d'un coup et rapidement, je m'étais mise à la place de mon cousin. Durant leur confrontation, je m'étais déjà mise aux cotés de mon cousin meme si personne ne l'avait remarqué. Oui, meme si je semblais hypocrite, sans coeur, sans scrupules, personne ne touchait à ma famille. Pas meme le garçon que mes parents voulaient me destiner.

Touchée de plein fouet, je m'agenouilla sur le sol, avant de sentir des choses monter par ma gorge. Ce sortilège était mesquin, horrible. Plus jamais, je ne me laisserais tomber dans les charmes de ce type. Après tout, il fallait que je me ressaisse. En un quart de secondes, tellement de choses avaient joué dans ma tete. La gentillesse de mon cousin, les bons moments avec Gabrielle et Dominique...
Pourquoi encore porter ce masque?

Beurk... Une grosse limace venait de sortir de ma bouche, tandis que je fermais les yeux de dégout. J'entendais des rires, mais je m'en foutais. J'avais fait ça pour mon cousin. Pour la seule personne qui m'ai accepté malgré tout.


- Je... suis d'accord que tu ne m'aimes pas Mcgregor, que tu me méprises,  mais on ne touche pas à ma fami...

Et une nouvelle limace. Franchement, meme si c'était dégeulasse, cela en valait la peine. Je voyais Drystan et Gabrielle rester sur le canapé. J'étais seule...

Je serais toujours seule.


- Miss Malefoy a besoin d'un coup de main?

- Si c'est pour te moquer de moi, Lockhart, tu peux aller voir ailleurs...

- Ok, si tu le prends comme ça.

Quel salop. Me voilà seule sur le sol, à vomir ces limaces dégoutantes. Et sentir le regard des autres sur moi. Comme d'habitude. Mais d'une autre façon.
Anonymous
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Mar 19 Avr - 12:58
Mon commentaire ? De trop, certes, j'aurais préféré que l'on réponde d'abord à ma question sur l'appareil photo. Mais ces idiots d'anglais ne comprennent pas l'ironie, l'agacement, ou le simple pragmatisme. Je ne faisais que demander ce qui n'allait pas. S'ils n'ont pas subtilité pour le comprendre.

Je laissai la réponse colérique de Wojciech glisser sur moi comme l'eau glisse sur le sable. Même si je devais avouer trouver sa remarque drôle, les serpentard n’étaient-ils pas connus pour leur lâcheté ? Et puis qu’importe de la grandeur de la maison, je m’en fichais royalement. Mais je fus extrêmement surpris de voir McGregor réagir et se placer entre moi et lui. Cela n'aurait pas du me surprendre, c'était son excuse pour pousser plus loin de bouchon du rejet.

Tout s’enchaîna très vite. C'est qu'ils ont le sang-chaud ces anglais même quand ils se disent calmes. Pour la première fois, je devais avouer avoir du respect pour la Elliot. Elle, elle savait se taire quand il le fallait, garder sa dignité, son honneur. Ces échanges me fatiguaient. Mais il y eut un stade où je me rendis compte que c'était la moitié de ma remarque qui avait déclenché les hostilités. J'étais responsable. C'était donc mon devoir de calmer le jeu comme me le dirait ma grand-mère et ma mère.

Je désarmai donc McGregor, annulai le crache-limace de la pauvre Malefoy et l'aidai à se relever. Je le regardais tour à tour.

« Ce sort est répugnant, il n'y a bien que des gens comme certains d'entre vous pour l'utiliser… Ou l'avoir inventé. » remarquai-je en remettant la Malefoy encore toute tremblante entre les mains de Wojciech. Je m’inclinai devant elle avec un demi-sourire. « Tu mérites tout mon respect. Ton dévouement envers ta famille me touche… même si – en entrant dans votre mode de pensée manichéen – cette action était toute gryffondor. »

Je me redressai.

« La première partie de ma remarque concernait l'appareil. » dis-je calmement, au milieu de la tempête. Je me tournai vers la Elliot, toujours calme et stoique. « Est-ce un appareil photo, si oui, de bonne qualité ? Un tel format pourrait toujours être utile. »

Je me tournai ensuite vers McGregor.

« McGregor-kun, tu devrais te calmer.Je te rendrais ta baguette lorsque tu auras lu le règlement. Il me semble que nous sommes tenus de le respecter. Savoir faire de la magie ne veut pas dire que l'on doive l'utiliser contre les autres. Ton adversaire étant désarmé, tu n'as vraiment aucun honneur. Tu ne mérites aucun respect. »

Je regardai les autres.

« Vous êtes des sang-purs, j'en suis aussi. Mais visiblement, vous ne comprenez pas ce que cela signifie. Je voulais voir comment vous, les anglais réagissiez à ce genre de situation, d'où la seconde partie de ma remarque. Ce qui vous dérangeait était-ce l'appareil, la présence de Wojciech ou Elliot ? J'ai eu ma réponse, c'était le tout. Or, elle est encore jeune et mal dégrossie. Et née-moldue, certes, elle a sa culture, et laissons la lui si elle ne nous intéresse pas. Mais je croyais que votre histoire récente vous aurait poussé à comprendre qu'il faut lui montrer l'exemple de ce qu'est un sorcier. »

Je haussai un sourcil, donnai la baguette de McGregor à Elliot.

« Il me semble que c'est à toi de voir qu'en faire. C'est toi la plus insultée ici. » Je la saluai avec raideur. « Je te prie de m'excuser si ma remarque – mal tournée, je l'admet – a pu te sembler insultante à toi et à Wojciech-chan. Ce n'était pas mon intention, je ne t'apprécie pas particulièrement mais c'est sans rapport avec ton sang ou quoi que ce soit. Je pense que nous n'avons tout simplement pas des caractères compatibles. »

Je me redressai et leur jetai un regard général.

« Maintenant je vous quitte, j'ai la sensation que toute cette situation est vaine. Et il faut parfois savoir abandonner. Tout ce que vous pourrez faire ne servira à rien, à mon humble avis. »

Un hochement de tête à leur encontre de plus et je pris mes affaires afin de quitter la salle commune en quête de lieu calme pour finir ma lettre au pays.
Ochi Asaki
Ochi Asaki
Neutral
ft. : Miura Haruma
Hiboux envoyés : 56
Sur MM depuis : 03/04/2016
Âge : 23
Allégeance : Serpentard
Mornilles : 270
DC : Keir MacLaggen
Dominique Weasley
Sican Leon's
Shoshana Figuerols
Maddy Sulwist
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Ven 22 Avr - 11:38
Ca s’agitait autour d’elle, c’était là sous ses yeux, toute cette haine, cette tension incompréhensible. Elle la voyait sans la voir, elle la sentait sans y prêter attention, elle était enfermée dans sa propre tête. Elle n’arrivait pas à s’en extirper, c’était un cocon chaud et protecteur dans lequel elle se noyait, incapable de refaire surface.

— Comment oses-tu prendre sa défense ?... Comme peux-tu, tolérer sa présence... Comment, toi qui il n'y a encore pas si longtemps que ça les trouvait pathétiques et indignes de ton attention !

Les mots d’Elie rebondissaient sur elle. Elle était incapable d’en saisir le sens, barricadée dans sa tête. C’était toujours la même chose, elle ne savait pas si c’était son instinct de protection ou une attitude particulièrement enfantine de se couper des problèmes mais elle ne pouvait pas faire autrement. « Allez Gaby, fais un effort, concentre toi ! » « Non reste là, ne bouge pas, dehors c’est dangereux, moi je t’aime. »

Elena reçut un sortilège de crache-limace, elle s’était levée, elle s’était interposée, elle avait changé de camp, pour elle et pour Drystan, et pourtant Gabrielle était incapable de réagir. « Mais BOUGE Gaby, BOUGE ! » elle entrouvrit la bouche et croisa le regard d’Elena qui vomissait limaces sur limaces.

« Ne t’en mêle pas, ils vont te faire du mal, moi je prends soin de toi, jamais je ne te blesserais, n’ai confiance en personne d’autre Gaby. » Putain. Elle n’arrivait pas à sortir de son état de léthargie. Ochi changea de camp lui aussi et répara les dégâts qu’il avait provoqué.

Ca n’avait pas beaucoup de sens à ses yeux. « Tu vois Gaby, tu ne peux pas faire confiance aux gens, ne te mêle pas à ça. »

— Est-ce un appareil photo, si oui, de bonne qualité ? Un tel format pourrait toujours être utile.

La question directe et décalée d’Ochi obligea Gabrielle à se réveiller. C’était une bonne claque mentale et elle en avait besoin si elle voulait réussir à se défendre seule.

— Oui c’est un appareil photo.

Elle avait parlé sans émotions, sans chichis, elle était retournée à son état froid et mécanique qui analysait les données avant de calculer une réponse cinglante. Putain. Mais il se foutait d’elle ce con. Il se croyait malin à prendre la situation de haut, à faire comme-ci il avait posé une question anodine dont la réponse lui intéressait vraiment. Oh mais bien sur Ochi, tu veux connaître ma résolution de pixels ? Viens on fait un selfie, tu vas voir les belles photos que ça fait ! Mais bien sûr. Il jette une souris dans un nid de serpent et joue les innocents quand on la retrouve bouffée.

— elle est encore jeune et mal dégrossie, dit-il au milieu de son show.

Oui, c’était elle qui mettait les pieds dans le plat, mais bien sûr.

A son grand étonnement Ochi lui donna la baguette d’Elie. Elle ne cacha pas sa surprise en recevant l’objet, haussant un sourcil perplexe.

— Il me semble que c'est à toi de voir qu'en faire. C'est toi la plus insultée ici. Je te prie de m'excuser si ma remarque – mal tournée, je l’admets – a pu te sembler insultante à toi et à Wojciech-chan. Ce n'était pas mon intention, je ne t'apprécie pas particulièrement mais c'est sans rapport avec ton sang ou quoi que ce soit. Je pense que nous n'avons tout simplement pas des caractères compatibles.

— Je ne vois pas en quoi j’ai pu t’offenser Ochi, répliqua Gabrielle d’une voix sèche, mais peu importe, je suis d’accord sur le fait qu’il ne sert à rien de se battre pour si peu et j’apprécie tes excuses.

Elle les appréciait mais elle n’oubliait pas avec quelle facilité il avait joué aux hypocrites. Il n’était définitivement pas quelqu’un de confiance.

Il s’en alla.

Et qu’est-ce qu’elle était censée faire avec la baguette d’Elie, au juste ? Elle lança un regard de défi à son propriétaire et la fit tourner deux fois entre ses doigts. Voilà qui était pathétique. Le fou de la baguette n’était plus qu’un ado sans défense, incapable de quoi que ce soit sans son petit bout de bois. Il n’avait aucune bonne raison de la haïr, aucun bon argument pour la décrédibiliser.

— Alors ? Lâcha-t-elle, bien décidée à ne pas se faire marcher dessus, ça fait quoi d’être un moldu, Elie ?
Anonymous
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Sam 23 Avr - 20:04
"Comment oses-tu prendre sa défense ?... Comme peu-tu, tolérer sa présence…Comment, toi qui il n'y a encore pas si longtemps que ça les trouvait pathétiques et indignes de ton attention !"

Alors ça, ça c’était tellement injuste.

Drystan lança un bref regard légèrement paniqué en direction de Gaby. Pourvu qu’elle ne le croit pas.

Il avait été assez stupide, à une époque, pour faire le malin et se moquer bêtement de qui il pouvait. Et il se trouvait que les nés moldus étaient des cibles faciles. Quand on a douze ou treize ans, on ferait n’importe quoi pour faire le kéké. Il n’arrivait pas à croire qu’Elie pouvait ramener ce vieux dossier périmé à la lumière du jour.
A la réflexion, c’était parfaitement logique en fait, venant d’Elie. Il ne supportait pas qu’il soit ami avec une née moldue, il ne le supportait pas tout court, et n’avait absolument aucune limite quand il s’agissait de l’attaquer.

En parlant d’attaquer…

Il sentit la baguette de son ancien ami lui brûler légèrement la peau. Lorsque la douleur parvint a ses nerfs, il était déjà trop tard, et un trou semblable à un trou de cigarette avait percé le tissu. Putain ! Sa chemise rose préférée, quoi ! Il voulait vraiment le faire chier jusqu’au—

Le reste se passa trop rapidement pour qu’il ait le temps de réagir, ni de réellement tout comprendre.
Un sort qui lui était visiblement destiné frappa Elena de plein fouet. Est-ce qu’elle s’était…interposée entre Elie et lui ?

Drystan s’accroupit et passa un bras qui se voulait réconfortant autour des épaules de sa cousine. Il se retint de vomir à la vue des limaces que crachait Elena alors qu’elle s’évertuait à parler, malgré le débit constant de vermine gluante qui lui tombait de la bouche. Il n’y avait rien à faire, il fallait attendre que ça passe. Il le savait bien, ce sort étant l’un des préférés de ce cher Elie. Il en avait vu d’autres.

Il n’écouta qu’à moitié le long et ennuyeux discours du tout aussi ennuyeux Asaka. Il se contenta de rouler des yeux. Merci pour la leçon de morale, mec. En revanche, le fait qu’il s’empare de la baguette d’Elie pour la donner à Gaby ne lui échappa pas.

Sans lâcher sa cousine, il fit aller son regard de Gaby à Elie, puis d’Elie à Gaby. Merde. Ca risquait de vraiment mal tourner, cette affaire.
Est-ce qu’il devait intervenir ? Franchement, Gaby avait l’air capable de se débrouiller toute seule —du moins le pensait-elle, vu son attitude provocatrice envers son aîné— mais c’était mal connaître Elie. Comme s’il n’allait pas user de tous les moyens pour récupérer sa baguette, désarmé ou pas.


«  Laisse tomber, Gaby, » lâcha-t-il sans prendre le temps de réfléchir d’avantage. Il ne voulait pas, mais alors vraiment pas que sa nouvelle amie finisse à l’infirmerie en plus de sa cousine qui était sacrément mal en point.

« Rends lui sa baguette. »
Spoiler:
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Ven 29 Avr - 12:50
Je vis rouge, c'est le moins que l'on puisse dire lorsqu'Asaka pris ma baguette, mais ce fut encore pire quand celui-ci la donna à Gabrielle. N'avait-il aucun respect pour ma baguette. Comment pouvait-il oser la toucher de leurs petit doigts gras et répugnant. Mais surtout comment Gabrielle, la sang de bourbe pouvait-elle oser souiller ma baguette avec son sang impur. S'en était trop. Mon regard flamboyant se posait sur Drystan qui dit alors qu'elle ferait mieux de me rendre ma baguette... Enfin quelqu'un qui revenait à la raison, mais ce que Gaby me dit ensuite eut l'effet d'une bombe. D'un pas rapide, je traversais la pièce pour me retrouver devant Gabrielle, J'étais bien plus grand qu'elle et je dus baisser la tête pour la regarder dans les yeux. Le poing fermer je m'adressais alors à elle d'une voix froide et dédaigneuse.

Ne pose plus jamais tes mains de sang de bourbe sur ma baguette...

D'un geste rapide, je lui arrachais ma baguette des mains. Ma respiration s'accélérait. Est-ce que j'allais être raisonnable, et quitter la pièce sans faire plus d'esclandre ... Certainement pas. Je tournais alors le regard vers Asaka.

Je me fiche de ton respect, tu peux bien te le garder...

Puis je dis à l'attention de tout le monde.

Je ne comprendrais jamais comment une bande de clowns comme vous à pus finir dans cette maison ...

Je tournais alors les talons et m'engouffrais dans l'escalier pour rejoindre mon dortoir et laisser cette bande de faux jetons ensemble.
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Dim 1 Mai - 12:26
Après avoir toussé une dernière fois, je remerçais Asaki en baissant légèrement la tête et me réfugia dans les bras de Drystan, qui me réconforta doucement.

Beurk... Il me le paiera un jour, mais plus question pour moi de l'admirer ou de suivre ce que veulent mes parents. Quitte à être désheritée, je m'en fiche.

Une fois assise sur le canapé, je regardais l'action comme un film. Elie avait l'air d'un chien attaché à une laisse qui veut attaquer sans ne pouvoir rien faire. Bien fait. Je voyais Gabrielle s'amuser de lui et ça me fit rire. Elle a du caractère cette petite, elle me plait de plus en plus. Mais, la voir s'amuser avec mon cousin avait quand même éveillé en moi, un peu de jalousie, si je puis dire...


-Les serpentards ne sont pas seulement méchants, Elie. On aime juste faire des choses pour nous même et nos proches. La famille et les amis sont aussi quelque chose de sacrés, mais je pense que tu ne sais pas ce que c'est, vu que tu n'as jamais eu de réels amis.

La salle resta muette. Oui, la Malefoy en moi avait parlé. Une fois qu'Elie fut parti, après nous voir lancé un regard de dégout, je m'approchais de gabrielle, prête à lui faire des excuses.

- Je suis désolée Gabrielle. J'ai été une réelle peste ces derniers temps, avec toi et à cause de ton rang. J'ai compris maintenant que ce n'était pas la popularité qui comptait, mais l'amitié. Accepterais-tu qu'on recommence tout à zéro et qu'on essaye d'être....amies?

Me serrant à Drystan, j'adressais un réel sourire à la jeune fille et lui tendit ma main manucurée à la perfection.

-Tu pourrais me donner quelques leçons de style moldu si tu veux?
Anonymous
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