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Stornoway est le village jouxtant l'édifice de la W.I.S.E. La route entre les deux se fait, à pieds, en une vingtaine de minutes et offre une vue spectaculaire des plages qui bordent l'île. Village tout près des montagnes est traversé d'une rivière se jetant dans la mer, charmant et pittoresque, Stornoway - à force de cohabiter avec la W.I.S.E. - est devenu un village entièrement sorcier où il fait bon vivre et travailler. Là-bas vous y retrouverez également le quartier Coigrich, un quartier qui, depuis quelques années, s'est naturellement développé avec l'arrivée d'étudiants aux origines multiples à la W.I.S.E. - sur la rue Goathill. Restaurants italiens, japonais, coréens et même canadiens y ont vu le jour. Salles de bowlings, de karaokés, petits salons de thé, boulangeries, bibliothèques, magasins de musique, terrains de foot, studios de danse, gymnases et bars ont pointés lentement le bout de leur nez, faisant maintenant compétition aux édifices ancestraux présent depuis bien longtemps dans les rues de Stornoway.
welcome sur Memor Mirificus, un forum University/City/HP de type fantastique ou vous pouvez incarner moldus, sorciers ou cracmols. Le jeu se déroule a Stornoway sur l'île de Lewis, là ou la première université pour sorciers et moldus a ouvert ses portes. Vous aurez sept jours pour terminer votre fiche. aucun nombre de RP par mois n'est demandé, ni de ligne minimum par réponse.
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Gabrielle va à la pêche [Libre]

Mer 20 Avr - 3:03
Spoiler:

Elle avait le nez rouge et les mains engourdies tandis qu’elle tenait une vieille canne à pêche, assise raide sur un tabouret pliable. Il était quatre heures du matin, on était samedi, et Gabrielle se demandait bien pourquoi elle était aussi conne.

— Professeur ! Quel est ce beau poisson doré ? Avait demandé Gabrielle à Monsieur Weasley, professeur de soin aux créatures magiques en lui mettant sous le nez une illustration du bouquin.

— C’est un Magicarpe doré, c’est extrêmement rare ! On raconte qu’il y en aurait dans le lac de Poudlard, mais ce n’est qu’une légende.

— COMMENT ? CHALLENGE ACCEPTED !

Il lui avait donné une vieille canne à pêche et un pauvre tabouret et lui avait souhaité bon courage. L’idée d’aller pêcher avait follement amusé Gabrielle et elle s’était habillé de la façon la plus cliché possible : Un beau ciré jaune, des bottes en caoutchouc et un chapeau en plastique des plus ridicules. Si en temps normal elle ne pouvait supporter l’idée de ne pas être parfaitement apprêter, l’amusement qu’elle éprouvait pour « le monde de la pêche » (lubie passagère) lui faisait transgresser ses interdits les plus simples.

Les premières minutes avait été follement amusante. Déjà elle s’était mise en tête qu’une confrérie des pêcheurs existaient et se retrouvait tous les jours au petit matin pour pêcher (et qu’elle rejoindrait donc leur rang) puis elle prit un plaisir fou à installer son matériel, à creuser la terre pour trouver un verre de terre et enfin à l’hameçonner avant de lancer sa ligne avec entrain dans les eaux glacées.

Mais après une demi-heure de rien du tout, Gabrielle devait se l’avouer, elle se faisait chier comme un rat mort. Déjà, il n’y avait pas de confrérie des pêcheurs. Première déception qui avait réduit à néant ses espoirs de devenir reine des pêcheurs en attrapant un Magicarpe doré. Ensuite, elle avait froid et son ciré jaune ne la protégeait pas vraiment de l’air frais d’octobre. Et enfin, elle n’avait rien attrapé.

Pas même un poisson tout simple, non rien du tout ! Franchement elle trouvait cela abusé. Le calamar géant sorti un tentacule pour la troisième fois en lui tenant un bouquet d’algues dégueulasses qu’elle prit du bout des doigts.

— Merci mon gars mais si tu pouvais me trouver un poisson plutôt se serait sympa…

Elle jeta les algues avec les autres, pas bien certaine de ce que cela voulait signifier en langage calamar. Soucieuse de ne pas froisser les sentiments d’un monstre pareil, elle acceptait tous ses présents bien évidements.

— Allez lààààààà ! Ordonna Gab à sa canne à pêche, avec l’énergie du désespoir.

C’était pire que la mort. Encore dix minutes et elle aurait trouvé le sens de la vie.
Anonymous
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Mer 20 Avr - 13:50
Pan n'avait que deux buts dans la vie : combattre l'eau trop froide, et... Bon, d'accord, elle n'avait pas encore trouvé le deuxième, mais le premier lui prenait déjà tout son temps.
C'était pourquoi, un samedi à quatre heures du matin, la jeune fille s'était levée pour aller piquer une tête au lac. Elle risquait certainement une hypothermie - il aurait déjà fallu qu'elle sache ce que cela signifier - et elle s'en fichait.
Peut-être devrait-elle lancer un nouveau rituel, le samedi-très-très-tôt-contre-l'eau-froide ? Bah, elle ne respectait jamais les horaires de toute façon. Même pas ceux de ses cours - la blondinette était presque sûre que son professeur allait organiser une collecte de fonds pour lui acheter une montre.

Pan se retrouvait donc sur le chemin du lac, un samedi très tôt le matin. Elle n'avait pas pensé à un maillot, elle préférait se baigner avec des vêtements de toute façon. Peut-être que ce serait le moment d'affronter à nouveau des strangulots et de se débarrasser définitivement de sa peur ridicule de ses créatures ?
Le froid la rendait triste. Elle s'essuya le nez de la manche et descendit en direction du lac.. en roulant. L'une des grandes spécialités de la cinquième année - après mettre le plus possible de nourriture dans sa bouche pour voir si oui ou non elle pouvait, comme les métamorphomages, ressembler à un hamster - était de tomber. Et se faire mal ensuite.
Heureusement - était-ce une chance ? - un arbre l'arrêta bien avant qu'elle ne tombe dans l'eau. Un peu sonnée, elle se releva difficilement. Plus que triste, elle était en colère. Pourquoi fallait-il qu'il n'y est qu'un arbre, et qu'elle se le prenne dans la figure ?! Elle frappa dans l'arbre de toutes ses forces.. Mauvaise, mauvaise idée.

Triste, en colère, excitée et surchargée d'adrénaline, la jeune fille dévala le reste de la pente en courant. Arrivée en bas, elle éclata de rire. Elle avait dû faire beaucoup de bruit.

"Allez lààààààà !"

Pandora sursauta avant de se retourner. Une fille. Avec une canne à pêche. Et des.. algues, à côté d'elle. Etait-ce son petit-déjeuner ? Beaucoup de questions se bousculaient dans sa tête au même moment. Elle haleta quelques secondes, fixant la ligne, puis se retourna vers l'étrangère :

"Je ne suis pas sûre que quelqu'un mordra à l'hameçon.. commença-t-elle. MAIS QU'EST-CE QUE TU PEUX FAIRE A QUATRE HEURES DU MATIN HABILLÉE EN ABEILLE DEHORS ? La blondinette esquissa un sourire et lui tendit la main. Oh, au fait, je crois que l'on ne se connaît pas encore. Je m'appelle Pan.


HRPG : Tu voulais le sens de la vie, voilà que tu reçois.. Pan ! >:D Gabrielle va à la pêche [Libre] 3657690086
Pan Young
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Jeu 21 Avr - 6:46
Un bébé dinosaure n’aurait pas fait plus de bruit, songea Gabrielle en voyant une masse informe dévaler le parc et se manger un arbre avec la force d’un boulet de canon. Elle était dépitée et regardait la fille avec un mélange de compassion et de mépris pour sa chute brutale. « Ouïe, ça doit faire mal ! Mais quelle abrutie… » Était un assez bon résumé de ses pensées.

Pandora Young, aussi ridiculement belle que stupide, l’image même de la justice divine dans la répartition des dons. En voilà une qui gagnerait à appliquer le « sois belle et tais-toi ». Gabrielle soupira de dépit. Elle portait bien son prénom celle-là, c’était la boîte de Pandore, elle refermait tous les malheurs du monde, les catastrophes personnifiées en une Gryffondor des plus dangereuses.

Dieu du ciel, elle aurait été si heureuse avec une gentille petite confrérie de pêcheurs bien sage, silencieux et pleins de bons conseils du style « tire la moulinette et l’hameçon cherra ». Ils auraient formé un bel arc-en-ciel de cirés jaune, vert, rose, bleu, et la vie aurait été aussi belle qu’une publicité pour dents blanches.

A la place une Pan cabossée l’accosta avec la délicatesse d’un éléphanteau.

— Je ne suis pas sûre que quelqu'un mordra à l'hameçon…

Encore heureux, ce n’est pas quelqu’un qu’elle cherchait à attraper mais un poisson. Etait-elle familière avec le concept de « pêche » ?

— MAIS QU'EST-CE QUE TU PEUX FAIRE A QUATRE HEURES DU MATIN HABILLÉE EN ABEILLE DEHORS ?

ALORS CA NON ! Qu’on critique sa stupide lubie pour le Magicarpe doré passe encore mais qu’on la confonde avec une abeille, ça il n’en était pas question ! Elle s’était donné tant de mal pour pêcher dans les règles de l’art et voilà le résultat ! Gabrielle défendrait ses vêtements, même les plus ridicules, avec la férocité d’une maman lionne.

— Oh, au fait, je crois que l'on ne se connaît pas encore. Je m'appelle Pan.

Il y avait tellement à dire. Comment un être humain normalement constitué pouvait passer de la remarque anodine à une exclamation sans queue ni tête pour retomber sur un simple « bonjour, enchanté » ? Gabrielle l’avait laissé parler, incapable de toute façon de couper le flow de Pan.

Après avoir laissé durer un léger silence qui signifiait – mais que la Gryffondor ne saisirait sans doute pas – « Par tous les saints, ne veux-tu point m’agresser de si bon matin alors que j’essaie de pêcher en vain ? » Gabrielle prit la parole.

— Bonjour Pan, je m’appelle Gabrielle Elliott, Gabrielle c’est mon prénom, Elliott c’est mon nom, expliqua-t-elle patiemment, bien consciente de cette première difficulté, pour te répondre, NON je ne suis pas déguisée en abeille, il s’agit de ma tenue de pêche. Parce qu’en fait j’essaie de pêcher. D’ailleurs si tu pouvais parler moins fort pour ne pas effrayer les poissons ce serait sympa de ta part. Et toi alors ? Que viens-tu faire ici ? Dis-moi tout. Mais attention ! Ne parle pas trop fort et pas trop longtemps pour ne pas effrayer mes poissons !

Et mes oreilles.
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Jeu 21 Avr - 7:50
Pan avait fini de parler depuis un moment déjà, mais la fille en face d'elle ne disait toujours rien. Était-elle muette ? Avait-elle du mal à se faire comprendre des personnes qui l'entouraient ? Elle s'apprêtait à vérifier si la lève-tôt - il ne pouvait en être autrement - était vivante lorsque celle-ci daigna enfin à lui répondre.

"..Je m’appelle Gabrielle Elliott, Gabrielle c’est mon prénom, Elliott c’est mon nom."

Peut-être la connaissait-elle déjà finalement ? Gabrielle - Gaby - n'était sûrement pas une Gryffondor comme elle. Non, de plus la blondinette avait le sommeil léger et aurait été réveillé par les pas - certainement plus discrets que les siens mais quand même - de la jeune fille. Elle semblait également plus jeune qu'elle, pas de beaucoup, juste un an ou deux..
Comment était-elle parvenue à élaborer toutes ces suppositions ? Elle s'était tellement perdue dans ses réflexions qu'elle en avait déjà oublié la moitié de ce que la dénommée Gabrielle.. - quel était son nom déjà ? - venait d'énoncer.

"...Déguisée en abeille, il s’agit de ma tenue de pêche..." Pan ne comprit que le quart de ses paroles. "Que viens-tu faire ici ? ..Mais attention ! Ne parle pas trop fort et pas trop longtemps pour ne pas effrayer mes poissons ! "

La nouvelle venue - d'accord, c'était Pan qui venait de débouler jusqu'à elle - était donc bel et bien déguisée en abeille. Quelle drôle tenue pour ce genre d'activité ! Peut-être que c'était une technique qui marchait finalement ? Elle ne voyait pas pourquoi les abeilles attiraient les poissons mais se promit de revenir la semaine prochaine déguisée en calmar pour vérifier. Elle en avait presque oublié ce qu'elle était venue faire ce matin !

Le regard vide, elle essayait vainement de déterminer quels poissons pouvaient vivre dans ce lac. Elle plongeait souvent pourtant, et n'avait rencontré que très peu de créatures aussi anodines que des poissons, aussi se dit-elle qu'elle devrait faire plus attention à l'avenir.
Se rendant compte que cela devait faire quelques minutes qu'elle restait la bouche légèrement entrouverte sans rien dire, elle rit doucement - pour une fois - puis consentit à lui répondre.

"Hm tu disais ? Pourquoi penses-tu que je puisse venir ici ?! s'écria-t-elle, outrée, comme si faire trempette à quatre heures du matin était la chose la plus naturelle possible. Je vais me baigner nom d'un strangulot !"

De toute évidence, la demie-vélane n'avait appliqué aucune des recommandations de la pêcheuse en herbe. Plusieurs émotions traversant son visage, elle ajouta :

"Je ne savais pas que les poissons se levaient aussi tôt."

Enfin, la belle mais néanmoins stupide Gryffondor sauta la tête la première dans le lac froid et glacé.
Pan Young
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Sam 23 Avr - 7:45
Gabrielle fixait la blonde hébétée. Elle avait plantée ou quoi ? La bouche entrouverte, le regard vide, Pan ne répondait plus. Est-ce qu’on pourrait avoir le mode sans échec, s’il vous plaît ? Gabrielle n’en revenait pas. Est-ce qu’elle avait demandé trop de choses à la Gryffondor pour que celle-ci refuse d’obtempérer ? Finalement Pan-minitel réagit sans suivre aucunement les consignes pourtant simple de Gabrielle.

— Hm tu disais ? Pourquoi penses-tu que je puisse venir ici ?! Je vais me baigner nom d'un strangulot !

— Ne crie pas ! Gronda Gaby sans pouvoir s’en empêcher.

Bordel, mais qu’on l’enferme ! Gabrielle détestait qu’on ne suive pas ses ordres. Elle n’était pas spécialement autoritaire mais il lui semblait logique que l’on doive se plier en quatre pour satisfaire ses désirs. Elle ne demandait que des choses raisonnables et sensées de toute façon. « Emmène-moi à Gryffondor car tu es Gryffondor. », « Donne-moi des infos sur la chambre des secrets car c’est le prix de mon silence », « Mets du whisky pur feu dans le jus de citrouille car c’est la fête ». Franchement de toutes ses demandes « Tais-toi car je pêche » était la plus simple.

Et cette abrutie hurlait des mots sans queue ni tête. Elle allait se baigner ? N’importe quoi. Est-ce que c’était une blague ? Est-ce qu’elle s’essayait au subtil art de l’humour absurde ?

— Mon dieu Pan, n’essaie pas de faire de l’humour, soupira Gabrielle, à la rigueur une blague de Toto mais…

— Je ne savais pas que les poissons se levaient aussi tôt, ajouta-t-elle.

— Ah. Ah. Ah, rigola sarcastiquement Gabrielle.

C’était bien une Gryffondor celle-là. Pouvait-on avoir une pincée de subtilité, un chouïa de finesse ?

— QUOI ! S’écria Gabrielle en voyant l’abrutie plonger.

PARCE QU’ELLE ETAIT SERIEUSE DEPUIS LE DEBUT ? Elle avait vraiment l’intention de se baigner ? A quatre heures du matin ! Dans les eaux glacées ! TOUTE HABILLEE !

— Putain mais c’est pas vrai ! S’énerva Gabrielle en ramenant sa ligne, elle est tellement con qu’elle pourrait bouffer mon vers de terre, celle-là !

Extérioriser l’infini agacement qu’elle éprouvait pour la blonde lui faisait du bien. Elle lui tapait sur le système avec sa tête d’abrutie finie.

— PAN ! Hurla Gabrielle, REMONTE A LA SURFACE !

Gabrielle n’avait aucune envie d’assister au suicide ou à la noyade de la blonde. Pourquoi est-ce qu’elle était mêlée à ça ? Pan était typiquement le genre de personne que fuyait Gabrielle. Idiote à bouffer de la terre, maladroite à te couper un bras par inadvertance, dangereuse à se jeter dans le lac et à se noyer sans faire exprès.

Achevez-là. Elle, Gabrielle, achevez-là plutôt que de lui coller dans les pattes une telle incapable. Elle s’approcha au bord du lac et rouge de colère, elle hurla à s’en déchirer la voix.

— PAN, PUTAIN ! REMONTE IMMEDIATEMENT ! DEPECHE TOI !

Ca la mettait hors d’elle. Maintenant que la blonde avait plongée sous ses yeux, elle en était responsable. Et si cette abrutie mourrait ? Là comme ça, à cause du choc de la température ou parce que Pan avait mis des poids dans ses poches ou parce qu’elle se lancerait le défi de retenir sa respiration pendant plus de dix minutes pour voir le résultat ?

Pas question que Gabrielle laisse passer ça. Elle la remonterait, l’attacherait et la traînerait jusqu’à Ludo le concierge pour s’en débarrasser et refiler ce calvaire à quelqu’un d’autre.

En attendant, elle avait été la seule spectatrice du suicide de Pan et elle devait trouver seule le moyen pour la remonter. Putain ! Elle shoota dans un caillou pour se défouler mais emportée dans son élan, elle glissa sur la berge mouillée et tomba dans le lac.

Le froid la saisie et elle remonta aussitôt, battant des bras et des jambes, crachant l’eau qui lui rentrait dans la bouche, le nez et les oreilles. Putain mais quelle plaie ! Elle regagna la terre ferme en tremblant de tous ses membres, les cheveux collés à son visage et ses vêtements dégoulinants d’eau.

— In…, Incendio, bégaya Gabrielle en mettant le feu au tabouret de Monsieur Weasley pour se réchauffer.

Elle bouillonnait de rage. Tandis qu’elle brisait la canne à pêche en petit morceau pour alimenter le feu, elle fusillait du regard le lac. Si dans deux minutes l’autre greluche n’en sortait pas, elle piquerait un scandale.
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Dim 24 Avr - 14:31
Décidément, Pan aimait de plus en plus Gabrielle. Certes, la rouge et or n'avait pas très bien compris ce que son amie - elle avait en tout cas vraiment l'impression de s'être fait une nouvelle amie cette nuit-là - avait essayé de lui dire tandis qu'elle restait immergée sous l'eau mais comme celle-ci criait aussi la demie-vélane se dit qu'elle devait être en train d'être félicitée et fut très contente d'elle-même.

Gabrielle avait même décidé de se jeter à l'eau ! Allait-elle se joindre à elle désormais ? Cependant elle sortit plus vite de l'eau que prévu. Débutante ! s'exclama la blondinette sous l'eau mais seulement des bulles sortirent de sa bouche (laissant entrer un peu d'eau au passage). S'étouffant à moitié, la nageuse remonta à la surface en toussant. Rouge malgré le froid qui parcourait ses membres, Pan restait dans l'eau en mouvement.
Pourquoi donc cassait-elle sa canne à pêche et tous les objets en bois qui lui tombaient sous la main pour faire un feu avec la forêt à côté ? La cinquième année, pour avoir déjà fait brûler une partie de la forêt intentionnellement, pouvait affirmer que celle-ci était hautement inflammable. Voyant que sa nouvelle amie avait quelques difficultés à se maintenir au chaud, la petite Young sortit de l'eau en même temps qu'elle attrapa sa baguette. Elle ne pouvait pas la laisser la casser tout de même ! Quel sort pouvait-elle utiliser ? Incendio ne semblait pas très efficace.. Autant de réflexions lui donnèrent faim.

"Tu as apporté des Marshmallows ?" s'inquiéta-t-elle.

L'air se faisait sentir. L'air n'avait jamais réellement dérangé l'anglaise - elle tombait souvent dans les lacs depuis qu'elle était petite - mais cela n'avait pas l'air d'être le cas. Que pouvait-elle faire pour qu'elle se sente au chaud ? Gabrielle n'avait visiblement pas grandi dans le Kent.. Idée ! Pan allait tout simplement la prendre dans ses bras. Elle la serra de toutes ses forces, de tous ses vêtements mouillés aux algues collées dessus, et puit desserra légèrement son étreinte, jusqu'à la laisser se réchauffer toute seule.

Pan profita de ses instants de répit pour réfléchir - mais si mais si. Pourquoi était-elle venue déjà ? Pour la pêche. Gabrielle voulait des poissons ? Elle allait lui en donner. Quelques accios plus tard - certains plus réussis que d'autres - un petit tas de poissons gisait au pied de l'iceberg qu'était devenu la jeune fille. Peut-être voulait-elle en cuire quelques uns afin de s'alimenter ? Elle en posa maladroitement un sur le maigre feu qui s'éteignit aussitôt. Pan ne comprenait plus rien. La mine courroucée, elle réfléchit un instant, puis alluma un nouveau feu.

"Incendio ! Je ne sais pas si tu aimes le poisson cru mais je n'arriverais jamais à le cuire par magie. Ou peut-être pourrais-je le brûler.. De toute façon je ne connais pas le mot de passe pour accéder aux cuisines." La jolie fille marqua une pause. "MAIS REGARDE-TOI TU NE VAS PAS RESTER COMME CA NOM DU CALMAR ! Tu sais quoi ? Peut-être devrais-tu retourner dans le lac. Ici sans bouger tu ne te chaufferas jamais. Mais j'apprécie l'effort. Je suis sûre que bientôt tu nageras presque aussi bien que moi."

Pan tapota légèrement la tête de Gabrielle en signe d'appréciation pour ses efforts, puis lui sourit, ses beaux cheveux blonds dégoulinants sur le feu précairement allumé par une magie inoffensive.
Pan Young
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Mar 26 Avr - 14:23
Pan la fouttait dans une angoisse terrible. Gabrielle était en colère, énervée d’être tombée dans le lac, gelée de la tête aux pieds. Déchiqueter la canne à pêche en brindille l’avait aidé à se calmer, à passer ses nerfs sur quelque chose de matériel plutôt qu’à se casser la voix contre le lac noir inutilement. Maintenant que le feu brûlait joyeusement elle éprouvait une sorte d’apaisement et de vague tristesse à l’idée de devoir tirer un trait sur son Magicarpe doré. Ainsi qu’une minuscule pointe de remord à l’idée d’avoir détruit les affaires de Monsieur Weasley. Mais elle ne pouvait pas se concentrer sur autant d’émotions à la fois, aussi opta-t-elle pour l’apaisement.

Pan remonta à la surface en blonde gluante d’eau et d’algues tandis que Gabrielle rassemblait tout le calme dont elle était capable. Elle était une délicate ballerine sur un nuage de lait.

— Tu as apporté des Marshmallows ? Demanda Pan.

— Non, j’avais juste froid, dit Gabrielle qui commençait à se réchauffer.

Visiblement Pan se senti très concernée par l’affaire car elle la serra dans ses bras, prenant Gabrielle complètement à dépourvu. Depuis quand les gens s’autorisaient-ils à la toucher ? Elle avait encore plus froid mais elle refusa de céder à la colère une nouvelle fois. Pan ne fonctionnait pas de la même façon visiblement. Elle la regarda faire son cirque, pêcher des poissons de la façon la moins élégante possible et cuire le tout sur un feu tout neuf avant de déblatérer de nouvelles idioties.

Gabrielle ne l’écouta même pas, elle était trop occupé à s’auto encourager dans sa démarche pacifique.

— Ecoute Pan, commença Gabrielle d’une voix très calme, est-ce que tu pourrais arrêter de bouger et te poser tranquillement autour du feu, non chut, ne dis rien, là regarde comme le silence c’est bien.

Elle inspira et expira profondément. Pan lui rappelait Perceval de la série moldu Kaamelott. Abrutie, infatigable, drôle derrière un écran, invivable au quotidien. Est-ce que le roi Arthur avait déjà obtenu la moindre chose de Perceval en se mettant en colère ? NON. Elle ne se souvenait plus très bien des épisodes mais assurément n-o-n.

Il fallait qu’elle réussisse l’exploit de se mettre à son niveau, d’être le Karadoc de Perceval, s’aligner sur sa logique pour échanger sans prise de tête, sans crise de colère, sans s’arracher les cheveux.
Mais ses belles résolutions de calme, zen, yoga et yaourt allégé, explosèrent en éclat quand Pan lui tapota la tête.

— BON LA CA SUFFIT ! Se redressa Gabrielle d’un bond, J’AI RIEN DIS POUR LE POISSON, POUR LE CALIN, POUR LA NOYADE, MAIS JE NE SUPPORTE PAS QU’ON ME TOUCHE ! JE NE TE CONNAIS PAS, ALORS NE ME TOUCHE PAS COMME CA, JE SUIS PAS TON CHIEN !

PUTAIN ! Les yeux de Gabrielle lançaient des Avada kedavra tandis qu’elle était penchée de façon menaçante sur Pan. Elle allait sans doute la faire pleurer. Le sang battait aux joues de Gabrielle. Ce genre de personne la révoltait, la faisait se dresser comme un serpent prêt à mordre. Elle avait l’impression que si elle restait une minute de plus à côté d’elle, elle serait contaminée par sa bêtise.

Incarcerem ! Silencio ! Lança Gabrielle d’une voix sèche en pointant sa baguette sur Pan.

Son premier sort marcha à moitié, les cordes qui étaient censées ligoter Pan n’étaient pas toutes impeccablement réalisées mais c’était suffisant pour l’empêcher de bouger. Le deuxième sort par contre avait été lancé avec une telle volonté de ne plus l’entendre qu’une pointe de fierté perçait son gros sentiment de culpabilité.

Instantanément elle se trouva horrible. Alors elle ne valait pas mieux qu’Elie. Elle s’autorisait à attaquer frontalement les gens pour la simple raison qu’elle les détestait. Elle se jeta sur Pan et la prit dans ses bras, la berçant, la cajolant, tandis que celle-ci ne pouvait de toute façon rien faire.

— Oh ma Panda, je suis tellement désolé, ronronna-t-elle, tu ne dois pas m’en vouloir, tu m’as poussé à bout, il faut que tu m’écoutes maintenant, c’est un jeu d’accord, ce n’est pas grave, je vais annuler le mauvais sort et après on rentrera toutes les deux au château, ok ? Elle parlait comme une mère qui réconforte son petit.

L’incohérence de Pan déteignait complètement sur Gabrielle. Elle se trouvait dans une attitude passive-agressive qui ne lui plaisait pas du tout. Elle avait un tel besoin de contrôle qu’elle se sentait obligée de tout essayé, les menaces, les cajoleries, les cris, les câlins.

Elle annula les mauvais sorts et tapota le dos de Pan dans un geste qui se voulait réconfortant mais autoritaire.

— Allez, on n’en parle plus.
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Jeu 28 Avr - 18:04
Déçue, conciliante, énervée et affectueuse; Pan ne comprenait plus rien du tout. Elle ne savait pas trop quel type de poisson Gabrielle visait, mais les quelques uns qu'elle avait ramassé ne semblait cependant pas beaucoup lui porter à coeur. Peut-être préférait-elle les attraper elle-même ? En tout cas c'était un plan qui tombait à l'eau, maintenant qu'elle avait détruit sa canne à pêche. Même si la cinquième année n'excellait pas en magie, elle était sûre de pouvoir la réparer.. Et le feu alors ? Après tout Gabrielle avait froid, peut-être valait-il mieux la laisser brûler ses derniers espoirs de pêche en même temps que sa canne.

Et puis, ce que la jeune fille demandait n'était pas quelques harengs mais du silence. Que voulait-elle dire ? Etait-ce une type de plante médicinale guérissant des plus grands maux que l'on n'ait jamais connu ? Peu importe ce que cela pouvait être, la demie-vélane était sûre de ne pas connaître.

Après Gabrielle s'était énervée contre elle, et la rouge et or n'avait même pas eu le temps d'éclater en sanglots que déjà elle se retrouvait ligotée sans pouvoir prononcer un seul mot - ou un seul gémissement. Pourquoi Gabrielle la détestait-elle subitement ? Ayant oublié les sortilèges qui faisaient encore effet, la blondinette s'apprêtait à déverser sur son amie - du moins à essayer - un flot continu d'insultes qui bouillaient en elle.

Et à ce moment-là, Gabrielle la prit dans ses bras. Et toute sa fureur, toute sa tristesse retomba. Elle devait vraiment avoir l'air d'un troll quand elle s'énervait. Libérée de ses sortilèges, elle se précipita vers la (plus) petite et l'étreignit à son tour. La jeune Young se sentit mieux. Tout ce que Gabrielle faisait pour elle lui donnait envie de faire quelque chose en retour.. Quelque chose pour laquelle Gabrielle serait fière d'elle.

Elle attrapa un poisson - le plus joli pour sa Gaby - pointa sa baguette dessus et le coloria en rouge - Pan ignorait la maison de sa nouvelle amie mais au moins aurait-elle un souvenir si elle lui manquait trop - avant de le passer autour du fil de la canne à pêche qu'elle arracha directement et l'accrocha autour du cou de sa jolie amie.

"Ma Gabiche, que tu es gentille ! J'espère que cela te fera plaisir, cela te rappellera le merveilleux moment que l'on a passé toutes les deux. C'est moi qui l'ai fait. Tu viendras me voir, tu me le promets ? Et moi aussi je pourrais dis ? Tu me diras où est-ce que tu es - moi à Gryffondor - indiqua-t-elle avec un sourire fière, ou peut-être as-tu envie de continuer la nuit toutes les deux ? Tu es fatiguée, dis ?"

Un sourire juvénile sur les lèvres, Pan se remémora son enfance et se dit que, finalement, il y aurait toujours quelque part quelqu'un pour s'occuper de soi. Il n'est jamais trop tard.
Pan Young
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Jeu 5 Mai - 5:04
Gabrielle avait toujours eu quelque chose de violent en elle. Il fallait qu’elle abîme, qu’elle marque les choses, les gens, qu’elle détruise, qu’elle brûle. Ca la bouffait de l’intérieur, ça la faisait mal agir. Elle était cependant suffisamment intelligente pour canaliser cette énergie négative et afficher un masque de contrôle impeccable, laissant volontairement suinter sa brutalité de temps en temps pour rester en harmonie avec elle-même.

Elle ne se laissait jamais aller, jamais débordé à des accès de colère ou de haine et elle méprisait ceux qui explosaient sous de telles impulsions. Et Pan, putain, Pan. Elle l’insupportait à un point tel qu’elle ne parvenait plus à filtrer sa violence, elle l’avait attaqué, ligoté, réduite au silence.

Quel genre de monstre pouvait en arriver à ces extrémités ? Ca la révoltait, elle se dégoûtait. Pan is the limit. La limite où elle n’arrivait plus à afficher cet air supérieur, détaché et intouchable qu’elle aimait se donner. Elle lui hérissait le poil, sa simple vue l’écœurait.

Mais si elle ne pouvait pas se contrôler en sa présence, peut-être pouvait-elle essayer de la contrôler. Elle redoutait que Pan lui fasse du tort en hurlant au scandale de s’être faite attaquer par Gabrielle, qu’on lui colle une réputation de monstre.

Elle souffla de soulagement quand Pan roucoula de bonheur et d’amour, lui offrant un poisson rouge et demandant ce qui lui ferait plaisir, comme un enfant avide de s’attirer les bonnes grâces de ses parents.

— Ma Gabiche, que tu es gentille ! J'espère que cela te fera plaisir, cela te rappellera le merveilleux moment que l'on a passé toutes les deux. C'est moi qui l'ai fait. Tu viendras me voir, tu me le promets ? Et moi aussi je pourrais dis ? Tu me diras où est-ce que tu es - moi à Gryffondor, ou peut-être as-tu envie de continuer la nuit toutes les deux ? Tu es fatiguée, dis ?

— Oh merci Pandora, dit-elle en détachant le poisson de son cou pour le mettre dans sa poche, je vais le mettre en sécurité pour ne pas l’abîmer, tu vois ?

Elle ne l’appellerait pas « Pan ». Qu’elle sente qu’elle ne la considérait pas comme son amie, qu’elle sente le rapport de force qui était en train de se créer, il fallait qu’elle réussisse à se faire respecter.

— Si tu me donne le mot de passe de Gryffondor à chaque fois qu’il change je pourrais venir te voir, bien sûr Pandora !

Alors là c’était trop beau, voilà qu’elle lui servait sur un plateau les accès de sa maison. C’est Dom qui allait criser si elle la re-voyait tranquillement se balader dans leur salle commune. Elle évita cependant la question de sa propre maison, de toute façon Pan avait sans doute déjà oublié la moitié de ses phrases à mesure qu’elle les prononçait.

— Oui je suis fatiguée Pandora, vient on rentre, dit-elle sur un ton autoritaire.

Son sentiment de haine laissait peu à peu place à une certaine sympathie pour la jeune fille. De toute façon elle éprouvait toujours beaucoup de tendresse envers ceux qui lui obéissait.
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Ven 6 Mai - 8:04
Oooh, et dire que la nuit était déjà presque finie. Gabrielle va à la pêche [Libre] 1662900344 Voilà qu'elles rentraient déjà, toutes les deux, la poche de Gabrielle dégageant une odeur âcre et désagréable qui émanait sûrement - on n'est pas 100 % sûr - du poisson. Peut-être qu'elle pourrait faire un saut par les cuisines, histoire de piquer quelque chose à manger.. Mais de toute façon, la cinquième année ne savait ni comment s'y rendre ni quel mot de passe fallait-il donner (s'il en fallait un).

"Pan.. Pas Pandora.. Pan."

Cela faisait un moment que personne ne l'avait appelée par son prénom. Son vrai prénom. A quand remontait la dernière fois déjà ? Sûrement quand elle était toute petite, quand son père était encore vivant.. C'était - ou du moins elle en faisait - son point d'honneur. Elle n'était pas Pandora. Pandora, la fille sérieuse, qui réussissait partout. Non, elle était Pan, la petite fille blonde, qui passait son temps à faire n'importe quoi, la gourde. Pan. Pas Pandora.

La rouge et or sentit des larmes lui couler le long de son visage. Ce qu'elle aurait aimé rester avec son amie, se blottir contre elle et faire mine de s'endormir avant le lever du soleil !

"Comment ? Le mot de passe de quoi ?" s'enquit-elle. "DIS, DIS, tu penses qu'on pourrait revenir toutes les semaines ici ? Tu m'apprendrais à pêcher, je t'apprendrais à nager, parce que visiblement tu es nulle en natation !"

La blondinette n'attendit même pas une réponse et hocha directement la tête. Oui oui, c'était réglé. Tous les colliers qu'elle allait pouvoir lui faire ! Elle se promit de trouver sa salle commune pour lui rendre souvent visite et s'assurer qu'elle accrochait bien ses poissons partout. Bah oui de si beaux poissons quand même.

La gamine prit la main de l'autre fille et gambada le long du parc, remontant le chemin qu'elle avait effectué quelques heures plus tôt, seule.

"MAIS COMMENT PEUX-TU DEJA ÊTRE FATIG.." commença la blondinette qui s'interrompit en croisant le regard de Miss Elliott. "Tu sais, je connais une trèèèès jolie chanson qui illustre très bien cette nuit passée ensemble. Tu veux que je te la chante ? ALLEZ NE SOYONS PAS TIMIDE, je vais te la chanter. Pour toi."

Alors qu'elle entamait joyeusement la danse des canards - Gabiche avait même le droit à une chorégraphie ! - en poussant du coude légèrement sa partenaire pour qu'elle se joigne à elle, les deux filles rejoignirent le château. Alors que leurs routes se séparaient, Pan Young se tourna vers son amie, la bombardant de bisous plus affectueux les uns que les autres et lui dit :

"Bientôt dans les bacs."
Pan Young
Pan Young
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