AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Stornoway est le village jouxtant l'édifice de la W.I.S.E. La route entre les deux se fait, à pieds, en une vingtaine de minutes et offre une vue spectaculaire des plages qui bordent l'île. Village tout près des montagnes est traversé d'une rivière se jetant dans la mer, charmant et pittoresque, Stornoway - à force de cohabiter avec la W.I.S.E. - est devenu un village entièrement sorcier où il fait bon vivre et travailler. Là-bas vous y retrouverez également le quartier Coigrich, un quartier qui, depuis quelques années, s'est naturellement développé avec l'arrivée d'étudiants aux origines multiples à la W.I.S.E. - sur la rue Goathill. Restaurants italiens, japonais, coréens et même canadiens y ont vu le jour. Salles de bowlings, de karaokés, petits salons de thé, boulangeries, bibliothèques, magasins de musique, terrains de foot, studios de danse, gymnases et bars ont pointés lentement le bout de leur nez, faisant maintenant compétition aux édifices ancestraux présent depuis bien longtemps dans les rues de Stornoway.
welcome sur Memor Mirificus, un forum University/City/HP de type fantastique ou vous pouvez incarner moldus, sorciers ou cracmols. Le jeu se déroule a Stornoway sur l'île de Lewis, là ou la première université pour sorciers et moldus a ouvert ses portes. Vous aurez sept jours pour terminer votre fiche. aucun nombre de RP par mois n'est demandé, ni de ligne minimum par réponse.
Le Deal du moment :
Pokémon EV06 : où acheter le Bundle Lot ...
Voir le deal

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas

(augustus) moonlight shadow

Mar 8 Mai - 5:59




I took a walk on a Saturday night,fog in the air, just to make my mind seem clear where do I go from here? I see my breath pushing steam through the air, shaking hands run through my hair, my fears, where do I go from here?

En plein coeur de la forêt, tu te prélasses et tu profites. Tu profites d’un heure de tranquillité, sans marmot à t’occuper. Poudlard était certe ta nouvelle maison, mais comme tout à chacun, tu aimais aussi être seul. La Forêt Interdite te permettait de réaliser ce souhait. Et si tu n’étais pas une langue sainte, tu dirais que tu le faisais exprès de mener tes collés dans ces bois pour avoir la paix. Ne serait-ce que le temps qu’ils retrouvent leur chemin. Heureusement cette fois-ci, tu n’avais pas besoin d’user d’un procédé aussi vicieux pour rendre visite aux centaures et aux licornes. Ils étaient relativement tous serein d’une clairière à une autre. Tu avais trottiner sur tes quatre pattes de velours pour aller plus vite. Tu t’étais même permis de grimper sur le dos d’un centaure sous ta forme chat. Ils te connaissent maintenant, ils savent qui tu es. Ton côté animal te rendait plus proche des semi-hommes que les autres sorciers, car tu te sentais comme eux. Tu étais perpétuellement coincé entre l’homme et le chaton, si bien que tu étais souvent surpris dans des petits écarts de conduite. Tu avais apprécié la balade, couché et roulé en boule sur le dos du chef du troupeau. Tu étais trop mignon et trop petit pour qu’il ait envie de te faire déguerpir. D’autant plus que tu n’avais rien d’une menace et que tu aimais passer du temps avec eux. C’est d’ailleurs eux que t’ont emmené voir les licornes. Les centaure sont naturellement protecteur avec ces bêtes sacrées, surtout depuis la dernière grande guerre magique où elles ont été tuées en masse par vous-savez-qui pour les propriété magique de leurs sangs. C’était une espèce quasi-éteinte jusqu’à ce que les centaures reprennent les parts de territoire qui leur reviennent de droit et qu’ils y hébergent les dernières. Maintenant, elles pullulent dans la Forêt Interdite, mais elles sont toujours envieusement gardées et surveillées par les quadrupèdes pour éviter un nouveau massacre. Sauf que voilà, arrivé à une certaine heure, il faut savoir se montrer raisonnable et rentrer. Tu avais relevé la tête en baillant lorsqu’on t’avait secoué les puces et tu t’étais remis sur tes quatres pattes. Malgré la hauteur, tu ne t’étais pas trop-trop vautré en descendant du centaure et tu avais repris ton petit sac de poupon. Tu étais à l’origine de sa taille, car c’est toi même qui l’avait rétrécis avec le sortilège Reducto pour continuer à le porter même sous ta forme actuelle. Après tout, toutes tes affaires étaient conciliées à l’intérieur, y compris ta baguette. Tu étais bien trop méfiant pour la cacher sous un arbre. Tu avais attendu d’être éloigné des centaures et de leurs troupeaux de licorne pour reprendre ta forme humaine afin d’éviter de leur faire peur. Tu connais cette forêt mieux que quiconque, aussi tu savais où tu allais. Ce qui n’est pas le cas de tout le monde visiblement. Tu entends quelqu’un appeler à l’aide. A crier comme ça, cet idiot va avoir un troupeau d’homme-cheval sur le dos et ils ne vont pas se gêner pour le bouter en dehors de leur territoire. Du coup, tu te mets en marche pour le rejoindre. Ta première consigne sera sans doute de baisser d’un ton.  

(c) SIAL ; icons VOCIVUS


Anonymous
Invité
Invité
Revenir en haut Aller en bas
Lun 21 Mai - 6:46
Une bonne idée. C’était sensé être une bonne idée, tu en étais persuadé depuis le début. Toi qui n’aimes pas beaucoup te perdre dans les bois, tu étais allé te promener dans la Forêt Interdite, aux alentours de Poudlard. Son nom pourtant aurait dû te mettre sur la piste et t’indiquer à quel point cette idée n’était pas si brillante. Mais pour une fois, tu voulais faire les choses comme il faut et ne pas te contenter de ce qui était écrit dans un livre.

Pour une fois ? Non, bien sûr que non Augustus. Ce n’est pas la première fois que tu sors de ton bureau pour aller approfondir tes connaissances. Mais bon, ça t’avait vraiment motivé pour retourner dans ces maudits bois, peu importe les différents dangers que tu pouvais y croiser.
Et puis, ce n’était pas non plus si dangereux en vérité. Tu n’es pas un mauvais magicien, tu es même professeur ! Alors ce ne sont pas quelques créatures qui devaient t’effrayer.

Voilà pourquoi c’était sensée être une bonne idée. Tu n’avais rien à craindre venant de la forêt, et les enseignements que tu en tirerais te seraient fondamentaux pour tes cours. Sauf que tu avais oublié un élément important dans toute cette histoire : toi-même. Oui, Augustus, tu avais oublié à quel point tu peux être maladroit et te perdre en moins de temps qu’il n’en faut pour dire ouf.

Et c’est à cause de cela que tu te retrouves en train de paniquer, perdu au milieu de ces arbres qui se ressemblent tous – et qui ressemblent de plus en plus à des monstres, maintenant que le soleil est en train de se coucher.
« Tout ira bien Augustus. Tu es un adulte, tu sais faire de la magie. Tout ira bien. Ça n’est pas plus effrayant que d’être perdu dans la foule après tout. Tu peux le faire. Tout ira bien. »
Avançant d’un pas beaucoup trop rapide pour quelqu’un de perdu, tu cherches désespérément un élément qui te rappellerait quelque chose, peut être des traces que tu aurais laissé à l’aller. Mais c’est comme si les bois ne voulaient plus te laisser partir, et te voilà réellement incapable de reconnaître quoi que ce soit.

Alors, en désespoir de cause, tu commences à appeler à l’aide. Ce qui, lorsque tu y réfléchis, est une mauvaise idée. Une très mauvaise idée. Après tout, aucun humain ne devrait se trouver dans le coin et tout ce que tu risques de faire, c’est d’attirer absolument tout le reste jusque toi.
Mais il semblerait qu’aujourd’hui, tu as bien du mal à apprécier tes idées à leur juste valeur. Et ce qui devait être un geste imbécile et guidé par la peur est en vérité ce qui va te sauver la vie.

En effet, alors que tu continues de crier et d’avancer – sérieusement, tu devrais rester immobile pour qu’on te retrouve, Augustus – des bruits se font entendre derrière toi. Redevenant silencieux d’un seul coup, tu attrapes ta baguette et la pointes bien devant toi, redoutant qu’un centaure ou pire encore sortent des fourrées. Mais il n’en est rien et c’est à ta grande surprise qu’un sorcier apparaît devant toi. Tu es si heureux de le voir que tu arrives même à la regarder dans les yeux pendant de longues secondes – avant de planter ton regarder sur le sol, comme à ton habitude.
« Je .. Je ne pensais pas croiser quelqu’un ici. Merci d’être venu. C’est que, voyez vous, je ... » Tu te sens bien imbécile à chercher tes mots ainsi, perdu au beau milieu d’une forêt qui s’avère être interdite. « Je … Je suis professeur vous savez, et j’avais besoin de venir ici … pour mes cours. Je suis le professeur Wolf. Augustus Wolf. »
Tu as bien conscience que ce n’est ni le lieu ni le moment pour des présentations, mais c’est plus fort que toi. C’est comme ça que tu as été élevé et tu t’en voudrais de faire honte à ta Mère dans un moment pareil. Enfin, de lui faire encore plus honte, étant donné la situation dans laquelle tu t'es fourré et le regard désapprobateur de ton interlocuteur.
Augustus J. Wolf
Augustus J. Wolf
Neutral
ft. : Matt Smith
Hiboux envoyés : 23
Sur MM depuis : 07/03/2018
Allégeance : *
Mornilles : 75
DC : Abigail Strauss
Revenir en haut Aller en bas
Ven 1 Juin - 9:30




I took a walk on a Saturday night,fog in the air, just to make my mind seem clear where do I go from here? I see my breath pushing steam through the air, shaking hands run through my hair, my fears, where do I go from here?

Tu t’étais approché à pas de velours, posant ta main sur le bois. Etrange hippie que voilà, tu semblais communiquer avec lui. Tu avais l’air de vouloir le rassurer, lui dire des mots étranges. Pourtant, tu n’en fis rien. Tu t’étais contenté d’approcher et de faire ton métier, à savoir garde-chasse et non pas batifoleur professionnel. Tes yeux étaient grands ouverts, dévisageant cette nouvelle tête étourdie qui ne savait pas où la donner. Quel étrange personnage te disais-tu. Tu ne l’avais jamais vu ici, tu en étais certain. Sinon, tu t’en serais souvenir, ça s’est sûr. Puis il t’entend arriver, et il pointe sa baguette en ta direction. Ni une, ni deux, tu fais de même. Reflex défensif au cas où, et aussi peut-être vestige d’une vieille hantise, tu as beaucoup moins d’assurance d’un coup. Tu te forces à rester immobile, là, devant lui. Tu n’avais qu’une envie, c’était de te carapater et de le laisser se débrouiller. En l’espace de quelque seconde, tu avais eu le désir de te sauver et ce n’est que lorsque l’autre se rendit compte de son erreur que tu avais jugé être parti dans l’exagération. Tu attends qu’il baisse complètement sa baguette pour faire de même, et tu l’écoutes se présenter. Augustus Wolf, tu hoches la tête pour lui faire comprendre que tu avais bien écouter. A ton tour, tes lèvres s’ouvrent et tu lui réponds enfin. “Vous quoi ?” Ce n’est pas dans l’ordre mais bon, tant pis. C’est l’intention qui compte me diras-tu. Tu t’approches de cet individu, ayant bien compris que tu ne craignais rien de lui et tu lui avais tendu la main pour sceller les présentations. “Enchanté, Salem Lindemann, le Garde-Chasse. Je ne veux pas vous donner d’ordre, mais vous êtes sur le territoire des Centaures ici.” Tu avais le mérite de faire dans le direct, c’est tout à ton honneur. Une fois votre poigne réalisée, tu avais réajusté la bandoulière de ton sac sur ton épaule et tu attendais la suite de sa première phrase. Tu étais curieux de savoir ce qu’il pouvait bien chercher ici pour risquer de se perdre dans un bois qui ne lui était pas familier. Cela traînait en longueur d’ailleurs, donc tu avais fini par fouiller ton sac pour trouver une bouteille de Whisky. Rien ne sert de s’étonner, tu estimes avoir une gueule plutôt parlante sous ta forme humaine. A savoir ; loin d’être innocente. Tu tends ton bras et tu l’invites à te suivre poliment. “Vous m’expliquerez tout cela sur le chemin, il ne faut pas rester ici. Vous en voulez ?” Tu lui tends ta bouteille, car une flasque ne suffirait pas à tenir la journée. Tu le ramène sur ses pas, plus ou moins car le pauvre avait tourné en rond pendant un petit moment avant d’atterrir ici. Sauf que toi, tu savais pertinemment où tu vouais aller. Lorsque tu avais jugé être suffisamment éloigné des Centaures, tu pouvais lui poser la question sans détour. “Alors, pourquoi vous êtes ici ? Hormis pour vos cours ?” Tu marches distraitement, puis tu t’arrêtes et tu t’assoies sur la souche d’un arbre. Tu te doutes que vous allez en avoir pour un moment, puisqu’il n’est pas venu se perdre sans raison. Enfin, tu espères. Car sinon, tu remets grandement en cause sa débrouillardise.

(c) SIAL ; icons VOCIVUS


Anonymous
Invité
Invité
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas
Sauter vers: