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Stornoway est le village jouxtant l'édifice de la W.I.S.E. La route entre les deux se fait, à pieds, en une vingtaine de minutes et offre une vue spectaculaire des plages qui bordent l'île. Village tout près des montagnes est traversé d'une rivière se jetant dans la mer, charmant et pittoresque, Stornoway - à force de cohabiter avec la W.I.S.E. - est devenu un village entièrement sorcier où il fait bon vivre et travailler. Là-bas vous y retrouverez également le quartier Coigrich, un quartier qui, depuis quelques années, s'est naturellement développé avec l'arrivée d'étudiants aux origines multiples à la W.I.S.E. - sur la rue Goathill. Restaurants italiens, japonais, coréens et même canadiens y ont vu le jour. Salles de bowlings, de karaokés, petits salons de thé, boulangeries, bibliothèques, magasins de musique, terrains de foot, studios de danse, gymnases et bars ont pointés lentement le bout de leur nez, faisant maintenant compétition aux édifices ancestraux présent depuis bien longtemps dans les rues de Stornoway.
welcome sur Memor Mirificus, un forum University/City/HP de type fantastique ou vous pouvez incarner moldus, sorciers ou cracmols. Le jeu se déroule a Stornoway sur l'île de Lewis, là ou la première université pour sorciers et moldus a ouvert ses portes. Vous aurez sept jours pour terminer votre fiche. aucun nombre de RP par mois n'est demandé, ni de ligne minimum par réponse.
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Elementary, my dear Lufkins [PV Ennis]

Dim 10 Avr - 13:33
Les professeurs moldus de Gabrielle avaient toujours complimenté sa capacité d’analyse et de déduction, enfant, elle aimait jouer au détective, démasquer qui avait volé le goûter de Charlotte pendant la récréation et qui avait tué le Colonel Moutarde dans la bibliothèque avec un chandelier.

Cet amour de la logique avait été bien vite balayé le jour de ses 11 ans, et plus particulièrement le jour de l’achat de sa baguette magique. Alors qu’elle n’était toujours pas bien certaine de savoir si tout cela existait vraiment, elle entra d’un pas timide dans la boutique d’Ollivander.

Bien qu’elle ait ouvert la porte en grand, l’homme n’avait pas remarqué sa présence et c’est mal assurée qu’elle s’avança vers lui, quand elle se fit littéralement assommer par une boîte qui tomba de la plus haute tour de boîtes bancales du magasin, alors qu’elle passait juste en dessous.

— PUTAIN ! Avait gueulé Gabrielle en se frottant le crâne, jetant un regard assassin à la baguette étalée sur le sol sortie de la boîte de Pandore.

— Ohoo ! Voici une façon bien originale de choisir son sorcier ! Avait dit le vieil homme en s’approchant d’elle, 25 centimètre, bois de tilleul et cœur de corail, une baguette excellente pour tous ceux qui ont le don de divination !

— Quoi ? Avait bredouillé Gabrielle.

— Et bien mademoiselle, voici votre baguette ! Elle vous a choisi !

— Elle m’est tombé dessus.

— Elle vous a choisi.

— Elle m’est tombé dessus parce que j’ai laissé la porte ouverte et parce qu’elle était posée n’importe comment tout en haut de cette pile bancale ! S’énerva Gabrielle qui n’avait aucune envie de se voir refourguer une baguette assassine.

Ollivander avait fini par lui faire accepter sa baguette, sa brindille, si fine qu’elle risquait de la casser à tout moment (« il faudra être très précautionneuse avec cette baguette miss Elliott. » « Pas de souci, j’ai l’habitude avec mon IPhone. » « Votre quoi ? »). Depuis, Gabrielle avait complètement accepté sa brindille et elle revenait tous les ans dans la boutique d’Ollivander pour faire des révisions techniques.

Mais elle n’avait cependant jamais accepté qu’elle puisse avoir un quelconque don de divination et n’avait pour la voyance, qu’elle connaissait sous l’angle moldu, que de la méprise. La raison du choix de cette matière de la part de la sceptique Gabrielle n’était en réalité dût qu’à Ennis Lufkins, la seule personne qui ai un réel pouvoir d’influence sur Gabrielle. Quand elle avait appris que sa tendre amie avait pris l’option Divination, elle s’était empressée de faire pareil et n’avait même pas repensée aux paroles d’Ollivander.

Et c’est ainsi qu’elle se retrouvait piégée comme un rat à devoir étudier ce qu’elle rejetait en bloc. Il n’y avait pas de mots pour décrire la relation de Gabrielle envers cette matière. Elle nageait dans le grand n’importe quoi. La professeur, madame Yume Fang Luo s’extasiait de ses capacités extraordinaires dans sa matière quand Gabrielle devait se retenir pour ne pas pousser des soupirs exaspérés à chaque fois qu’une de ses prédictions se révélaient véridique. Si elle s’endormait en cours, Fang Luo lui demandait quel genre de rêve prémonitoire Gabrielle avait pu avoir. Celle-ci, gênée de s’être fait prendre inventait bien souvent n’importe quoi pour se tirer de ce mauvais pas (« J’ai rêvé qu’une tache verte avait mangé une rose » avait-elle dit un jour en regardant par la fenêtre le lac déborder sur les fleurs.) ce qui était bien souvent suivi d’un véritable enchantement de la part du professeur (« Oh ! Mais juste avant le cours j’ai renversé mon thé vert sur mon kimono rose ! »). Mon dieu. Qu’on l’achève.

Elle n’avait pas les mots pour décrire l’absurdité de ces cours.

Heureusement, entre les phases de grand n’importe quoi, il y avait Ennis. Ennis qui était toujours près d’elle, sage comme une image, mignonne comme un cœur. Gabrielle en était simplement gaga. Elle chérissait très peu de choses à vrai dire : sa baguette, son IPhone et sa Lufkins. Mais pourquoi ne pouvait-elle pas emmener cette dernière avec elle partout et n’importe où comme pour ses deux autres objets ? Oh, comme elle aurait aimé la miniaturiser pour la mettre dans sa poche pour l’avoir avec elle toute la journée ! Le soir, elle lui aurait fabriqué un petit lit avec une boîte d’allumette ou la boîte de son IPhone, elle lui aurait donné à manger des petits bouts de gâteaux et lui aurait même donné à boire dans un mini-pichet !

Pourquoi fallait-il que sa poupée voit d’autres gens ? Gabrielle l’aimait assez pour remplacer n’importe quelle autre amitié que la Poufsouffle aurait pu avoir envie d’avoir. Elle s’en occupait comme d’une mère à veiller à ce qu’elle soit toujours bien habillée et bien coiffée, comme d’une sœur à lui confier ses secrets, comme d’une amie à lui raconter ses meilleures blagues. Vraiment, Gabrielle ne voyait pas pourquoi Ennis aurait eu envie de partager son cœur avec d’autre gens qu’elle.

Et de toute façon, elle veillait à toujours être avec la Poufsouffle dès que possible.

Assise à côté d’Ennis pendant que la prof disposait des boules de cristal sur les tables, Gabrielle murmura à son amie :

— Je te paris qu’elle va me demander de faire une prédiction.

— Et bien les enfants ! Qui veut essayer de lire dans les boules de cristal ? Mmh ? Miss Elliott ?

— Gagné, grogna Gabrielle tout bas pour que seule Ennis puisse l’entendre « C’est le troisième œil ! » Dit-elle dans une assez bonne imitation de la prof.

Elle jeta un regard vitreux à la boule de cristal où elle n’aperçut que son reflet. Une jeune fille de quatorze ans au visage fin, aux pommettes marquées, aux yeux noisettes un peu de travers, à la bouche pleine, et…

— UN BOUTON ! S’écria Gabrielle en apercevant un minuscule bouton sur sa mâchoire.

— Comment ? Interrogea madame Fang Luo.

— Euh, se reprit Gabrielle, quelqu’un va, euh, appuyer sur un bouton, ce qui déclenchera une catastrophe, quelque chose de blanc va en sortir et ce sera plutôt une mauvaise idée.

Au même moment un idiot de Poufsouffle actionna la poignée rouge de l’armoire à thé de madame Fang Luo et sa délicate porcelaine blanche alla s’écraser sur le sol dans un fracas assourdissant.

— C’est le troisième œil !



Spoiler:
Anonymous
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Mar 12 Avr - 12:32
Pour être tout à fait honnêtre, le jour ou Ennis avait dû faire son choix de cours, elle ne sait toujours pas ce qui l’avait poussé à prendre divination.  Peut-être curiosité?  Peut-être à force d’entendre les plus grand se raconter leur devoir en riant, peut-être dû aux rumeurs sur la qualité impressionnante du thé servit, voir même simplement parce qu’au fond d’elle, la jeune irlandaise trouvait cette branche tellement abstraite et étrange qu’elle voulait en savoir plus, le petit côté serdaigle en elle.

Ce qu’elle n’avait absolument pas prévu, par contre, c’était que Gabrielle lui demande tout bonnement ses choix et qu’elle lui réponde tout naturellement… sans penser que la Serpentard allait littéralement cocher les mêmes options qu’elle sans plus de réflexions.  Première preuve qu’Ennis n’avait aucun don en divination… car elle aurait dû voir le voir venir (même son grand-père n’avait pas été étonné lorsque la frisé lui avait raconté!).

Mais bon, un an plus tard, la poufsouffle avait commencer à s’habituer à la présence quasi constante de Gabrielle autours d’elle… bien qu’elle ne comprenne absolument pas tout l’intérêt que la serpentard lui portait.  Il y avait tellement d’étudiant plus intéressant, plus drôle, plus intelligent et plus joli qu’elle, que la pauvre irlandaise restait toujours septique face aux intentions de Gab… Après tout, elle était serpentard… est-ce que toutes les rumeurs sur eux étaient vraies?  N’étaient-ils pas qu’une bande de manipulateurs perfides et sans merci?  Pourtant à ses yeux, l’anglaise n’avait rien de bien méchant… mais il fallait toujours se méfier de l’eau qui dort… ce qu’Ennis faisait du mieux qu’elle le pouvait (c’est-à-dire avec une incompréhension quasi constante des actions de ce qu’elle voyait comme… son amie maintenant).

Il y avait tout de même plusieurs avantage à être en équipe avec Gabrielle en divination.  La première était sans doute la plus importante:  aux yeux du professeur Fang Luo, elle, Ennis Lufkins, n’existait pas.  Le regard de leur chère professeur ne se rendait jamais plus loin que Gabrielle lors des cours et Ennis en était fort aise.

Ce cours-ci ne faisait pas exception alors que Gaby se penchait vers elle pour prédire (celle-là était quand même facile puisque c’était la même histoire depuis près de deux ans) que Fang Luo allait lui demander de faire des prédictions.  La poufsouffle dû toute de même retenir un rire d’amusement lorsque, effectivement, l’épeurente professeur demanda à sa coéquipière de lever le voile du futur.  Mais... Si Fang Luo ne vit pas le cheminement des paroles de Gabrielle, Ennis elle, le compris bien rapidement alors que son amie remarquait un bouton qui semblait vouloir pointer le bout de son nez, sur son visage, dans son reflet sur la boule de cristal.  

Le plus fou, en fait, c’était qu’à chaque fois que Gabrielle faisait une prédiction bidon… elle terminait toujours par se réaliser… enfin, qu’elles étaient les chances que quelqu’un appui sur un bouton blanc alors que durant tout ce temps elle parlait de son bouton au menton?  Riant donc silencieusement à l’évenement, tout de même impressionné par les pouvoirs de prédictions de la serpentard, Ennis sortit un bout de parchemin, le visage rouge de rire, pour y écrire en souriant:


«Tu aurais pu prédire qu’il allait avoir une inondation d’ici quelques minutes dans la tours d’astronomie nous obligeant à annuler le cours, et celui de la semaine suivante en raison d’ensorcellement démoniaque… ça nous aurait évité de venir!»

Puis, subtilement, elle glissa le parchemin devant l’anglaise, avant de se racler la gorge pour attirer l’attention de celle-ci sur sa note.
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Ven 15 Avr - 15:12
Au bout de deux ans de prédictions sans queue ni tête et pourtant exactes, on aurait pu croire que Gabrielle avait fini par se faire à l’habituelle vague de murmures admiratifs qui suivait, mais non. Elle ne pouvait pas s’empêcher de soupirer bruyamment à chaque fois, exaspérée par l’absurdité totale de la situation.

Si les premières fois elle en était restée bouche bée d’incompréhension, elle avait bien vite accueillit les « Wahoo » « C’est le troisième œil ! » et autre « Lis moi mon avenir s’il te plaît ! » avec un énervement proche de l’insolence. Tout cela était ridicule.

Elle profita du brouhaha ambiant provoqué par sa prédiction et par les remontrances de la prof envers le Poufsouffle briseur de porcelaine pour appliquer sa baguette sur l’immondice responsable de toute cette histoire.

Occus Photoshopus, murmura t’elle en faisant sauter le bouton, berk berk…

En voilà d’un sort qu’elle connaissait par cœur. Sa baguette allait finir par la tuer à force de siphonner la moindre de ses imperfections d’ado. Sortilège pour réveiller cheveux plat, terne et sans éclat ? Acquis. Sortilège pour balayer acné, boutons, pustules ? Acquis. Sortilège pour teint frais du matin ? Acquis. Si seulement il y avait option sortilège beauté, elle aurait remporté le grand prix haut la main.

Tout à son contentement de retrouver son beau visage lisse et lumineux dans le reflet de la boule de cristal, elle n’accorda qu’une attention limitée à Ennis qui s’étouffait de rire. Si au moins sa prédiction faisait rire son amie, ça valait la peine de l’avoir faite, finalement. Elle lut le mot que lui glissa la Poufsouffle – Pourquoi s’encombrait-elle à faire des mots ? – à voix basse, pour sa part, bien peu concernée par l’idée d’être discrète.

Tu aurais pu prédire qu’il allait avoir une inondation d’ici quelques minutes dans la tours d’astronomie, d’astronomie ? Ou de la Tour Nord ? Demanda Gabrielle, commentant à haute voix le message, alalala, tu perds la boule ma pauvre Ennis, en plus tour ne prends pas de S,  nous obligeant à annuler le cours, et celui de la semaine suivante en raison d’ensorcellement démoniaque… ça nous aurait évités de venir! Ha ! J’ai essayé une fois où tu étais malade, - je me faisais beaucoup trop chier - de faire croire à une inondation, mais elle m’a engueulé devant tout le monde – j’ai failli pleurer – elle a gueulé tellement fort qu’un des élèves c’est fait pipi dessus ! Ahahaha, c’était trop marrant ! Non, c’était pas marrant, se reprit-elle, soucieuse de ne pas passer pour méchante auprès d’Ennis, enfin après coup c’est quand même marrant.

Sur le coup elle avait failli pisser de rire tellement elle avait dût lutter pour ne pas éclater de rire. Elle aurait eu l’air maligne elle aussi, tient. Ça aurait été tellement con comme situation, mon dieu.

Fang Luo était occupée à passer entre chaque table pour prodiguer ses bons conseils et Gabrielle, qui n’avait rien écouté de ce qu’elles étaient censées faire, en profita pour lancer la discussion d’une voix claironnante.

Tea Time ! Chanta-t-elle en faisant rouler la boule de cristal sous ses doigts sans aucune considération, bon on n’a pas de thé cette fois on a qu’une grosse boule, mais ça n’a aucune importance.

Elle considérait les cours de divination comme un salon de thé et il lui arrivait souvent d’apporter des biscuits en complément.

J’ai plein de choses à te raconter ma petite Ennis, dit-elle avec un sourire malicieux, je ne sais pas si tu as lu le Lockart & Hogwart de cette semaine mais, elle se pencha pour fouiller dans son sac et en retirer un exemplaire froissé, j’ai fait la une ! Enfin, je sais que c’est idiot bien sûr mais cet abruti de Purple est vraiment bien renseigné ! Enfin…

Elle essayait d’emmener la conversation quelque part, elle avait envie de se confier à quelqu’un mais elle n’était pas vraiment à l’aise non plus, aaaah bon sang ! Quelle nouille vraiment !

J’ai visité Gryffondor avec Dominique, tu sais la rousse là, non pas Winifred. Non pas Mayble. La sœur de Victoire, là.

Argh non, ce n’était pas ça qui lui brûlait les lèvres.

Et je suis allé dans la salle des trophées, continua-t-elle d’une petite voix qu’elle tâchait de ne pas rendre suraiguë, avec… Drystan un gars de septième année !

Elle ne pût en supporter davantage et, se sentant rougir, elle enfouit son visage dans ses mains en se balançant d’avant en arrière, morte de gêne par les confidences qu’elle essayait de faire à Ennis. Mon dieu, Gaby du calme, du calme, ce n’est qu’Ennis, elle ne va pas te juger…

Miss Elliott ! Interrompit Fang Luo en l’interpellant soudainement.

Oh non. Elle était cramoisie. Elle stoppa net son mouvement de balancier et planta son regard dans celui de la professeur qui la dévisageait avec attention.

Où avez-vous appris la technique de la transe indienne ?

Quoi ? Bredouilla Gabrielle, qui sentit instantanément le rouge de ses joues diminuer.

C’est comme cela que l’on appelle ce que vous venez de faire, c’est une technique ancestrale de la divination indienne, les jambes croisées les mains en prière sur le visage, un mouvement de balancier et un arrêt de la respiration qui provoque des plaques rouges sur la peau.

Bin voyons.

Alors ? Vous avez eu une vision ?

Euh, non, euh, elle croisa le regard de la prof qui attendait avec impatience, la mine sévère, c’était tout noir, je fermais les yeux, j’en sais rien moi, cette nuit, il va faire tout noir.

Ta gueule.

La prof sembla déçue mais elle la félicita pour sa prise d’initiative à la pratique de la transe indienne. Le cœur de Gabrielle battait fort dans sa poitrine, putain, elle avait loupée l’occasion de se confier à Ennis, elle n’oserait plus jamais maintenant. Elle était tellement refermée sur elle-même quand il s‘agissait de ses émotions, il n’y avait qu’à Ennis qu’elle s’autorisait à lâcher prise et maintenant qu’elle avait été coupée dans son élan elle n’avait plus d’autres envie que de creuser un trou pour s’y planquer jusqu’à la fin de ses jours.
Anonymous
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Ven 29 Avr - 22:30
HRP:

Il en fallait bien peu à la Poufsouffle pour que celle-ci s’étonne.  Il va s’en dire qu’avec ses quatre dernière année à Poudlard, l’irlandaise avait fortement espéré devenir… mature, mais surtout, moins naïve.

Aussi, une fois que Gabrielle eut finalement réglé le compte à son bouton, franchement pas si horrible que ça, Ennis fut évidemment étonner de voir la serpentard prendre son bout de papier et le lire à voix haute à côté d’elle, alors qu’elle y répondait par la même occasion, rendant rouge de malaise la pauvre jeune fille qui ne cessait de jeter des regards apeurés et inquiets entre sa camarade de classe et le professeure Fang Luo.  Merlin, était-ce vraiment nécessaire d’être si bruyante?

Mais Gabrielle était ce qu’elle était, Ennis n’eut pas le temps de dire quoi que ce soit qu’elle était déjà sur une nouvelle lancé d’idée.  Visiblement, les idées se bousculait dans la tête de l’anglaise et Ennis ne put que rester silencieuse à ses côtés, continuant de la regarder, mitigé entre l’horreur d’être aux côtés de quelqu’un d’aussi bruyant, mais aussi légèrement intrigué par ce qu’elle commençait à lui raconter.  La Poufsouffle dû se l’avouer honteusement, la vie glamour de Gabrielle était cent fois meilleure que des livres pour ados à l’eau de rose, vraiment, histoire palpitante, sans censure.

Ainsi son amie lui déblatérait sans gêne ses derniers mille et un coups, plus excitée qu’une puce, passant d’une histoire à une autre, laissant la pauvre Ennis complètement interdit, choquer puis finalement curieuse.

Drystan.

Hmm, le mystérieux et beau Serpentard en septième année, soudainement bien plus intéresser par l’histoire de Gabrielle que par le cours de divination, Ennis, les joues rouges et pratiquement aussi excitée que Gabrielle, se pencha un peu plus vers elle, avide de savoir la suite.  Comment, pourquoi, dans quelle circonstance son amie avait-elle pi terminé sa soirée dans la salle des trophées avec le beau blond?  Plus inconsciente que jamais de ce qui se passait autours d’elle, son attention toute centré sur Gabrielle,  Ennis sursauta pratiquement à en tomber de son siège lorsque Fang Luo interpella la Serpentard.  Les deux filles écarlates, Ennis complètement honteuse d’avoir été pris en flagrant délies d’inattention, l’irlandaise baissa la tête, écoutant les félicitations dont Gabrielle était couverte pour quelque chose dont elle ne connaissait même pas l’existence.

Mais pourtant, dans l’esprit de la Poufsouffle, une seule question y flottait maintenant, sans relâche… et cette question n’avait définitivement aucun lien avec  la fausse vision de Gabrielle, ou encore sur sa nouvelle faculté à savoir faire la danse ancestrale de divination indienne.  Non, la seule question était …

Un regard vers leur professeur de divination, maintenant occupé à aider des pauvres cas perdu, La Lufkins se pencha vers Gabrielle, toujours aussi rouge pour murmurer avec l’excitation d’une fille de 14 ans entendant les premières histoires de cœurs de son amie :

«Et puis quoi?  Qu’est-ce qu’y s’est passé, pourquoi tu y étais avec lui? Vous vous êtes embrassé?  Il veut que tu sois ta petite amie? Gabi allez… dis-moi!»
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Dim 1 Mai - 13:43
— Et puis quoi? Qu’est-ce qu’y s’est passé, pourquoi tu y étais avec lui? Vous vous êtes embrassé? Il veut que tu sois ta petite amie? Gabi allez… dis-moi!

— CHTTTTTTTTTT ! Fit Gabrielle entre ses dents pour couvrir la voix de son amie.

Rouge de honte, morte de trouille à l’idée de s’exposer ainsi, elle couvrit son visage de ses deux mains avant de basculer en avant, sur les genoux d’Ennis. Il fallait évacuer le trop pleins d’émotion en se jetant tête la première sur la Poufsouffle de façon théâtral.

Personne ne faisait plus attention à elles de toute façon et à tous les coups elle s’était mise en posture du bouddha allongé alors ça n’avait aucune importance. Gabrielle gémissait dans ses mains, pitoyablement, affreusement mal à l’aise.

La tête sur les genoux d’Ennis et enfouie dans ses mains, elle se sentait presque isolée de tout dangers. Elle écarta les doigts pour croiser le regard de la douce, la compréhensive, Ennis-pain-d’épice.

— Mon dieu, non… gémit Gabrielle à travers ses mains, il a 17 ans, il doit me prendre, pour, pour une gamine !

Ses yeux brillaient à travers ses mains. Ecarlate, gémissante, gloussante, frétillante, sur les genoux d’Ennis-la-consolatrice, elle avait rarement été autant dans le vrai.

— Mais ola,la, on a vraiment passé la soirée ensemble et le lendemain il est venu me reparler dans la salle commune, devant tout le monde…

Elle avait parlé très vite, appliquant la philosophie du « il vaut mieux arracher un pansement d’un coup sec plutôt que petit à petit ».

— Mais je pense qu’il m’aime bien quand même, il m’a défendu quand les autres se sont moqués de moi à Serpentard…

Des larmes se formèrent au coin de ses paupières sous le coup de l’émotion Elle ne savait pas si elles les devaient au souvenir désagréable de s’être faite injuriée de sang-de-bourbe une nouvelle fois ou au souvenir du chevalier Drystan brandissant sa baguette pour laver l’honneur de Dame Gabrielle (elle romançait beaucoup les choses), en réalité c’était sans doute un concentré de tout cela.

Comme à chaque fois qu’elle parlait un peu trop d’elle, elle se donna des gifles mentales et s’insulta de tous les noms dans sa tête. Mais pourquoi Ennis avait-elle tant de pouvoir sur elle ? Toujours allongée sur ses genoux, Gabrielle se sentait comme un patient chez son psy.

C’en était trop, il fallait équilibrer le rapport de force au plus vite.

— Et TOI ma petite Ennis, dit Gabrielle en se relevant brusquement, tu dois me dire, que dis-je, tu as le DEVOIR de me dire, de me révéler, de me confier, qui parmi tous ces beaux garçons fait battre ton cœur ?

Elle dardait un regard pétillant sur Ennis, absolument certaine de mettre mal à l’aise la pauvre enfant. MAIS ENFIN, ne s’était-elle pas livrée à elle, n’avait-elle pas suffisamment donné pour recevoir un tout petit peu de confessions à son tour ? Ennis la doucette devait bien regarder les garçons elle aussi, il n’y avait quand même pas que son pépé qui méritait les longues dissertations de la Poufsouffle !

Son état au bord de la crise de nerf de tout à l’heure avait laissé place à l’avidité de connaître la réponse à sa question. Elle était bien entendue toute prête à prendre Ennis dans ses bras, à la bercer, à lui dire qu’elle était la plus belle et que si le garçon de ses rêves osait ne serait-ce que passer devant elle sans la regarder elle le transformerait en cafard avant de l’écraser avec rage. Bien entendue, elle était aussi prête à se battre pour être le garçon dont rêvait Ennis. Gaby la magnifique valait bien tous ses idiots puissance mille. En réalité elle était tellement jalouse à l’idée que quelqu’un lui pique son Ennis qu’elle ne savait pas si elle parviendrait à être assez bonne pour leur donner sa bénédiction.

Mais en attendant de disséquer l’attachement malsain qu’elle avait pour la petite Lufkins, elle se contentait de faire tourner la boule de cristal entre ses doigts. Et si elle ne lui disait pas, elle n’aurait qu’à deviner.
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Sam 28 Mai - 23:07
Ennis écoutait avec une attention non feinte l’histoire de cœur de Gabrielle.  

Celle-ci maintenant écrasé telle une limace sur ses genoux, Ennis – tout naturellement – commença à flatter doucement les cheveux de la Serpentard pendant que celle-ci se vidait le cœur de ses histoires… de SON histoire d’amour avec le beau Drystan.  La Poufsouffle loin d’être du type jalouse, enviait tout de même son incroyable histoire de  Drystan le preux chevalier, vivant au travers de celle-ci sa propre absence de vie romantique.

Mais évidemment, comme chaque fois que Gabrielle se mettait à parler d’elle-même, elle revenait rapidement à la charge, attaquant Ennis de question indiscrète qui faisait rougir de gêne la pauvre Poufsouffle.  Timide, l’irlandaise préférait de loin garder ses coups de cœurs pour elle-même – n’osant à peine y penser.  Elle n’était pas du genre à avoir des secrets, certes, mais elle n’était pas du genre non plus à raconter ses états d’âmes à tout le monde… voir même aux gens proche d’elle, comme Gabrielle.

Ainsi, le regard avide et pétillant de Gab fixé sur elle, Ennis ne pu faire autrement que de rougir considérablement, avouant par la même occasion qu’elle avait – évidemment – un crush elle aussi.

Mais il était hors de question qu’elle raconte ces histoires à Gabrielle durant un cours de divination!  Et si quelqu’un les écoutait?  Tout le monde avait l’habitude d’écouter Gabrielle, surtout en divination et la poufousffle n’avait absolument pas l’intention d’avouer son crush à la classe entière sous le regard sévère de la professeure – AH ÇA NON!

Détournant la tête pour éviter de voir la réaction de la serpentard, Ennis chuchota rapidement et nerveusement :

«Oh, mais personne voyons, tu sais bien…»

Et puis quoi?  Lui avouer en pleine classe qu’elle avait une fascination morbide sur le jeune Lupin parce qu’elle savait sa père Lycanthrope?  Lui avouer qu’elle espionnait parfois secrètement Nazar parce qu’elle le trouvait mystérieux et envoutant… lui avouer… tout ça?  Non… non vraiment elle ne pouvait pas!

Feignant devoir travailler, la Lufkins contempla son livre de divination avant de regarder avec une attention totalement feinte la boule de cristal, son regard fixé sur le reflet de ses propres yeux contre la surface brillante de l’objet.
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Sam 11 Juin - 14:39
Ennis était rouge écrevisse et Gabrielle ne put retenir un gloussement surexcité. Pour qui battait le cœur de sa doucette ? Le gentil Keir ? Elle les voyait plutôt bien ensemble ces deux-là, oh là là, elle pourrait tout arranger en cours de potion puisqu’elle était en binôme avec le garçon ! Elle était une telle catastrophe avec son chaudron, ce serait d’une simplicité en-fan-tine. Une explosion par-ci par-là, un gros nuage de fumée noire, elle jetterait la pauvre Ennis dans les bras de Keir ni vue ni connue et BOUM philtre d’amour maison, version Elliott.

Ah mais ça n’allait pas du tout. Si Ennis roucoulait avec Keir elle n’aurait plus de temps à lui accorder. Il valait mieux lui dire que Keir était malheureusement gay, oui ça vaudrait mieux pour elle. Elle, Gabrielle bien entendu. « Oh mon lapin tu ne savais pas que Keir était gay ? Mais enfin ils l’ont dit dans le L&H c’est tout à fait véridique. Non je n’ai pas ce numéro sur moi. Désolé. »

Hélas, ses scénarios se dégonflèrent comme un vieux ballon abandonné un lendemain de fête.

— Oh, mais personne voyons, tu sais bien…

QUOI ? Comment osait-elle lui mentir aussi ouvertement ? Comment osait-elle jouer les mystérieuse après toutes ses confidences ? Gabrielle était verte. Elle regarda la traîtresse qui lui servait de meilleure amie faire semblant de lire le stupide bouquin de divination.

Elle ne voulait rien dire ? Fort bien.

Il était temps d’utiliser ses talents pour une noble cause.

— Je ne te crois pas, dit-elle en passant sa langue sur ses dents, je ne te crois pas et je vais devoir employer la manière forte pour te faire parler ! NON ne me regarde pas comme ça, c’est toi qui m’oblige à en arriver à de telles extrémités !

Elle se saisit de la boule de cristal et pour la première fois de sa vie se concentra pour avoir une vision.

— Je vois, je vois…, récita Gabrielle avec un ton à la Madame Irma, mmmmmh… je vois… DES POILS ! MON DIEU !

Elle cacha son visage dans ses mains, honteuse d’avoir attiré l’attention des autres sur une phrase aussi bête et la seconde d’après se jeta sur l’Irlandaise.

— Des poils, chuchota Gabrielle, non mais qu’est-ce que ça veut dire ça Ennis ? Tu aimes les vieux barbus ? Dis-moi !
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Dim 3 Juil - 21:29
« Je vois, je vois…, mmmmmh… je vois… DES POILS ! MON DIEU ! »

La voix de sa supposée meilleure amie raisonna dans toute la salle de classe et, si le premier reflexe d’Ennis avait été de vouloir lui sauter à la tronche pour plaquer sa main contre sa bouche, la serpentard eu au moins la bonté de lui éviter cet effort, se plaquant elle même la main au visage, visiblement plus choquer de ce qu’elle venait d’apprendre que d’avoir été bruyante.

« Des poils, non mais qu’est-ce que ça veut dire ça Ennis ? Tu aimes les vieux barbus ? Dis-moi !»

Si elle avait été rouge depuis le début de la conversation, ce n’était définitivement rien en comparaison à la teinte que la pauvre poufsouffle abordait à présent.  Le rouge de son visage contrastant étrangement avec le jaune de son uniforme, Ennis s’enfonça dans son coussin, cachant sa tête derrière l’énorme livre de divination qu’elle avait écrasé honteusement contre son visage pour éviter tout contact visuel avec Gabrielle, ou enfin, avec quiconque.

Merlin, c’était à croire que le professeur Fang Luo faisait dans leur cours à laisser Gabrielle faire ce qu’elle voulait et crier quand bon lui semblait! N’était-elle pas censé être une enseignante exigeante et sévère?  N’était-elle pas censé être sans vergogne et punir les actes d'inattention à coup de pertes de points et de retenues?  POURQUOI alors ne faisait-elle rien lorsqu’Ennis en avait de besoin?  Non… évidement, elle préférait plutôt féliciter Gabrielle de ses performances en divination… PEUH plutôt ses performances en torture de bébé Lufkins!

Fulminant intérieurement contre l’inaptitude à leur professeur de la sauver d’une situation embarassante.  Ennis descendit son livre de son visage lentement, ne laissant voir que ses yeux, inquiet, cherchant du regard son amie… qui la fixait toujours.  Soupirant elle souffla derrière les pages de son bouqin, d’un ton badin.

«Ah… t’es encore là?  J’avais espéré que te sois endormis d’ennui face à mon innactivité!»

Passant sous silence les derniers commentaires concernant la pillosités de ses amours secrets, Ennis replaça son livre sur la table avant de pointé du doigt:

«Tu devrais plutôt de concentrer pour voir un truc en lien avec le cours… peut-être que Fang Luo t’adore et te donnerait Optimal même si ne te pointais pas en cours, mais j’ai bien peur que ce ne soit pas mon cas»

Pourvu que ça marche, pourvu qu’elle lâche le morceau, pourvu que Gabrielle ait un peu de coeur et qu’elle ne pense pas seulement à ses notes à elle, mais aussi à celle d’Ennis.

Wait… on parlait quand même de Gabrielle Elliott là…?
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Mer 27 Juil - 7:13
Est-ce que Sherlock Holmes abandonnait à la première difficulté ? Se contentait des piteux alibis de ses suspects pour les rayer de ses listes ? NON MADAME. Il reprenait sa loupe et sa casquette et s’en retournait fouiller pour trouver de nouveaux indices !

Et Suspect Lufkins, présumée coupable d’amour envers les poilus, peut-on connaître votre alibi ?

— Ah… t’es encore là? J’avais espéré que te sois endormis d’ennui face à mon innactivité!


Abject tentative de détournement d’attention ! Utiliser l’humour pour se sortir d’une situation, vous aggravez votre cas mademoiselle.

— Tu devrais plutôt de concentrer pour voir un truc en lien avec le cours… peut-être que Fang Luo t’adore et te donnerait Optimal même si ne te pointais pas en cours, mais j’ai bien peur que ce ne soit pas mon cas.

Les flatteries ! Et la vieille excuse du travail ! Elle la prenait pour une débutante ? Une détective de pacotille, un Louis la brocante ?

— Ennis tu sais très bien que je peux faire tes leçons, laisse tomber le cours, je suis très sérieuse, ok ?


Elle était brique. Pas rose, pas rouge, brique, la petite Ennis. Elle en aurait eu deux autres sous la main elle en aurait fait un mur. Avec les larmes de la petite en guise de ciment s’il le fallait.

Parce qu’elle croyait quoi ? Qu’elle allait se laisser amadouer par des plaintes, attendrir par des sanglots ? Ennis, Gabrielle vient de vous passer les menottes et ne vous laissera pas filer.

— Ennis maintenant ça suffit ! J’exige des explications sur le champ ! Tu n’as pas le droit de te défiler, dépêche-toi d’avouer !

Mademoiselle Lufkins, vous êtes en état d’arrestation et vous n’avez pas le droit de garder le silence.
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Mer 27 Juil - 16:09
«Ennis tu sais très bien que je peux faire tes leçons, laisse tomber le cours, je suis très sérieuse ok?» elle sembla marquer une pause, pour probablement constater l’embarras grandissant de la pauvre poufsouffle, puis ajouta «Ennis maintenant ça suffit! J’exige des explications sur le champ! Tu n’as pas le droit de te défiler dépêches-toi d’avouer!»

Elle allait mourir. Mourir de honte et d’embarras sous le regard inquisiteur de ce qui était censé être sa meilleure amie. Milles et une idées se bousculaient dans sa tête, mais aucunes ne semblaient adaptées à la situation actuelle. Elle était prise au piège entre une boule de cristal graisseuse, un mur avec du papier peint kitch, une table plus usée qu’une gazette du sorcier recyclé et une professeure encore plus effrayante qu’un hippogriffe. Elle allait certainement rendre l’âme… ou voir faire un ACV vu les litres de sang qui avait pris refuge dans sa tête – et particulièrement sur son visage.

Non, il était tout simplement hors de question quelle avoue à Gabrielle sa fixation sur Nazar et Alban. HORS DE QUESTION. Premièrement, elle pouvait déjà sentir le regard plein de jugement que son amie allait poser sur elle –après tout les deux jeunes hommes n’avaient pas les personnalité les plus charmante - , deuxièmement elle ne pouvait pas non plus lui avouer que si elle avait une si grande fixation sur les deux étudiants, c’était entre autre dû au fait qu’elle avait bâtie des hypothèse plutôt solides sur leur condition de Loup-garou… évidemment, rien n’avait été confirmé et elle n’avait pas spécialement envie de se lancer dans une course au lycan un soir de pleine lune pour confirmer le tout. Et troisièmement… elle s’avouait à peine elle-même qu’elle avait un crush sur eux, qu’elle rêvait parfois qu’un d’eux lui prenne la main pour la conduire en cours, ou qu’il glisse ses doigts dans les cheveux de l’irlandaise.

À cette seule penser Ennis eu une bouffé de chaleur qui la rendit particulièrement mal à l’aise.
Cherchant toujours quoi dire à Gabrielle, la poufsouffle ouvrit la bouche, prête a dire… littéralement n’importe quoi, lorsque leur professeur la coupa dans son élan :

«Je veux deux parchemins pour le prochain cours sur les techniques de divitations indiennes et leur méthodes pour accéder au troisième œil.» la femme sévère lança un regard à sa classe avant de faire une signe de main vers la porte «le cours est terminé, disposé.»

Il ne fallut pas deux secondes à Ennis pour être sur pied, ses livres et parchemins de travers dans ses bras et balbutia rapidement «Onsevoitplustard» avant de disparaitre dans un coup de vent par la porte.

Merlin… sauvé par la cloche… littéralement.

[A SUIVRE]
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