Stornoway est le village jouxtant l'édifice de la W.I.S.E. La route entre les deux se fait, à pieds, en une vingtaine de minutes et offre une vue spectaculaire des plages qui bordent l'île. Village tout près des montagnes est traversé d'une rivière se jetant dans la mer, charmant et pittoresque, Stornoway - à force de cohabiter avec la W.I.S.E. - est devenu un village entièrement sorcier où il fait bon vivre et travailler. Là-bas vous y retrouverez également le quartier Coigrich, un quartier qui, depuis quelques années, s'est naturellement développé avec l'arrivée d'étudiants aux origines multiples à la W.I.S.E. - sur la rue Goathill. Restaurants italiens, japonais, coréens et même canadiens y ont vu le jour. Salles de bowlings, de karaokés, petits salons de thé, boulangeries, bibliothèques, magasins de musique, terrains de foot, studios de danse, gymnases et bars ont pointés lentement le bout de leur nez, faisant maintenant compétition aux édifices ancestraux présent depuis bien longtemps dans les rues de Stornoway.
welcome sur Memor Mirificus, un forum University/City/HP de type fantastique ou vous pouvez incarner moldus, sorciers ou cracmols. Le jeu se déroule a Stornoway sur l'île de Lewis, là ou la première université pour sorciers et moldus a ouvert ses portes. Vous aurez sept jours pour terminer votre fiche. aucun nombre de RP par mois n'est demandé, ni de ligne minimum par réponse.
don't threaten me with a good time padraig & salem
Voulez-vous apporter ceci au directeur de St.Barnaby s'il vous plaît, j'aimerais qu'il étudie cet objet un peu plus attentivement fit la voie de manière posée tandis qu'elle tendait en direction du Garde-Chasse une boite en bois recouverte d'un fin voile rouge brodé d'or. Sans doute un objet enchanté à l'intérieur qui devait d'être d'une grande rareté pour que la directrice ne sache pas de quoi il s'agit. À moins qu'elle n'ait envie de consulter un point de vue extérieur ? C'est possible. En tout cas, le brun n'allait pas décliner une telle invitation. Et, dans les commissures de ses lèvres, la vieille femme semblait étirer un sourire malicieux. Un sourire qu'il avait compris. Elle avait fais exprès de l'envoyer là-bas. Salem s'était incliné poliment, les pieds collés l'un à l'autre. De vieux réflexes qui ne le quittent pas. En commençant par les salutations entre grandes fortunes. Il avait pris la boite sous le bras, prenant soin de ne pas trop la bousculer. Il fallait transplaner pour se rendre à St-Barnaby, mais impossible hormis pour les directeurs de le faire dans les enceintes du château. Alors, d'un pas pressé, le brun avait rejoins son cabanon à l'extérieur, préparant ainsi quelques affaires au cas où il s'attarderait là-bas. Après tout, si Minerva avait vu juste, il se pourrait qu'il y passe la nuit. Pas avec le directeur de l'université. Non ! Bien entendu ! Non-non, plutôt avec un charmant infirmier. C'était à son tour de se déplacer cette fois-ci. Il avait pris son sac bandoulière infiniment plus grand à l'intérieur, glissant le coffre à l'intérieur. Sa baguette était bien dans sa poche interne, il n'avait rien laissé derrière lui … Très bien, il pouvait y aller. Il avait atterri à quelques pâtés de maison de l'université, reprenant son pas pressé. Cela faisait tellement longtemps qu'il usait du transplanage pour voyager qu'il n'était plus perturbé par celui-ci. Et ce n'était pas non plus la première fois qu'il venait. Grimpant les étages trois marches par trois, il était rapidement arrivé dans le bureau du directeur. La moindre des choses avant de prendre du bon temps, c'était de réaliser d'abord la mission qu'il lui avait été confiée. Le directeur était déjà au courant pour sa visite, d'où le fait que la porte s'était ouverte toute seule avant même qu'il ait le temps de toquer. Après huit mois, il se faisait encore surprendre. Pourtant, le Garde-Chasse de Poudlard affichait un fin sourire, sortant de sa besace ce pour quoi il était venu officiellement. « Bonjour Monsieur, je vous apporte ceci de la part de Madame McGonagal. Elle souhaiterait votre point de vue sur ce qu'il contient. » fit-il poliment en restant prostré dans la pièce. Il attendait, avec une impatience tapie, la suite de cette entrevue. Le directeur ronchonnait un peu, analysait avant de finalement lui dire qu'il enverrait au plus vite un hiboux pour donner des suites et que Lindemann pouvait disposer.
Le brun ténébreux était retourné dans le couloir, avec une mine satisfaite. Bien, maintenant qu'il était libre de faire ce qu'il voulait à St.Barnaby, autant aller voir celui pour qui il s'était motivé à venir. Il avait pris sa baguette, pointant celle-ci sur sa besace. Un sort de réduction et le voilà aussi petit que pour une poupée. Cela dit, il gardait ses propriétés d’extensibilité à l'intérieur. C'était un petit malin. Hors de questions de laisser ses affaires à la traîne dans une école qui n'était pas son terrain de jeu habituel. Posant le micro-sac à terre, Salem avait glissé sa baguette à l'intérieur par la fine ouverture avant de se transformer à l'abri des regards indiscrets en chat...-on. Oui, chaton serait plus approprié. À croire que sa petite taille d'humain jouait aussi sur celle de son Animagus. Se dépatouillant comme il pouvait, il avait passé sa tête par la lanière du sac pour ainsi le porter sur son dos malgré cette forme de boule de poils. Il allait être plus rapide ainsi à quatre pattes pour rejoindre l'infirmerie. Et puis, avec tous les potentiels animaux de compagnies qu'il y avait dans cette université, un de plus ou un de moins ne choquera personne. Le chaton noir s'était mit à trottiner dans le hall d'entrée, le poids de son sac ne semblait pas le gêner. Il y avait quelques curieux qui regardaient et d'autres qui ne prêtaient pas attention à lui, trop occupés à flirter ou bien à critiquer le corps enseignant. Cela ne semblait pas le gêner. C'était presque quotidien pour lui d'entendre des élèves se plaindre. Et puis, des pieds avaient fini par lui barrer la route, le chaton noir avait relevé la tête affichant ce regard intrigué par cette personne. Quoi ? Qu'est-ce qu'il y a ? C'est clairement ce que ce regard voulait dire. Il s'était mit à miauler doucement à défaut de pouvoir dire des mots comme pousses-toi ou bien pardon. Ce qui semblait être un géant pour lui à sa taille actuelle ne bougeait pas d'un pouce. Qu'est-ce qu'il lui voulait ?
electric bird.
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Sam 15 Juil - 13:23
Don't threaten me with a good time
Cette journée s’annonçait bien voir extrêmement bien. Il s'était réveillé le nez dans le pull (qu'il avait piqué à Adele) et avait respiré et bavé pendant des heures sur celui-ci. Puis, il s'était glissé dans la douche commune et avait pu admiré les belles courbes de son Adou. Paddy avait décidé de se mettre sur son trente et un. Donc maquillage obligeait et petite tenue décontracter made in Paddraig le couturier aux doigts de fée. Il se baladait dans les couloirs humides du vieux château écossais de STB, par moment il saluait les gens d'un sourire ou d'un signe de la main digne de la Reine d'Angleterre. Il fallait dire le petit Irlandais était connu dans l'enceinte de l'école, parfois pour des bonnes raisons et souvent pour les mauvaises. Mais Paddou savait que la perfection n'existait qu'une seule fois. Et c'était lui, donc les jaloux no way. Au moins, son Adele au pissenlit l'acceptait comme il était et Padd si il avait eu les moyens il lui aurait construit une statue en bronze pour montrer au monde entier la grandeur de son homme.
Mais pour l'heure, il avait déjà commencer à fabriquer un fromage en forme du jeune né-moldu. Et pour son anniversaire il comptait lui offrir ce magnifique fromage de brebis bio venant tout droit d'Irlande ainsi que son superbe corps étendu dans un lit à baldaquin dans une ambiance romantique. La classe. Padd était la classe incarné ainsi que la perfection. Padd allait devenir le maître du monde et à ses bras le fabuleux Adele. Du coin de la manche il s'essuya la bave qui commençait à couler. Les yeux dans les vagues, la bouche légèrement entrouverte. L'irlandais paraissait alors à un fou en cavale ou à un pervers. Et dans les deux cas, ce n'était pas vraiment un comparant très agréable. Tout comme la réforme de l'orthographe. Ce sont des criminelles, des méchants ! Et la liberté d'expression on s'en foutait ? Padd recommençait à divaguer. Encore. Son extrême intelligence le mettait parfois à l'écart. On ne pouvait pas avoir la beauté et l'intelligence. Heureusement que ce n'était son cas. Tout heureux il chantonnait une chanson des Queen.
Au loin, Paddraig vit un petit chaton noir perdu. Son pauvre cœur de Bisounours en manque d'amour et d'affection ne put que craquer devant la bouille si adorable de ce bout de chou. Marchant rapidement, il se mit à la hauteur du chaton qui au vu de sa taille devait le prendre pour un géant. Ce qui d'un côté n'était pas faux. « Pauvre chaton, que fais-tu ici tout seul ? » demanda doucement Padd en posant sa main sur le poil soyeux de l'animal.
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Saint-Barnaby était en quelques points différents de Poudlard, mais en soit, on y trouvait la même ambiance magique avec quelques années en plus. Auparavant, Salem ne savait pas qu'il existait des écoles de magies supérieures. Sinon, il ne se serait pas gêné pour fouler l'entrée et continuer ses études. À la place, il avait été envoyé en stage au département des mystères, en plein cœur du Ministère de la Magie anglais. Son père avait été son mentor et, malgré tout le respect qu'il lui doit, travailler dans un bureau après avoir été enfermé aussi longtemps par les Mangemorts, ça ne lui allait pas du tout. Il avait renouvelé ses excuses et il était partit, laissant un père un peu déçu derrière lui, c'est vrai, mais tout à fait compréhensif vis-à-vis de sa situation. Finalement, ce n'est pas tant un hasard s'il était devenu garde-chasse à Poudlard. C'était par soif de liberté et l'impossibilité de se trouver enfermer dans une pièce avec des barreaux à la fenêtre. Son expérience aurait pu faire de lui un très bon professeur, mais il était bien trop timide pour ça. Le chaton noir gambadait doucement dans les couloirs. Il en profitait pour visiter un peu les lieux, se familiariser avec ceux-ci. Il allait revenir souvent entre ces murs pour son homme alors, autant améliorer son orientation. Il n'allait pas le cacher, il avait du mal. Beaucoup de mal même. Il se cherchait, il regardait autour de lui. Il se demandait s'il n'était pas déjà passé par ici si bien qu'au bout d'un moment, le chaton en avait eu marre et il s'était assit au beau milieu du couloir pour prendre une pause et souffler. Il n'était pas au courant des rumeurs, des racontars, des petites amourettes du coin. C'était juste … Un émissaire d'une autre école qui venait en vadrouille déposer un colis après tout. Les élèves plus vieux que lui avaient l'air de géant, si bien que ça l'avait motivé à se relever pour ne pas se faire écraser au passage. Il était monté sur un rebord, se mettant un peu en hauteur et ainsi, il avait pu continuer sa route. Son sac le menaçait de le faire tomber à chaque pas, mais il n'oubliait pas de rappeler qui était le patron entre les deux.
Quand la population dans les couloirs était devenue moins dense, Salem était redescendu pour le plancher des vaches afin de continuer sa route. Avec tout ça, oui, il s'était perdu. Il n'avait pas réussi à se concentrer sur la route à prendre et résultat, il n'avait pas l'air bien malin. Le chaton semblait être totalement blasé à cette idée. Il avait l'étrange sensation de devoir tout recommencer à zéro. À commencer par le point de repère. Il était résigné à reprendre ses recherches depuis le début quant un géant un peu étrange était venu. Un élève du moins. Il avait l'air vraiment bizarre, mais ça, il ne pouvait pas trop lui dire. Le premier reflex avait été de se baisser en voyant la main approcher de son pelage. Une tentative d'esquive ! Et puis finalement, il était peut-être bizarre, mais pas méchant. Alors le chaton s'était redressé pour glisser sa petite tête dans le paume de sa main, témoignant ainsi qu'il acceptait sa présence. Bien que, attention, il a quand même les griffes de sorties donc rien ne garantit que Salem soit tout à fait pacifiste sur ce coup-là. Le chaton avait miaulé une nouvelle fois, essayant de trouver de quoi donner un indice sur ce qu'il voulait. Il s'était dérobé pour montrer les indications, se mettant sur ses deux pattes arrières pour désigner l'infirmerie du mieux qu'il pouvait du moins.