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Stornoway est le village jouxtant l'édifice de la W.I.S.E. La route entre les deux se fait, à pieds, en une vingtaine de minutes et offre une vue spectaculaire des plages qui bordent l'île. Village tout près des montagnes est traversé d'une rivière se jetant dans la mer, charmant et pittoresque, Stornoway - à force de cohabiter avec la W.I.S.E. - est devenu un village entièrement sorcier où il fait bon vivre et travailler. Là-bas vous y retrouverez également le quartier Coigrich, un quartier qui, depuis quelques années, s'est naturellement développé avec l'arrivée d'étudiants aux origines multiples à la W.I.S.E. - sur la rue Goathill. Restaurants italiens, japonais, coréens et même canadiens y ont vu le jour. Salles de bowlings, de karaokés, petits salons de thé, boulangeries, bibliothèques, magasins de musique, terrains de foot, studios de danse, gymnases et bars ont pointés lentement le bout de leur nez, faisant maintenant compétition aux édifices ancestraux présent depuis bien longtemps dans les rues de Stornoway. welcome sur Memor Mirificus, un forum University/City/HP de type fantastique ou vous pouvez incarner moldus, sorciers ou cracmols. Le jeu se déroule a Stornoway sur l'île de Lewis, là ou la première université pour sorciers et moldus a ouvert ses portes. Vous aurez sept jours pour terminer votre fiche. aucun nombre de RP par mois n'est demandé, ni de ligne minimum par réponse. |
| Elle avait ressassé l'événement. Elle avait planché, elle avait cherché une explication. Elle s'était detestée, elle avait été horrifiée… elle avait même vomis - mais la allez savoir pourquoi! Mais finalement, finalement… elle avait compris. Elle avait compris en travaillant d'arrache pied, en bouquinant comme jamais elle ne l’avait fait et en questionnant Nutcombe et son cher et adorable Ulsnovski… jusqu'à en avoir une retenue. Elle avait finalement compris qu’elle, Winifred Hopkins, avait été EMPOISONNÉE! Tous les symptômes y étaient, et elle était particulièrement bien placé pour le savoir: on lui avait fait boire un philtre d'amour plus que bien dosé sans son consentement dans le but unique de détruire sa vie… enfin, non évidemment… dans le but de détruire le mariage de Pan et Drystan. Une excellente idée à laquelle elle aurait certainement aimé participer… si elle n'avait pas été la cible du coup! Un coup bien monté… évidemment. Mais elle avait des pendules à remettre à l’heure. Avec Pan - qu’elle évitait depuis comme la peste, faute ne n'avoir trouver aucune explication à lui donner jusqu'à tout dernièrement, mais surtout avec Drystan. Il était tout simplement HORS DE QUESTION qu'il vive avec l’immonde et absurde idée qu'elle était amoureuse de lui. Ainsi, fraîchement sortie de son entraînement de quidditch, sale et sa batte en main, elle repéra au loin le serpentard en chemin vers son propre entraînement. Sautillant sur place en faisant de large signe de bras, question qu'il n’ait pas l’excellente idée de l’ignorer elle cria: “WOJCIECH!! WOUHOU?!” | | | | | « Alors Knight, on s’entraine dur pour la défaite ? »
Fier comme un PAN, comme toujours lorsque Drystan déambulait le parc tel un catwalk en direction du stade de Quidditch, dans son apparat de Batteur, sa fidèle Batte jettée sur son épaule comme on jette sa belle veste dans un geste faussement nonchalant.
« Eh Weasley, avec ta carrure de Vif d’Or, fais gaffe a pas te faire attraper ! »
Particulièrement fier de cette dernière, son sourire goguenard se transforma en bouche ouverte sous la surprise lorsqu’il aperçut l’autre rouquine modèle réduit de la bande, la jumelle de Weasley, Hopkins. Il savait parfaitement qu’elle jouait pour les Fruffrons, mais pour une raison qu’il ignorait, il avait zappé la petite de son esprit. En fait, il ne lui avait même pas parlé depuis son Deus Ex Machina au mariage. Pas qu’il l’avait évitée, mais très franchement il avait d’autres lions à fouetter.
Il secoua doucement sa tête de gauche à droite. Pauvre petite. Et dire qu’elle s’accrochait !
Il lui décocha son sourire le plus charmeur —pourquoi l’aider à décrocher ?— et entoura son bras autour des épaules d’Hopkins.
« Alors, joli coquelicot, on veut fricoter avec l’ennemi ? » | | | | | L'envie d'en foutre une bonne à travers la tronche de Drystan était grande. TRÈS grande. Si normalement elle trouvait le serpentard PLUTÔT drôle, en se moment, il la répugnait, avec son petit sourire de charmeur - qu'elle savait devait fonctionner sur une multitude de jeune filles toutes maisons confondues. Retenant donc de justesse de lui vomir sur les pieds de dégoûts, la gryffondor afficha sa meilleure "bitch face" que l'univers entier n'ait jamais connu, le nez retroussé, les yeux exorbité, la bouche de travers. Plus frustrée que jamais qu'il la prenne comme une des victimes de son charme "légendaire", Winifred repoussa le bras de Drystan, alors qu'elle lui prodiguait de sa main libre une claque monumental en pleine poitrine. Son orgueil et son intégrité était en jeu. Lorsque son orgueil était en jeu, Hopkins ne rigolait plus. "Je ne suis PAS ton coquelicot et... je veux encore MOINS fricoter avec toi! WHAT. THE. FUCK. WOJCIECH?"La gryffondor se tourna d'un bloc, croisant des bras sur sa poitrine tout en faisant face au serveur du grand lac. L'image qu'elle donnait devait être hilarante aux yeux du jeune homme. La châtaine - aux tendance rousse certes - couvertes de boue fraîche, les cheveux dans tous les sens et le visage renfrogné, elle avait certainement l'air déterminé... mais pas particulièrement crédible. "On a des shit à mettre au clair dude."- HRP:
J'aime ça être attardée dans nos RP, j'espère que tu me pardonne!
| | | | | Oh, mais c’est que la petite Fruffondor se rebellait !
Drystan couvrit son torse de ses mains dans une expression d’agonie, comme s’il s’était reçu un coup de poignard plutôt qu’une claque de naine.
"Je ne suis PAS ton coquelicot et... je veux encore MOINS fricoter avec toi! WHAT. THE. FUCK. WOJCIECH? »
C’est qu’elle paraissait presque crédible avec son ton qui se voulait autoritaire, et son allure de Wonder Woman au rabais. Un autre gars aurait surement fait profil bas devant l’air déterminé de Hopkins et la terre sur son visage faisant office de peinture de guerre, mais Drystan était plus malin que ça. Il savait reconnaitre une fille qui avait trop peur d’admettre ses sentiments.
« Qu’est-ce que tu veux mettre au clair ? C’est pas grave tu sais. » Il faisait tournoyait sa batte entre ses mains d’un geste distrait. Ses coéquipiers avaient déjà rejoint le stade, mais il pouvait bien accorder quelques minutes à son amie au coeur tourmenté. « Au fond, j’aurais dû le savoir que tu étais amoureuse de moi. C’est vrai, on a toujours eu un lien spécial toi et moi. »
Il se saisit de l’une de ses mèches rousses toute crottées et la coinça délicatement sous le rebord de la casquette d’Hopkins.
« Sois pas si dure envers toi-même. Tu ne seras ni la première, ni la dernière à tomber sous le charme de Wojciech. » | | | | | « Qu’est-ce que tu veux mettre au clair ? C’est pas grave tu sais. Au fond, j’aurais dû le savoir que tu étais amoureuse de moi. C’est vrai, on a toujours eu un lien spécial toi et moi. Sois pas si dure envers toi-même. Tu ne seras ni la première, ni la dernière à tomber sous le charme de Wojciech. » Plus Drystan parlait, plus Winifred devenait rouge, et on ne parlait pas ici d’un rouge coquin de petite fille gênée, non. On parlait ici d’un rouge de rage haineux et frustré, d’un rouge aussi pourpre que sa tunique terreuse de gryffondor, d’un rouge qui, pour quiconque connaissait suffisamment Winifred, était synonyme d’un très mauvais signe. Parce que rien au monde ne l’a faisait plus enrager que cette attitude. La goûte d’eau qui fit déborder le vase de la gryffondor fut certainement l’audace du Serpentard de lui replacer une de ses mèches de cheveux presque tendrement sous la casquette de la rouquine, comme si elle était l’une de ses pauvres filles en amour avec lui. NON MAIS ON L’A PRENAIT POUR QUI? Le poing serré, Winifred ne pu se retenir plus longtemps et lança celui-ci en plein dans les côtes de Drystan. Sans chigner, sans mimique de douleur d’avoir frappé les os de celui-ci de toutes ses forces - s’en voulant mentalement de ne pas avoir penser à prendre sa batte plutôt que ses poings - elle lança sèchement: « Wojciech. On a toujours eu bien du plaisir ensemble, vraiment bien drôle notre “Amitié”, un peu conne, mais vraiment. N’ose plus JAMAIS insinué que j’ai un crush sur toi comme toutes ces petites poules pas de têtes qui se jete à tes pieds comme si tu était le seul homme de l’univers.»Croisant ses bras fermement sur sa poitrine, le visage toujours rouge de frustration elle souffla durement avant d’ajouter: «Je venais te dire qu’on m’avait drogué en filtre d’amour à ton mariage. Je ne sais pas QUI a pu faire ça - bien que j’ai peut-être quelques idées derrière la tête - mais je venais mettre au claire tout ça… et visiblement tu en avais bien de besoin. Tu ne m’ajouteras pas dans ta liste de conquête. Oublie-ça dude t’es pas dans ma ligue.»#bitchPlease. Mais elle savait qu’elle devait être clair avec Drystan et espérait John Hopkins que le Serpentard n’allait pas prendre tout ça pour une déclaration d’amour d’une fille farouche. Manquerait plus que ça… vraiment. Jeta sa batte sur son épaule elle haussa les épaules et ajouta: «Lorsque tu penseras que j’ai un crush sur toi, penses à ecchymose sur tes côtes et ramènes-toi à l’ordre man. T'es pas le seul mec potable de Poudlard.» | | | | | Outch, que ça faisait mal. Et pas juste le coup de poing qui lui avait coupé le souffle sous le choc et le faisait se plier en deux en se tenant les côtes. (Il espérait de tout coeur que personne de leurs equipes respectives n’ait vu l’action, car il ne tenait pas particulièrement à ajouter « chochotte » sur sa liste de qualificatifs déjà longue.)
En plus de cette bonne humiliation physique de derrière les fagots, ses mots le frappaient comme autant de petites gifles bien ennuyeuses dans le visage.
Pendant un instant, il fut tenté de lui rendre son coup, mais de une, on lui avait toujours appris qu’il ne fallait pas frapper les femmes, de deux, à armes égales, poings contre poings ou batte contre batte, il y avait une légère possibilité que la Gryffonne soit plus forte que lui.
Une main toujours sur le côté, il lançait à Hopkins son regard le plus farouche —là on voyait bien la ressemblance avec un serpent— et tiqua légèrement lorsque la rouquine esquissa un geste avec sa batte. Heureusement, elle se contenta de jeter celle-ci sur son épaule, et non de l’assommer avec pour compléter sa déculottée.
« D’abord, » cracha-t-il lorsqu’elle lui laissa enfin l’opportunité d’en placer une, « c’est pas sympa de traiter mes copines de poules sans tête ! Elles font ce qu'elles peuvent, les pauvres ! Ensuite— hein ? »
Il laissa tomba sa batte le long de son corps, perplexe. Empoisonnée ? C’était vraiment l’excuse la plus bidon qu’on lui avait jamais servie. Mais il fallait bien avouer que le discours d’Hopkins sur son soi-disant non-amour pour lui était plutôt convaincant.
« Pourquoi qui que ce soit aurait fait ça ? T’empoisonner, je veux dire. C’est complètement débile. Ou alors c’est de la goutte du Mort Vivant qu’ils avaient voulu mettre dans ton verre, ce serait bien plus crédible ! »
Il se crispa un peu, prêt à recevoir une autre vrille. C’était un peu suicidaire de sa part, mais ça en valait la peine. | | | | | À le voir tiquer, alors qu'elle remettait sa batte sur son épaule, Winifred fut envahit d'un sentiment de victoire momentané, elle aimait étrangement particulièrement beaucoup le fait que le serpentard ait une soudaine peur de sa batte. Ouep, finalement, elle allait peut-être devenir physique avec Drystan plus souvent. HEY WAIT WOW PAS CE GENRE DE PHYSIQUE LÀ ENLEVEZ-VOUS CETTE IDÉE DE LA TÊTE! La gryffondor haussa un sourcil en voyant le regard meurtrier du petit serpent. L'étrange envie de lui tapoter la joue en riant lui traversa l'esprit, mais elle se retint - du moins juste à temps alors que Drystan se lançait dans ses accusations. Ouioui bon, ce n'était pas gentil pour Pan, ni pour Olivia, mais Winifred n'avait jamais compris leur amour pour Drystan. Enfin, il était drôle et pas laid, mais vraiment, ça s'arrêtait là à ses yeux. Décidant de ne pas entrer dans son jeu et de se justifier (ou voir même de se complaire en excuse à ses amies qui n'étaient de toute façon même pas là), l'attention de la gryffondor fut capté plutôt par la suite: le POURQUOI. « Pourquoi qui que ce soit aurait fait ça ? T’empoisonner, je veux dire. C’est complètement débile. Ou alors c’est de la goutte du Mort Vivant qu’ils avaient voulu mettre dans ton verre, ce serait bien plus crédible ! »Prenant son air le plus sérieux et connaisseur possible, elle leva trois doigts devant le visage du blond, tout en pointant le premier de sa batte: « Premièrement, on ne m'a pas empoisonné pour me tuer j'en suis convaincue parce que je suis ADORABLE» Elle marqua une pause, sa batte appuyée sur ton doigt levé, son regard figé durement sur Drystan, elle fit un étrange sourire de psychopathe puis reprit «Mais plutôt pour te pourrir la vie. J'vois pas d'autre explication. J'suis CERTAINE que c'est une de tes petites âmes en peine d'amour qui m'a utiliser contre toi en sachant très bien que c'était crédible pour personne que JE sois soudainement en amour avec toi.»Elle marqua une pause fixant ses deux autres doigts lever, puis voyant qu'elle n'avait rien a ajouter, haussa les épaules et les baissa. Laissant flotter prêt du visage du blond SON doigt et SA batte bien lever clairement en face de lui pour appuyer ses dires. Finalement y'avais rien de mieux que la violence pour se faire écouter, c'était connu! | | | | | | | | |
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