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Stornoway est le village jouxtant l'édifice de la W.I.S.E. La route entre les deux se fait, à pieds, en une vingtaine de minutes et offre une vue spectaculaire des plages qui bordent l'île. Village tout près des montagnes est traversé d'une rivière se jetant dans la mer, charmant et pittoresque, Stornoway - à force de cohabiter avec la W.I.S.E. - est devenu un village entièrement sorcier où il fait bon vivre et travailler. Là-bas vous y retrouverez également le quartier Coigrich, un quartier qui, depuis quelques années, s'est naturellement développé avec l'arrivée d'étudiants aux origines multiples à la W.I.S.E. - sur la rue Goathill. Restaurants italiens, japonais, coréens et même canadiens y ont vu le jour. Salles de bowlings, de karaokés, petits salons de thé, boulangeries, bibliothèques, magasins de musique, terrains de foot, studios de danse, gymnases et bars ont pointés lentement le bout de leur nez, faisant maintenant compétition aux édifices ancestraux présent depuis bien longtemps dans les rues de Stornoway. welcome sur Memor Mirificus, un forum University/City/HP de type fantastique ou vous pouvez incarner moldus, sorciers ou cracmols. Le jeu se déroule a Stornoway sur l'île de Lewis, là ou la première université pour sorciers et moldus a ouvert ses portes. Vous aurez sept jours pour terminer votre fiche. aucun nombre de RP par mois n'est demandé, ni de ligne minimum par réponse. |
| Y aller. Ne pas y aller. Y aller. Ne pas y aller. Ana était en train de lister le pour et le contre, dans deux colonnes différentes mentales de son cerveau. Et elle aurait pu continuer longtemps comme ça mais à quoi bon ? La colonne contre avait déjà pris une belle avance depuis une bonne dizaine de minutes déjà mais Ana avait déjà pris sa décision avant même de commencer sa liste. Elle savait très bien qu’elle ne faisait ça que pour retarder le moment fatidique, ce qui était assez contradictoire étant donné qu’elle mourrait d’envie de revoir son ouragan. La Gryffondor avait passé la nuit à se conditionner au fait que ses sentiments envers l’apprenti-concierge puissent être réellement réciproques et que ses lèvres sur les siennes ne s’étaient pas juste montrées joueuses ou en manque. Elle espérait que son cerveau avait bien compris le sens de sa phrase à la Dumby et n’avait pas seulement compris ce qu’il avait voulu comprendre. De toute façon, que risquait-elle dans le cas contraire ? Seulement la retenue dont il avait parlé hier, ce qui ne serait certainement ni sa première colle ni sa dernière. Ajoutez à cela un cœur brisé en miettes et la possibilité d’un amour à sens unique ne paraissait plus si terrible. Après tout, les choses brisées, ça se recolle, non ? Mais oui, la super glue, ces moldus avaient pensé à tout ! Ana jeta un coup d’œil à la pendule accrochée sur le mur d’en face, dont les tics-tacs incessants ne cessaient de la narguer depuis qu’elle était rentrée des cours. 19h27. Y aller. Ne pas y aller. Est-ce qu’elle était encore véritablement en train de se poser cette question alors que seulement trois petites minutes la séparaient de l’heure du rendez-vous ?! Bondissant littéralement de sur son matelas, Ana fonça vers la sortie en se frappant le front. Evidemment qu’elle irait, ce n’était pas la peine de se mettre en retard pour des enfantillages. De toute façon, elle finirait bien par le recroiser un jour où l’autre ailleurs dans l’établissement, il était inutile de repousser l’inévitable, surtout quand l’inévitable était aussi beau que ça. 19h29. Soit elle courrait, soit elle serait en retard. Alors elle courut, comme elle n’avait jamais couru de sa vie, comme si elle avait un Drysatan enflammé aux fesses. Et elle chuta, probablement plusieurs fois, s’écorchant la paume des mains et les genoux sans y prêter une quelconque attention. 19h29 et 59 secondes. Ana se trouvait devant la porte du bureau, toute débraillée par sa course mais à l’heure. Il aurait peut-être mieux fallut qu’elle soit en retard tout compte fait, en retard mais présentable. Elle aurait probablement dû faire demi-tour, sortir au moins sa baguette pour lancer un ou deux sorts qui arrangeraient un peu ses cheveux mais elle était tétanisée. Incapable de faire quoi que ce soit, pas même frapper à la porte pour montrer qu’elle était arrivée à l’heure. Alors elle fit la seule chose qu’elle était capable de faire en cet instant : s’asseoir. Elle glissa le long du mur et fit tomber sa tête contre la porte, fermant les yeux pour reprendre son souffle. La logique aurait voulu qu’elle attende sagement, même si elle n’avait pas frappé. Sauf que sa course effrénée l’avait totalement vidée de toute son énergie alors qu’elle n’avait déjà pas beaucoup dormi la veille, son esprit étant beaucoup trop occupé à penser au concierge. Alors elle s’endormit en un quart de seconde, là, collée à cette porte qui la séparait de sa source vitale. Source vitale qu’elle finit rapidement par retrouver dans son rêve, un véritable rêve pour une fois. | Anastasia Stonehenge Muggle Lover ft. : Poppy Drayton
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| | | | Je lui ai donné rendez-vous, rien de moi, mais je n’ai aucune espèce d’idée de quoi faire en réalité. Pour une première, j’ai perdu mes moyens en voyant cette douce étudiante qui se laissait charmer par un jeune homme, je n’ai pas voulu laisser ça aller. Pourtant, je sais pas encore si j’ai bien fait ou non, si ce n’est pas une gaffe, ou si je n’ai pas tout simplement signé mon renvoi immédiat de l’établissement. Je sais que c’est risqué, je sais que ce n’est pas politiquement correct, mais je dois être le plus jeune de tout le staff entier de Poudlard, côté âge c’est moi qui fait baisser la moyenne… et Binns qui la fait monter, quoi que je me demande si Ulanovski n’est pas plus vieux que ce fantôme endormi…. En tout cas, si on compte par l’âge j’ai moins de différence avec elle qu’avec n’importe qui du personnel de l’établissement. Alors en réalité, il est ou le mal ? Il faut simplement savoir gérer le tout, ne rien laisser paraître devant les autres. Après tout, on est des adultes, on est capable de se contenir non ? Puis, il faut voir si elle a compris ce que je voulais sous-entendre hier, si elle a compris que j’étais all-in, que je mettais toute mes pièces en jeux et que je voulais laisser le destin voir si nous étions compatibles. Elle me plaisait déjà et venais me chercher par la douceur qui se dégageait d’elle. Cette timidité attachante et son regard si intense à la fois. Quel homme resterait indifférent à une femme telle qu’elle ? J’ai l’habitude de voir des femmes sentir leurs jambes les lâcher sur mon passage, mais elles n’ont pas toutes ce que cette gryffondor a… Je suis appuyé contre le rebord de ma fenêtre et je fume une clope en essayant de ne pas faire entrer la fumée à l’intérieur de mon bureau, le vieux concierge n’a pas su se lever aujourd’hui, donc je serais étonné de le voir ici. Il est bientôt l’heure de la voir, un sourire s’étire sur mon visage, je ne dois par contre pas montrer à quel point je suis heureux de la revoir, je jette ma clope au loin, soufflant ma dernière taffe qui se fait engloutir par une bouffée d’air au même moment. Je descends de mon perchoir avant d’aller m’asseoir derrière le bureau, mais avant que j’aie pu poser mon postérieur sur la chaise, j’entends un bruit contre le bois de la porte. Je vais donc ouvrir la porte pour qu’une Nanouchka endormi tombe à mes pieds. Bon, j’avoue que là je suis incapable de retenir mon envie de rire. « Je vais commencer à prendre l’habitude que tu tombes à mes pieds… ce n’est pas déplaisant non plus. » Je lui tends la main pour qu’elle se relève, j’ai tenté de reprendre un air plus naturel pour moi, mais j’ai du mal à cacher ce petit sourire en coin qui ne veux pas s’effacer de mon visage. « De toute façon, on ne reste pas dans le bureau pour ta retenue. » | ft. : Andy Black
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| | | | Le rêve était beau. Tout aussi beau que celui qui avait été en fait réel quelques jours plus tôt, si bien qu'Ana se surprit encore à douter du caractère onirique de la situation. Pourtant, lorsqu'elle entendit cette voix mélodieuse raisonner dans ses oreilles à son réveil, lui faisant relever la tête, elle se demanda comment elle avait encore pu douter. Même dans ses rêves les plus fous, son cerveau n'arrivait pas à reproduire l'exactitude du timbre séduisant du concierge, la perfection de son visage, le charme incomparable qu'il dégageait, son odeur paradisiaque qui chatouillait ses narines quand bien même elle ne se trouvait qu'à ses pieds. Sérieusement, comment faisait toutes les filles pour résister à un tel charisme ? Et surtout, comment avait-elle fait pour ne pas le remarquer avant ? C'était un mystère. Elle se souvenait s'être rendue compte de sa beauté à couper le souffle lorsqu'elle l'avait croisé à la soirée des cachots mais ce n'était pas comparable à ce qu'elle pouvait ressentir aujourd'hui. Et surtout, est-ce qu'elle ne devenait pas une de toutes ces filles superficielles qui flashaient sur le premier beau gosse plus vieux qu'elles, qu'elles croisaient sur leur passage ? Non, c'est vrai qu'il était beau. Incroyablement beau même. Mais Ana sentait qu'il n'y avait pas que ça. Son être entier l'intriguait, l'attirait, la rendait dingue. "J'essaierai de rester debout un jour, promis." souffla-t-elle en souriant lorsqu'il l'aida à se relever. Il souriait et pourtant, la Gryffondor ne se sentait pas offusquée du tout parce que ce petit sourire en coin qui ne voulait pas quitter le visage du brun l'emplissait de joie. Le simple fait qu'elle puisse en être à l'origine était la plus belle chose qui lui été donnée de voir. Si sa maladresse pouvait servir à quelque chose pour une fois, une chose aussi merveilleuse qui plus est, ce n'était franchement pas de refus. L'haleine de Ludo lui fut projeter au visage lorsqu'il ajouta sa dernière phrase et Ana douta instantanément de ce qu'elle venait de dire, vacillant sur ses jambes en remerciant le ciel qu'il la tienne toujours. Un mélange de menthol, de Ludo et de tabac. Elle voulait la même haleine, pour pouvoir se sentir elle-même toute la journée. Etape numéro 1, manger un bonbon à la menthe. Faisable. Etape numéro 2, embrasser Ludo. Risqué dans ce bureau et avec son absence de selfcontrole mais faisable. Etape numéro 3 fumer. Ana arqua un sourcil, se rendant compte qu'elle n'avait encore jamais fumé de sa vie alors qu'elle était majeure. En voilà un truc à rajouter sur la liste pour la faire devenir plus adulte. Sauf que ce n'était probablement pas le meilleur truc à faire dans Poudlard, dans le bureau du concierge, avec le concierge. Enfin après tout, s'il avait cette haleine divine, c'était qu'il n'était pas non plus très innocent. Et puis, elle pouvait toujours "fumer par procuration" en l'embrassant, non ? Secouant la tête pour chasser ses pensées stupides, elle décida de se concentrer plutôt sur ce qu'il venait de dire. On ne restait pas dans le bureau. Voulait-il les amener dans un lieu plus... intime ? Non non, elle n'était pas prête à être adulte à ce point, elle ne savait même pas encore tenir debout ! Quoi que techniquement, du peu qu'elle en savait, elle n'aurait probablement pas besoin d'être debout... Ana sentit ses joues s'enflammer, elle délirait totalement, elle était en retenue voyons, juste une simple retenue. Il fallait se reprendre. "Je vous suis M'sieur." dit-elle avec une pointe de malice. C'est vrai que le côté interdit de leur relation était assez excitant en réalité. Et puis de toute façon, elle ne savait pas où il allait l'emmener et préférait ne pas savoir pour arrêter de s'imaginer n'importe quoi. | Anastasia Stonehenge Muggle Lover ft. : Poppy Drayton
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| | | | Quand j’ai accepté le job, je ne pensais pas que ma vie ressemblerait à ce qu’elle ressemble en ce moment. De nouvelles rencontres, des gens plus intéressant que d’autre aussi. Je ne pouvais pas dire que ma vie était ennuyante, ni de tout repos. Je devais voir à tout, surtout que la santé du concierge n’était pas au beau fixe, j’étais donc de plus en plus en charge de m’occuper des tâches qu’il occupait en temps normal. Déjà qu’il était bougon, c’était de pire en pire en ce moment. Heureusement que j’avais des consolations, des gens que j’aimais bien que je pouvais voir régulièrement. Comme Drystan et j’avoue que ces temps-ci ma tête tourne autour d’une certaine demoiselle qui est sensé venir me rejoindre sous peu… Et quand on parle du loup, il n’est pas long que je la retrouve étendu par terre à mes pieds. J’aimerais bien savoir ce que je lui fais pour qu’elle soit incapable de rester debout en ma présence, c’est un peu malcommode, mais je suis fort et grand, donc je l’aide à se relever, un sourire au coin des lèvres qui ne s’efface pas de mon visage. « Tant que tu tombes pas comme ça devant tous les mecs que tu croise je ne vois pas où j’aurais à me plaindre d’avoir une jolie fille à mes pieds ! » Mais c’est vrai, je connais peu de gens qui ne trouverait pas ça plaisant. Mon regard se porte ensuite sur le sien, suspendu dans le temps alors que je dessine mentalement chaque trait de son visage, la forme de ses lèvres à celle de ses yeux, la couleur de ceux-ci. Je déglutis pour me donner contenance, parce que je ne peux pas l’embrasser là alors que nous sommes à la vue de tous, dans l’embrasure de la porte de mon bureau. Je recule légèrement pour pouvoir reprendre moi aussi mes esprits. J’ai une retenue à lui faire faire et ce n’est pas en prenant racine ici que nous pourrons vraiment avancer. J’hoche la tête avant de l’entraîner dans mon sillage. Je descends le grand escalier qui mène au hall d’entrée. J’aime semer la confusion son esprit, je l’entraîne ensuite vers les cachots dans la pièce ou Rusard classe ses dossiers. « Rusard voulais classer ses dossiers… je me suis donc dis que ce serait bien comme retenue. » J’hausse les épaules avant de m’avancer vers elle. Pour lui montrer en gros ce qu’il y avait à faire… j’espère qu’elle serait capable de voir aussi que c’était déjà fait ! | ft. : Andy Black
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| | | | Tomber comme ça devant tous les mecs qu'elle croisait ? Aucun risque ! Son truc à elle c'était plutôt de tomber dans les escaliers ou en plein milieu des couloirs déserts sans raison quelconque, juste pour le style. M'enfin bon ça, elle préféra le garder pour elle parce que c'était pas franchement un truc dont on pouvait se vanter devant le mec de ses rêves. Dommage parce qu'elle aurait pu s'en vanter tous les jours sinon ! Enfin bref, encore fallait-il réussir à résister à ce regard de braise. Normalement c'était elle qui le fixait comme ça, pas l'inverse ! Elle n'était pas aussi forte que lui pour résister à un regard aussi intense. Heureusement qu'il se détourna rapidement parce qu'elle avait encore faillit se retrouver nez à nez avec son ami le plancher. C'est qu'elle allait finir par connaître le nombre de grains de poussière de toutes les salles de Poudlard à force. Ana se lança à la suite du concierge après avoir inspiré un grand coup. Elle n'avait absolument aucune idée d'où il l'emmenait ni de ce qu'il allait lui faire faire. C'était une situation assez stressante, même carrément paniquante avec l'imagination débordante d'Ana. Son front commença à se plisser à mesure qu'il avançait vers les cachots. Pas franchement un endroit idyllique pour une première fois retenue. Ana frissonna en imaginant les araignées qui grouillaient sûrement un peu partout dans la pièce, attendant le moment propice pour lui grimper dessus une fois que son corps serait nu lorsqu'elle serait concentrée sur sa retenue. « Rusard voulais classer ses dossiers… je me suis donc dis que ce serait bien comme retenue. »Le regard d'Ana parcourut les dossiers, tandis qu'elle commençait à se mordiller la lèvre inférieure. Elle n'était pas une experte en "classage" de dossiers mais elle était assez intelligente pour se rendre compte que tout avait l'air en ordre. Enfin après tout, elle n'avait jamais classé de dossiers de sa vie alors peut-être que c'était juste qu'elle n'y comprenait rien. N'empêche que de son point de vue, on aurait franchement dit qu'il insinuait autre chose dans sa phrase. Sauf qu'Ana ne devait pas écouter sa conscience qui était complètement détraquée quand Ludo était dans les parages. "Euh... Je sais pas trop comment on... AHHHH"Une araignée venait de passer juste à côté de son pied, réduisant ses dernières parcelles de charme à zéro. Elle s'était jetée sur le concierge par réflexe sauf qu'elle y avait mis un petit peu trop d'entrain, les faisant finir tous les deux par terre dans un fracas assourdissant. Pour une fois au moins, elle n'était pas toute seule en communion avec la pierre froide du sol. "Woops..." murmura-t-elle gênée aussi bien de sa réaction que par le fait qu'elle se retrouvait complètement allongée sur Ludo. Elle ne put cependant s'empêcher de sourire, ayant comme un élan de nostalgie en pensant que ce n'était pas la première fois qu'ils se retrouvaient dans cette position et que ce n'était certainement pas non plus cette fois qu'elle était la plus ridicule. "Hum, ça va ? Tu ne t'es pas fait mal ? J'ai.. euh... glissé."Excuse bidon spotted. N'empêche que la vue que cette position offrait était franchement pas mal, elle ferait mieux de "glisser" plus souvent. | Anastasia Stonehenge Muggle Lover ft. : Poppy Drayton
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| | | | Disons que je n’ai pas choisi l’endroit idéal pour un rendez-vous galant, mais à la base ce n’est pas censé être ça. C’est censé être une retenue que je camoufle en rendez-vous, un moyen de passer du temps avec la jolie Gryffondor sans que cela ne paraisse suspect. Il faut quand même que je fasse un minimum attention, je n’ai pas vraiment envie de devoir retourner voir mes parents et les entendre se plaindre sur mon incapacité à garder un job aussi simple que celui de concierge, déjà que ce job ne convenait pas aux attentes qu’ils avaient placé en moi, le petit dernier de la lignée Hastings. Moi, perso je n’en ai rien à foutre du poste, mais pour me tenir loin de mes parents, j’aimerais bien pouvoir le garder. Que ce soit la prestigiosité du poste ou non, ce n’est pas important. Le nom Hastings ici n’était pas aussi prestigieux qu’aux states, ils devraient juste être content que je sois concierge à Poudlard et non là-bas dans mon ancienne école. Puis la tâche en question qui m’avait été demander de faire que je prenais comme excuse pour en faire une ‘retenue’ m’avait déjà été demander à mon arrivé dans l’école, mais j’avais bien pris garde de le partager avec le vieux. Donc, voilà tous les éléments étaient réunis pour que je puisse passer une bonne soirée avec Anastasia, dans les cachots, sans avoir peur que personne ne nous surprenne. Maintenant, allons voir si Anastasia comprenait qu’elle était sauve et qu’elle n’aurait pas à payer pour les conneries de l’autre bouffonne. Je la laisse donc regarder les dossiers, mon regard insistant pour qu’elle comprenne que… bah que c’était fait. Puis sans que je ne m’y attende elle me sauta dessus et je n’ai rien pu faire pour éviter la chute. PAN, ma tête se cognant contre le sol. Je garde les yeux fermés pendant un moment, alors que je sens parfaitement le poids de la demoiselle sur moi. Un sourire nias étire mes lèvres avant que je finisse par ouvrir les yeux. « Il fallait que je tombe sur la tête pour voir un ange ! ALLÔÔôôôÔÔÔ ! Tu peux glisser sur moi quand tu veux chérie. » Je rigole, alors qu’une bosse commence à poindre sur le derrière de mon crâne. Mais, l’ange au-dessus de moi semble en détresse, je dois faire quelque chose pour l’aider. Elle est si belle, je ne peux pas la laisser comme ça sans ne rien faire pour son bonheur. Alors j’attrape doucement son visage et va lui appliquer la meilleure médecine, j’ai entendu certaine maman appeler cette technique le bekébobo. Elle semble avoir du mal à respirer ou je ne sais pas, mais en fait, je me donne cette excuse de la soigner pour pouvoir l’embrasser. Alors c’est ce que je fais. Ma main glisse sur sa joue aussi douce que de la soie. « Tu es venue pour moi mon ange ? Pour me montrer le droit chemin ? comme j’en ai de la chance moi ! » en plus j’ai pu embrasser un ange, je suis un homme presque entièrement comblé. Parce que j’aimerais bien la sentir nue serrer dans mes bras et être près d’elle. Je continue de l’admirer d’un air béat ! | ft. : Andy Black
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| | | | « Il fallait que je tombe sur la tête pour voir un ange ! ALLÔÔôôôÔÔÔ ! Tu peux glisser sur moi quand tu veux chérie. » Attendez. Est-ce que cette phrase venait de sortir de la bouche de Ludo ou de la sienne ? Non parce que c'était typiquement le genre de truc ridicule qu'ELLE aurait sorti en règle générale. Pourtant, elle était presque certaine de ne pas avoir ouvert la bouche, ou du moins de l'avoir juste ouvert d'admiration devant la beauté du corps qu'elle avait sous les yeux. Et puis sa voix à elle n'était pas aussi sexy et suave grave. A moins qu'elle avait mué en tombant, si ça se trouve ! Malheur, comment allait-elle faire pour lui adresser la parole avec une voix de garçon ? Pas besoin de parler après tout, et ça Ludo l'avait bien compris. PUTAIN, c'est mal poli comme mot, mais ce type embrasse franchement comme un dieu, il a du faire ça toute sa vie. Et il devrait passer le reste de sa vie à le faire encore, avec elle bien sûr, juste en guise d'entraînement hein. Heureusement qu'ils étaient déjà par terre parce qu'Ana ne sentait plus ses jambes. Elle avait enfin embrassé Ludo sans tomber, enfin c'était plutôt l'inverse mais ça revenait au même. Bon d'accord, il n'y avait pas beaucoup de mérite à ne pas tomber quand on était déjà par terre mais la symbolique était là. La main d'Ana remonta couvrir celle qui venait de se placer sur sa joue pour ne pas qu'il brise le contact. « Tu es venue pour moi mon ange ? Pour me montrer le droit chemin ? comme j’en ai de la chance moi ! » Ok, elle en était sûre maintenant, ce n'est pas elle qui venait de parler parce qu'elle était bien trop en état de choc émotionnel pour pouvoir dire quoi que ça. Il avait du se fracasser le crâne sur le sol, si ça se trouve il allait se vider de son sang et elle aurait tué son premier véritable (PARDON DRY) amour à peine dès leur premier rendez-vous. Bravo Ana, tu t'améliores de jour en jour ! "Tu as dû te cogner très fort la tête." dit-elle inquiète en passant sa main libre dans la chevelure de l'apprenti-concierge. Really, comment on pouvait avoir une tignasse aussi douce ? Ce garçon n'avait donc aucuns défauts ! Ses cheveux étaient si soyeux, ils avaient l'air si frais, Ana avait envie de les sentir. Elle remonta donc en rampant sur le corps de Ludo pour aller sentir ses merveilleux cheveux, sans faire attention que sa position avait placé tout droite sa poitrine dans le visage de Ludo. Ana ferma les yeux en reniflant, ça sentait si boooon. Elle ne saurait dire si elle préférait l'odeur de ses cheveux ou de son haleine, probablement les deux. Ouvrant les yeux pour reprendre son souffle, sa vision ne fut de nouveau pas épargné mais dans le mauvais sens du terme ce coup-ci. L'araignée de tout à l'heure se trouvait juste au dessus de la tête de Ludo, les toisant comme si elle projetait un plan machiavélique. "AHHHHH" cria-t-elle de nouveau en attrapant la tête de SON Ludo (Retiens-bien ça madame l'arachnide), les faisant rouler sur le côté pour les éloigner de la bête. Encore une fois, la scène lui parut familière, sauf que ça avait été franchement plus confortable de rouler dans l'herbe que sur la pierre froide du sol des cachots. Manque de chance, la pièce était beaucoup plus encombrée que la clairière et ils finirent par heurter le coin d'une vieille table en bois, faisant tomber un gros registre poussiéreux droit sur la tête d'Ana qui glissa ensuite sur le côté, éclaboussant au passage aussi Ludo d'un gros filet de poussière. Ana toussota en se frottant l'arrière de la tête, c'est qu'ils allaient vraiment finir par ne pas sortir vivants d'ici. Balayant le nuage de poussière qui brouillait sa vision vers Ludo, elle découvrit son visage devenu grisâtre en esquissant un rire. C'est donc tout naturellement qu'elle lui souffla dessus pour enlever la couche de poussière avant de se rendre compte que ce n'était pas une si bonne idée, car la poussière lui revenait en pleine tête. S'étouffant à moitié, elle décida de débarbouiller son prince au doigt, au pouce plus précisément même. "Mister-Sexy n'a jamais été aussi sexy que maintenant." dit-elle en redécouvrant peu à peu son visage angélique. Pour qu'une telle phrase sorte de sa bouche, elle aussi avait du prendre un sacré coup sur la tête. Soit, puisqu'ils n'allaient apparemment pas sortir d'ici vivants, grâce au talent indéniable d'Ana-la-catastrophe-ambulante, autant profiter du peu de temps qu'ils leur restaient, non ? "Je n'aurais jamais cru dire ça un jour mais pour une fois, c'est moi la fille la plus chanceuse de la planète" ajouta-t-elle avant de se lancer dans un des baisers les plus fougueux de l'histoire des cachots de Poudlard. Et dieu sait qu'il en avait vu des baisers indécents durant la soirée d'octobre. | Anastasia Stonehenge Muggle Lover ft. : Poppy Drayton
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| | | | Rosie, ce petit bout de femme si charmante, est capable de tellement, elle me captive et m’enchante. Elle fait de moi un homme heureux et je crois que c’est ce qui compte le plus. Son sourire est toujours la première chose que je vois en me levant et elle est ma raison de sourire aussi à mon tour. Je n’imagine pas ma vie sans elle, elle est ma famille et elle en fait partie entièrement, je la connais depuis aussi longtemps que je connais mon frère en réalité. Et ma famille l’aime aussi beaucoup, je sais que Pollux est très proche d’elle et je suis content, qu’il puisse parler librement comme ça avec elle. Un halo de lumière au-dessus de sa tête, elle était un ange c’était clair net et précis. Est-ce que je suis mort ? C’est pour ça qu’elle est venue me voir ? Merlin m’a envoyé un bien bel ange alors, je ne croyais pas que je méritais autant, tellement que je rougis comme une gamine qui reçoit un bisou de son premier petit ami. Mais c’est intimidant de se retrouver sous une telle beauté quand même. Sauf, que pour vérifier si je suis vraiment mort, je dois procéder à une vérification. Un ange n’embrasserait pas un simple mortel non ? Puis, j’espère aussi que les anges ne sont pas nécrophile, c’est un peu dégoutant tout de même, j’aimerais mieux passer pour un mangeur de hibou que pour une nécrophile, mais je dois vérifier en capturant les lèvres de la dites ange. Et non, je ne suis pas mort, parce que ce baiser à éveiller une nuée de papillons à l’intérieur de mon ventre. Waou, ce que je peux avoir de la chance moi d’être sous elle et d’avoir pu l’embrasser, elle ne m’a même pas repoussé ! Ma main toujours sur la joue de la jeune demoiselle est bientôt rejointe par sa propre main à elle. Je dois sourire béatement, je ne suis pas certain de suivre tout ce qui se passe, mais on s’en fou. Je suis dans un endroit merveilleux sur mon petit nuage. Me cogner la tête ? « Si je suis tombé sur la tête ? Non je ne crois pas. Qu’elle tête, y’a rien sous moi… l’idée de faire tomber une tête aussi ce n’est pas pratique ! » Déjà qu’il y a un quasi sans tête… je ne savais pas que le château avait des hommes sans tête. Mes yeux se ferment alors que je sens ses mains dans mes cheveux, ronronnant presque de plaisir à ce contact. Et quand je viens pour les ouvrir, mon visage est recouvert par une jolie poitrine. « Humm… » J’appréciais le contact, ça semblait être un endroit très confortable pour y faire une petite sieste. Ma main remontait doucement sur ses jambes pour pouvoir aller enserrer sa taille, quand un cri de terreur me fit sursauter et je senti mon corps projeter dans une sorte de roulade et je fini par atterrir au-dessus de la dites brunette angélique. Je pose mes mains de chaque côté de son visage pour ne pas mettre trop de poids sur son corps si frêle. Je sens un souffle sur mon visage alors que plein de poussière vole dans toute la pièce, je me retiens pour ne pas éternuer sur elle, ce serait loin d’être glamour. « Est-ce que c’est moi Mister sexy ? » Mais, chanceuse elle ? Pourtant c’est moi qui avait de la chance en ce moment. Et encore, ses lèvres se retrouvent plaqué au mienne et je savoure l’instant, me redressant même pour la faire s’asseoir sur moi. « Comment se fait-il que tu n’aille pas d’aile ? J’imaginais les anges avec des ailes. » Il me semble que cet endroit est si sombre pour une si belle colombe, qu’est-ce que nous faisons ici au juste. Il y a juste pleins de boîte empilés les unes par-dessus les autres. « J’ai un peu sommeil pas toi ? » Mayday Mayday… une commotion ? | ft. : Andy Black
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| | | | "Bien sûr que c'est toi ! Ce n'est pas comme s'il y avait foule ici" dit-elle en promenant son regard dans la salle. Encore heureux d'ailleurs qu'ils étaient seuls parce qu'ils auraient certainement des gros ennuis sinon, surtout lui. "J'ai pas encore reçu assez de coups sur la tête pour parler aux objets." ajouta-t-elle avant de s'être lancée dans son baiser éperdu. Heureusement que le registre lui avait mis un sacré coup parce que lorsqu'il se redressa, elle se rendit soudainement compte de leur proximité. Une telle proximité avec un être du sexe opposé, c'était tout nouveau pour Ana. Enfin du moins tout nouveau lorsqu'elle était sobre. Pourtant, à part un excès de timidité qui était caractéristique de sa personnalité, elle ne ressentait pas la gène - le malaise - qu'elle avait pu avoir avec les rares autres garçons qu'elle avait pu "fréquenté" d'un peu plus près que la normal. Ludo faisait éclater toutes les barrières, c'était une sensation divine. "Toi par contre pour parler d'ange, ta tête a du prendre cher." Elle passa de nouveau une main dans sa chevelure soyeuse, soucieuse. Elle devrait peut-être l'emmener à l'infirmerie ? Si ça se trouve il faisait une hémorragie interne et il était en train de mourir dans ses bras, d'où le fait qu'il parle d'anges. Sauf qu'elle n'était pas sûre d'arriver à expliquer comment ils en étaient arrivés là sans parler de travers ou lancer des insinuations douteuses qui pourraient les compromettre tous les deux. Merlin si ses parents apprenaient qu'elle s'était jetée dans les bras d'un membre du personnel de l'école, ils seraient sans doute au moins aussi verts que si elle leur apprenait une liaison avec un né-moldu, si ce n'est plus. Parce que c'était une chose de "souiller" le sang de sa famille mais c'en était encore une autre de rabaisser leur nom par des actes proscrits, encore plus quand il s'agissait d'une relation interdite. La société sang-pur avait toujours été friande des "scandales" de ce genre et ne la louperait certainement pas. C'était si injuste, Ludo ne devait avoir seulement que quelques années de plus qu'elle ! Elle fut tirer de ses songes par la voix qui faisait chavirer son cœur. Il avait sommeil, merlin il devait vraiment faire une commotion cérébrale ! Que faire ? Elle n'allait quand même pas le laisser agonisant - même s'il n'avait pas l'air d'être souffrant si vous voyez ce que je veux dire - dans cette salle poussiéreuse ! Ok, elle avait un plan. Un plan pas du tout nashesque mais un plan quand même, c'était mieux que rien. Le poussant légèrement, elle l'obligea à se rallonger en prenant garde à ce qu'il ne se cogne pas de nouveau. Puis elle ôta son pull, remerciant le ciel d'avoir eut la bonne idée d'enfiler un débardeur en dessous le matin, le roula en boule et alla le caser sous la tête de son ouragan dévasté. Elle déposa un rapide baiser sur son front en murmurant un "Repose-toi" et se coucha à ses côtés, posant sa tête sur son torse. Non seulement elle allait réaliser un de ses rêves - à savoir coucher dans le sens innocent du terme avec l'apprenti-concierge - mais en plus elle allait pouvoir le sauver. Une fois qu'il serait endormi, elle partirait chercher de l'aide en prétextant l'avoir trouvé à terre. Elle briserait le moment idyllique mais c'était la meilleure chose à faire si elle voulait pouvoir en vivre d'autres. | Anastasia Stonehenge Muggle Lover ft. : Poppy Drayton
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DC : Stravelopoulet
| | | | Oh, comment elle peut me flatter cette délicieuse demoiselle. Je ne me sens pas si sexy que ça pourtant, en tout cas pas en cet instant, je suis gêné d’être devant une si belle demoiselle. Je promène aussi mon regard autour de la salle, c’est vrai qu’il n’y a pas foule ici, je dois bien donner un point pour la demoiselle. « Oh, mais c’est sûr que même si tu me trouve sexy, je n’ai aucune chance avec toi, tu es bien trop jolie pour moi ! » Je baisse les yeux, c’est vrai, je suis déçu parce que je ne pourrais pas l’avoir, elle mérite mieux que moi c’est sûr. Je fais une moue boudeuse en regardant le sol en avant de moi. La vie peut être si cruelle parfois, pour une fois qu’une fille me plait, il faut qu’elle soit trop jolie pour moi. Pourtant je relève la tête pour aller caresser ses cheveux. « Oh non, pas ta jolie tête qui a reçu des coups. Il faut qu’on règle ça ! Je peux faire un bec et bobo s’tu veux ! » Je fais papillonner mes paupières, tentant d’imiter le regard d’un petit chaton avec mes grands cils, le bleu de mes yeux plongé dans ses yeux merveilleux. Je ne comprends pas pourquoi elle me parle de ma tête, je vais bien moi, je suis au paradis, je ne voudrais pas être ailleurs en cet instant, parce que ailleurs, je ne sais pas pourquoi mais ça sonne sans elle, et ça non jamais je -ne-veux-pas-j ’ai-dit. Je secoue la tête, mais je dois arrêter bien vite parce que ça tourne un peu trop et que je ne me sens pas bien tout d’un coup. La douceur de ses gestes, elle est si douce, si parfaite en cet instant, qu’ai-je fais pour mériter autant de gentillesse de sa part. « On dirait que je t’ai attendu toute ma vie, où étais-tu pendant tout ce temps ? » J’ai envie de la serrer dans mes bras et de poser ma tête sur sa poitrine pour entendre son cœur battre, pour me mettre en tête qu’elle est réelle et que ce n’est pas mon imagination qui me crée cette douce chimère. Pourtant la fatigue s’accapare de mon être, mais je ne veux pas dormir, parce que dormir signifie fermer les yeux et fermer les yeux signifie ne plus pouvoir la regarder. Elle retire son pull, et mon regard descend involontairement vers… son corps de femme. C’est clair que je rêve… qu’est-ce qui me prends, cette chaleur au creux de mon ventre et des papillons dans le ventre. « Pourtant je n’ai pas manger de papillons dernièrement ! » Me dis-je à moi-même, je ne sais même pas comment expliquer leurs présences dans mon ventre ça fait peur. Je la laisse prendre soin de moi, alors que je me questionne toujours sur la présence des dits papillons à un endroit étrange dedans mon corps. Est-ce que si je pète il va y avoir des papillons qui vont sortir de mon cul. (O_O) Genre, c’est vraiment dégueu sa, des papillons puants… Et c’est en posant ma tête sur le pull que je me rends compte qu’elle me fait mal. Je grimace légèrement, pas contre l’affection qu’Anastasia me procure en ce moment. Je passe mon bras autour de son corps alors qu’elle vient s’étendre près de moi. Je vais même déposer un bisou sur le sommet de son crâne. « Je suis désolé Nanouchka. Je crois que oui, je suis tombé… mais je reste persuadé que tu es comme un ange. Reste près de moi, ne t’en va pas. » | ft. : Andy Black
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| | | | Bien trop jolie pour lui, elle ? Aucune chance avec elle, lui ? C'était le monde à l'envers, il avait vraiment du prendre un coup de sumo sur la tête ! Même comme ça, il ne pouvait pas dire de choses pareilles. Ne voyait-il pas que son cœur et tout le reste lui appartenait déjà ? Ca paraissait pourtant évident en vue de leur position, bien qu'il est vrai que chez la plupart des jeunes gens, ce n'était pas forcément significatif. Mais pour Ana, qui était sobre , ça voulait tout dire. Fallait-elle qu'elle lui dise clairement qu'elle l'aimait en plein milieu de ce cachot glauque ? Ce n'était pas tellement comme ça qu'elle s'était imaginée la scène à vrai dire. Elle n'eut pas eut le temps d'y réfléchir davantage car voilà maintenant qu'il lui proposait un bec et bobo. Ana n'avait aucune idée de ce que ça signifiait mais ça sonnait un peu comme un bisou et pour ça, elle signait tout de suite. Sauf qu'elle ne savait pas trop comment y répondre : "Oh oui j'en veux un, même deux, puis jamais deux sans trois" risquait de paraître un peu trop pressant, non ? Elle n'avait pas envie de passer pour une gamine qui voulait son bisou devant son apollon mais après tout, c'était lui qui avait proposé... Trop de réflexion tuait la réflexion alors elle se contenta de déposer un nouveau baiser sur le front du brun en lui caressant la tempe. Après tout vu son état, c'était à elle de prendre soin de lui à l'heure actuelle. « On dirait que je t’ai attendu toute ma vie, où étais-tu pendant tout ce temps ? »Ana haussa un sourcil, trouvant la question assez inappropriée. C'était pourtant lui qui venait d'arriver et non l'inverse. "Je te retourne la question mon cher, j'ai toujours été ici moi." Enfin presque toujours mais ça, c'était un détail. Ana se déshabille donc - du moins la première couche - pour pouvoir lui procurer un coussin alors qu'il se met à parler de son régime alimentaire. Autant elle avait déjà entendu dire qu'il mangeait des hiboux autant les papillons, c'était une grande première. Ana n'aimait les insectes, papillons compris, donc ça ne la dérangeait pas tellement mais fallait avouer que c'était assez weird comme moyen de se nourrir. Quoi que.. Si ça se trouve c'était ça son secret pour être aussi beau, manger des papillons, faudrait qu'elle essaie un jour. Fin oui mais non, elle préférait rester moche que de manger ces bestioles. Et puis, d'après ce qu'il disait il avait l'air de la trouver jolie, à moins que ça soit du au coup qu'il avait reçu à la tête, à vérifier... Ana préféra ignorer sa remarque histoire que son esprit ne se mette pas à imaginer son Ludy en train de manger des papillons. Ces petites choses grouillant dans son palais... Eurk, trop tard. Heureusement que les bras de l'apprenti-concierge vinrent la serrer, lui faisant complètement oublier la vision d'horreur qu'elle venait d'avoir. Des lèvres vinrent se poser sur sa tête et il lui sembla que cette dernière s'embrasa de façon divine. Est-ce qu'elle finirait un jour par s'habituer à cette sensation ? Elle espérait que non. « Je suis désolé Nanouchka. Je crois que oui, je suis tombé… mais je reste persuadé que tu es comme un ange. Reste près de moi, ne t’en va pas. » Il semblait si vulnérable en l'instant et tout ça par sa faute. Vraiment, il fallait qu'elle mette un terme à sa relation avec le sol, ça devenait trop dangereux pour son entourage. "Tu crois que je suis un ange, moi que tu es un rêve. Chacun ses croyances après tout." dit-elle avant de contempler une énième fois son visage angélique. Oui, il avait vraiment une tête de rêve. Et pas que la tête d'ailleurs. Elle n'avait plus envie de partir mais elle n'avait pas envie qu'il meurt non plus. "Je reste." ajouta-t-elle la gorge serrée, peu fière d'avoir dit son premier mensonge qui plus est devant l'homme qu'elle aimait mais elle ne voulait pas le perdre, pas déjà, jamais même. | Anastasia Stonehenge Muggle Lover ft. : Poppy Drayton
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| | | | C’est vrai que vu sous cet angle, c’est moi qui étais le petit nouveau dans le coin, mais faut dire que mes parents n’aimaient pas faire comme tout le monde. Ils n’étaient pas des Anglais, mais des Américains fiers de leur nation, donc ce n’est pas ici qu’ils nous auraient amener faire nos études, même si Pou-du-lard était une école très réputée. Un petit soupir s’échappa de mes lèvres avant de reposer les yeux sur son visage et de glisser ma main sur sa joue à nouveau. Je ne voulais pas perdre une miette du contact qui nous unissait en ce moment. « Il faut le dire à mes parents qui ont voulu que je naisse loin d’ici, mais l’important c’est qu’on soit réunis maintenant non ? » Mais oui, c’est tout ce qui comptait, c’est ce que je me répétais dans ma tête. Maintenant, mon ange m’avait trouvé, j’étais un homme heureux et comblé. Plus rien ne serait difficile ensuite. Sauf, peut-être trouver du confort avec ce mal de tête et les papillons qui volaient dans mon ventre, le tout réuni était très étrange et je n’avais pas l’habitude de me sentir comme ça. Je m’étends sur le sol avec son pull sous la tête et l’attire contre moi, je veux sentir la chaleur de son corps contre le mien et je ne veux pas qu’elle attrape froid, les cachots n’est pas le lieu le mieux isolé du château. Mais j’étais plus ou moins bien, le sol n’était pas l’endroit le plus confortable non plus. Il me semble qu’on était mieux dans la forêt la dernière fois. « Un bien beau rêve que de voir un ange telle que toi, continuons de vivre dans cette illusion… » J’avais parlé d’une voix rêveuse, un peu plus perché que normalement. Resserrant mon emprise autour d’elle. Puis une idée me traversa l’esprit embrumé lorsque j’avais parlé de rêve, si on retournait dans ce lieu magique dans la forêt, nous serions mieux. Mon bras quitta son épaule, puis je me dégageai pour me lever et je pris sa main dans la mienne. Je l’aidai à se lever et l’entraîna en dehors du local à l’aspect morbide. Elle méritait la lumière du plus beau des projecteur… La lune… Je marchais aussi vite que mon état me le permettait, j’avais encore la tête qui me faisait un mal de chien. Sauf que j’entendis un bruit, comme des bruits de pas, je vis un placard, j’ouvris la porte et l’attira contre moi et referma la porte aussi doucement que possible. « Oups, je crois que quelqu’un vient à notre recherche. Je ne sais pas si Rusard vient vérifier que je te fais faire ta retenue comme une personne responsable. » Je lui avais murmurer le tout à l’oreille, nous étions maintenant carrément coincé l’un contre l’autre, son parfum m’envahissait les narines. J’avais encore envie de l’embrasser… c’était romantique dans le noir comme ça, prisonnier en entendant que les bruits de pas s’éloigne… Pourtant ils étaient encore trop près de nous… je posa mes lèvres contre les siennes, jusqu’à qu’a ce que je me pose une question… « As-tu repris ton pull ? » | ft. : Andy Black
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DC : Clover, Drystan, Sara, Elyssa
| | | | Une main vint se poser sur sa joue, embrasant de nouveau la parcelle de peau qui jouissait du contact. Elle allait finir ses jours en tomate vivante, le rouge de ses joues allaient finir par ne plus partir à force, c'était certain. Au moins, elle ne ressemblerait plus à un fantôme lorsqu'elle serait malade ou lorsque l'hiver aura pointé son nez, fallait voir le bon côté des choses. « Il faut le dire à mes parents qui ont voulu que je naisse loin d’ici, mais l’important c’est qu’on soit réunis maintenant non ? » Bien vu, il marquait un point. "Tu as raison" lui répondit-elle en glissant instinctivement sa main dans la sienne. Ils ne se fréquentaient que depuis peu et pourtant Ana avait déjà l'impression que son corps avait pris des automatismes pour se rapprocher de lui. C'était comme si le pôle négatif qu'elle était était constamment attiré par le pôle positif qu'incarnait Ludo. Une attraction aussi bien physique que chimique, impossible de lutter contre les lois de l'univers. Puis de toute façon, elle n'avait aucune envie de lutter. Qui en aurait envie en étant couché de la sorte dans les bras d'un dieu descendu sur Terre ? Si l'on omettait la pierre froide et dur du cachot, elle ne s'était jamais sentie aussi bien de sa vie. Heureusement que Ludo était là pour la réchauffer un tant soit peu car enlever son pull n'avait pas été l'idée la plus brillant qu'elle ait eu déjà qu'elle n'en avait pas beaucoup de toute son existence. Au moins la tête de Ludo n'était pas en contact direct avec le seul, c'était le plus important. Sans trop comprendre ce qui se passait, elle regarda son ouragan faire sa tornade et se laissa entraîner par le brun à travers le dédale des couloirs. De toute façon, elle était trop perdue pour contester la direction et trop heureuse que Ludo arrive à marcher pour l'arrêter dans sa course. Chose qui arriva de toute façon bien vite suite aux bruits de pas qui s'élevèrent au croisement du couloir dans lequel ils se trouvaient. De nouveau, elle se retrouva plaquée dans ce placard sans trop comprendre ce qu'il lui arrivait mais la situation n'était pas pour lui déplaire. Son coeur battait la chamade aussi bien à cause de la marche effrénée qu'ils venaient de se taper que par la proximité qu'offrait la précarité de ce placard. Le torse de l'apprenti-concierge était collé à sa poitrine, sa clavicule imbriquée dans son visage, de quoi profiter innocemment sans éveiller les soupçons après tout, elle n'y pouvait rien si c'était trop petit non ? Il fallait bien qu'elle respire, même si elle respirait peut-être un peu trop pour que ça paraisse crédible. « Oups, je crois que quelqu’un vient à notre recherche. Je ne sais pas si Rusard vient vérifier que je te fais faire ta retenue comme une personne responsable. »Un frisson parcourut l'échine de la Gryffondor lorsqu'elle sentit le souffle enivrant de Ludo dans son oreille si bien qu'elle n'écouta qu'à moitié ce qu'il venait de lui dire. A vrai dire, elle ne pensait plus qu'à une chose à l'heure actuelle : leurs deux corps collés dans ce placard, dans le noir. C'était terriblement... excitant exaltant. Fichues hormones, quelle idée de se manifester dans un moment pareil, je vous le demande ! Et les lèvres qui vinrent se coller aux siennes ne les aidèrent pas à se calmer, bien au contraire. L'ambiance était électrisante, Ana ne tenait plus. Elle voulait ce corps, elle voulait Ludo, elle en avait besoin. Peut-être que le charme vélane était plus intense de part leur promiscuité, peut-être pas parce qu'elle n'y voyait rien, peu importe en fait, le résultat était là : Ana n'était plus Ana en ce moment, elle avait des envies d'adulte. Oui oui, vous avez bien lu et probablement bien compris, pas la peine de faire un dessin. Ses jambes flageolèrent comme à leur habitude lorsqu'ils s'embrassaient mais ils étaient bien trop collés l'un à l'autre pour qu'elle puisse avoir le loisir de tomber. La main d'Ana vint instinctivement se glisser sous la chemise de Ludo tandis que les bruits de pas se rapprochaient dangereusement. « As-tu repris ton pull ? »C'était une simple phrase pas très longue mais qui eut pourtant l'effet de détruire le petit monde d'adulte d'Ana. Son pull, fuck. Elle s'était tellement laissée entraîner qu'elle n'y avait même pas pensé ! Qu'allait penser Rusard lorsqu'il tomberait dessus ? C'est pas comme si les cachots étaient un endroit excessivement chauffé propice à se déshabiller... Et dire qu'en plus son nom de famille était marqué sur l'étiquette, merci maman ! Que penserait-il lorsqu'il verrait ce pull seul au milieu de la pièce, sans voir Ludo effectuer son travail ? C'est vrai qu'elle avait la chance d'avoir pu esquiver sa retenue grâce à sa liaison avec le concierge mais elle ne voulait certainement pas que ça lui porte préjudice ! Elle attendit que les pas s'éloignent un peu avant de lâcher un "Boulette." en se mordant la lèvre inférieure. Il faudrait vraiment qu'elle arrête d'être tête en l'air un jour, c'était à se demander si elle allait d'abord faire expulser Ludo ou d'abord le tuer. Ana faisait vraiment une piètre petite-amie. Petite-amie... C'était une appellation difficile à considérer, est-ce que c'est ce qu'elle était ? Après tout, ils ne s'étaient jamais réellement fait de demande officielle, ne s'étaient jamais dit qu'ils s'aimaient. Peut-être était-elle juste une amante en fin de compte ? Ana secoua la tête, ce n'était pas le moment de penser à ce genre de choses ! | Anastasia Stonehenge Muggle Lover ft. : Poppy Drayton
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| | | | Libéré de cette pièce sombre qui ne lui faisait pas de grâce, délivré de cet endroit humide, c’est que je devais lui donner accès à la vraie liberté. Je lui ai permis de se sauver d’une retenue, pour la simple et bonne raison que j’ai voulu passer du temps avec elle. Tout n’a pas tourné comme je le croyais, mais on s’en fou parce que la vie est remplie d’aventure et qu’elle semble en vivre pas mal celle-là. Son côté tête en l’air et son sourire, elle me fait fondre cette demoiselle et elle me fait carrément perdre la tête avec ses sottises. Je l’ai entraîné en dehors de la pièce sombre en courant à travers les dédales des couloirs, il me fallait de l’air de l’espace et dans cette pièce sombre j’étouffais. Tout aurait pu bien aller, si je n’avais pas entendu les bruits de pas, je ne suis pas le seul à les avoirs entendu probablement, mais je fus le premier à y réagir et j’entraîne Anastasia avec moi, dans mes bras pour la protéger enVERT et contre tout, dans le placard à balai le plus près. Il faut dire que ce genre d’endroit n’est pas très spacieux, mais c’est la seule cachette de disponible à ce moment. L’espace restreint à tendance à me donner des idées, il faut encore le mentionner, mais il y a longtemps que je suis seul et que je n’ai rien fait. Je n’ai pas pu m’empêcher d’aller prendre possession des lèvres de la jolie rouge et or avec qui je me trouve. Je sens mon cœur qui veut sortir de ma poitrine tellement il bat fort en cet instant. Sans compter la chaleur qui s’empare de mon pauvre corps alors que je sens sa main contre la peau de mon ventre, mon souffle se fait court et erratique. J’ai du mal à penser à autre chose qu’à l’éloctrocuté qui me chavire en ce moment même. Je sens la chair de poule qui se forme sur ma peau à son contact. Je tente de penser à d’autre chose, pour ne pas lui sauter dessus carrément en cet instant, nous étions dans un moment critiques où nous pouvions nous faire découvrir en tout temps. Spécialement si Rusard partait à notre recherche après avoir trouvé la salle dans ce désordre ou encore son pull… parce que son : « boulette » venait de me donner réponse à ma question. Je pose mon front contre le sien, son souffle qui frappe mon visage ne m’aide pas à réfléchir convenablement, mes mains sont sur ses hanches et je la colle contre moi. Merlin, il faut que je trouve une idée et vite, je ne peux pas rester cacher éternellement de Rusard non plus. Je cherche, je cherche. « Bon, il faudrait que tu ailles le chercher, pendant que je tente d’occuper Rusard ou m’enfin la personne qui est dans les sous-sol. Et surtout attends-moi là-bas. » J’ouvre la porte et la pousse en dehors du placard. Je sors à mon tour, lui fait un petit clin d’œil et je pars dans l’autre direction, à l’intersection je tourne à gauche, je dois prendre un appui, car ma tête me fait vraiment mal, je suis aussi légèrement étourdi. Je dois faire quelque chose vite avant qu’elle ne se fasse surprendre seule dans cette pièce. J’ouvre donc une porte qui est à l’opposé de l’endroit où elle est et je commence à jeter pleins de bureau par terre pour faire une cacophonie pas possible qui résonne dans cet endroit sombre. Je ressors de la pièce rapidement, je ne peux pas rester sur les lieux, je dois tenir la personne occupée pendant un moment. | ft. : Andy Black
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Allégeance : n'a pas étudié a Poudulard
Mornilles : 514
DC : Clover, Drystan, Sara, Elyssa
| | | | Les mots manquaient à Ana pour décrire ce qu'elle était en train de vivre. Qui aurait cru un jour que la fille la plus maladroite de l'histoire de Poudlard finisse dans les bras d'un gars aussi charismatique ? Qui aurait cru que la plus grande des novices en matière de relation vive un tel baiser avec un type qui avait l'air d'avoir fait ça toute sa vie ? C'était la plus divine sensation qui lui était donnée de vivre, cette simple réunion de leur deux bouches qui lui donnait l'impression de connecter leurs âmes, leurs coeurs qui battaient à l'unisson dans un rythme endiablé. Ces baisers n'étaient sûrement qu'une préface à un univers bien plus grand et pourtant, Ana aurait vendu son âme pour ne faire que ça toute sa vie. Elle était prête à élire domicile dans ce placard, qu'on lui apporte l'acte de propriété ! Penser. Penser à respirer. Non respirer tout court c'était déjà bien en fait, y penser rajoutait trop de difficulté, la tâche n'était déjà pas simple. Aller Ana, respirer n'était pourtant pas compliqué, c'était quelque chose de naturel, inscrit dans le code de survie de n'importe quel être vivant. Ana était techniquement vivante, elle était donc capable de respirer correctement, non ? Inspiratiooooooooooooooon. Expiratiooooooooooooooooooon. Inspiiiiiiratioooooooooooooon. Expii... Ah non en fait, Ludo sentait beaucoup trop bon, elle voulait inspirer son odeur enivrante un peu plus. Bon d'accord beaucoup plus. Beaucoup beaucoup plus même. Et elle aurait sûrement exploser comme un ballon si Ludo n'avait pas eu les pieds sur Terre pour elle. Elle écouta ses instructions en expirant longuement tout l'air qu'elle venait d'accumuler dans ses poumons endoloris par la sur-pression qu'ils venaient de subir. Ok, au moins la tâche qui lui avait été confiée était simple, pas besoin de trop réfléchir, c'était nickel. La Gryffondor vacilla légèrement lorsqu'il la poussa hors du placard, déstabilisée par l'absence de son pilier humain auprès d'elle. Chose surprenante, elle ne tomba pourtant pas. Enfin du moins pas jusqu'au moment où il lui lança son petit clin d’œil ravageur qui lui fit tourner la tête. Fichtre, encore raté, c'était à se demander si ses jambes n'avaient pas une déficience Ludastasienne avancée. Une fois son apollon disparu au détour du couloir, Ana se releva rapidement et se mit à la recherche du trésor laineux perdu dans les cachots. Enfin à vrai dire, c'était plus Ana qui était perdue à l'heure actuelle. Déjà qu'elle avait du mal à se repérer en temps normal, le fait qu'elle s'était faite entraînée par Ludo n'aidait en rien sa boussole interne. Puis il commençait à faire vachement froid mine de rien, à moins que ça ne soit l'absence de Ludo près d'elle qui faisait nettement redescendre la température... Un bruit fracassant résonna en provenance d'où était parti Ludo, faisant faire un bon de deux mètres à Ana qui fut heureuse pour une fois d'être petite, elle aurait certainement heurté le plafond sinon. Bon, au moins, grâce à la diversion de Ludo, même si elle ne savait pas où allait elle savait maintenant vers où elle ne devait pas aller. Il fallait maintenant prier pour qu'elle ne croise pas le mystérieux inconnu sur le chemin. C'est donc les doigts croisés (elle aurait bien croisé aussi les orteils mais c'était pas hyper pratique pour marcher) qu'elle emprunta un couloir au hasard, puis un deuxième et ainsi de suite dans l'espoir de trouver cette fichue salle. Elle avait sûrement tourné en rond plus qu'autre chose mais le miracle finit tout de même pas se produire car elle trouva la salle et cela sans croiser qui que ce soit. Ana franchit le seuil de la pièce avec une fierté démesurée, filant vers son pull comme si elle venait de trouver le plus grand des trésors. Elle s'empressa tellement de l'enfiler qu'elle ne se rendit même pas compte qu'il était à l'envers et que c'était pour ça qu'elle n'arrivait pas à faire passer sa tête à travers l'ouverture du col. Est-ce que sa liaison avec l'homme le plus sexy de la planète lui avait fait prendre la grosse tête ? Déjà ? Forçant comme si sa vie en dépendait - ce qui n'était peut-être pas faux étant donné que Rusard ou quelqu'un d'autre pouvait arriver à tout moment -, elle commença à vaciller tant elle se débattait pour passer ce fichu trou. Poussez Madame, poussez ! Elle avait l'impression de vivre un accouchement, au détail près qu'elle accouchait de sa propre tête. C'est donc sans surprise qu'elle finit par foncer dans une étagère, s'enterrant sous une montagne d'ouvrages pour recouvrir sa tombe, le pull toujours coincé sur sa tête. Mourir à l'accouchement de sa propre tête, ça c'était du grand Ana dans toute sa splendeur. Son seul regret était seulement de ne pas avoir son ange pour dernière vision. Quoi que techniquement, vu que c'était un ange, elle allait sûrement bientôt le retrouver et se laissa donc emporter par le trou noir qui gagnait son esprit. | Anastasia Stonehenge Muggle Lover ft. : Poppy Drayton
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| | | | J’entendais des pas et maintenant je n’en entends plus. Est-ce bon signe… ou mauvais ? Oh, les voilà qui vienne dans ma direction. Je tente donc de m’enfuir aussi subtilement que possible, purée, c’est vraiment un labyrinthe cet endroit, des couloirs un peu partout, y’a moyen de se perdre rapidement, mais heureusement pour la jeune femme qui doit avoir eu le temps de retrouver son pull, j’ai un pas pire sens de l’orientation quand je veux bien. Et en ce moment, je ne fais pas que le vouloir, il le faut. Je fais tomber deux trois trucs encore avant de continuer mon chemin. Et c’est là que j’entends la voix du vieux concierge se faire entendre dans les couloirs. Il sacre contre l’esprit frappeur, supposant bien évidemment que c’est celui-ci qui est à la base de ce remue-ménage. Je dois, moi, rejoindre la salle de classe que j’avais décidé de quitter plus tôt avec la jeune femme. Et quand j’arrive près de la porte, j’entends son souffle de bœuf haletant m’appeler. Je me compose donc un visage surpris de sa présence en ces lieux et me retourne vers le vieux rabougris. « Oh M’sieur, je suis surpris de vous voir ici. » Bah oui la surprise, est la meilleure tactique, j’espère juste que je n’ai pas une bosse de licorne sur le derrière de ma tête qui à pousser suite à ma chute plus tôt. Il me demande évidement ce que je fais en dehors de la salle de classe. Je lève les yeux au ciel, imaginant clairement la suite de son discours, si je fais faire une retenue, je suis sensé être là pour surveiller l’élève en question et pas pour partir en vadrouille dans les couloirs. Je tape du pied au rythme des paroles qui défilent dans ma tête pour voir si je parle plus vite ou moins que lui… « J’ai juste voulu aller voir d’où venais tout ce boucan, mais je n’ai pas trouvé personne… d’après moi … » J’allais continuer pour parler de l’esprit frappeur, sauf qu’un bruit provenant de la pièce dans laquelle je voulais retourner se fait entendre à son tour, et disons qu’il n’est pas très rassurant. Je fais donc tourner la poignée de la porte, et ce que je vois… Une étagère qui avant était pleine d’ouvrage qui sont maintenant répandu sur le sol. Merde, le concierge en chef est derrière moi et je l’entends qui rigole dans sa barbe. « An… Stonehenge ? Est-ce que ça va ? » Ouf, j’ai failli gaffer directement devant le concierge en plus, j’aurais été bon pour faire mes valises ce soir même… je me suis mis à genoux pour dégager les bouquins qui recouvrait le corps de ma jolie miss. « Mademoiselle Stonehenge est-ce que vous m’entendez ? » Je tente de la secouer un peu, j’aimerais bien qu’elle ouvre les yeux et j’espère aussi qu’elle ne dira rien de déplacé, pas avec mon patron dans mon dos qui continue de rigoler comme un gros lard. Je l’entends même dire : « On ne pouvait pas s’attendre à mieux de cette élève, toujours en train de tout faire tomber sur son chemin celle là ! » | ft. : Andy Black
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Mornilles : 514
DC : Clover, Drystan, Sara, Elyssa
| | | | Un trou noir. Si noir. Si trou. Un trou noir quoi. Une voix lointaine s'élève tandis que le néant se dissipe peu à peu, laissant place à un brouillard digne des plus grands films d'horreur clichés hollywoodiens comme on les aime. Ana ne comprenait pas ce que disait cette voix mais elle était à peu près certaine que c'était encore ses camarades de chambre qui tentaient de la réveiller dans l'espoir qu'elle ne fasse pas encore perdre des points à sa maison pour son retard mais elles se mettaient clairement le doigt dans l’œil, carrément tout au fond de la rétine même. Elle vivante, elle n'arriverait jamais à l'heure à un cours d'histoire de la magie un lundi matin, c'était une question d'honneur. De toute façon, qu'elle dorme ici ou là-bas, le résultat serait le même sauf que là tout de suite, elle était en train de faire un rêve absolument génialissime et il était hors de question d'en sortir pour un cours qui finirait en sieste cauchemar. La dernière fois que Binns s'était lancé dans un récit soporifique sur la première grande guerre des gobelins, elle s'était imaginée ses derniers la suspendre comme un jambon, la laissant s'affiner quelques jours avant de découper ses orteils pour en faire des petits saucissons apéros. L'expérience s'était révélée tellement traumatisante qu'elle n'osait même plus poser les yeux sur la moindre parcelle de charcuterie. « Mademoiselle Stonehenge est-ce que vous m’entendez ? »Ahhh, apparemment on venait de régler les paramètres de la chaîne stéréo parce que là, le son était carrément plus net. Bien, voilà déjà une bonne chose de faite. Maintenant il fallait qu'Ana retrouve la vue parce qu'elle avait vraiment hâte de contempler le visage à qui appartenait cette voix mélodieuse qui avait fait résonné son nom de famille comme si c'était la 8ème merveille du monde. Dans la bouche de ce type, elle était rudement heureusement de porter le nom de son "trèscheradoréd'amour" de paternel, pour une fois. *Aller Ana, un petit effort, t’es pas si maigrichonne que ça, tu peux les soulever tes paupières de 2 milligrammes !*Après un effort surhumain et des secondes qui semblèrent durer des années, elle réussit enfin à ouvrir un œil sous les secousses de l’Apollon qui se tenait devant elle. Wow, elle n’avait aucune idée de l’identité du type qui se trouvait devant elle mais elle voulait bien devenir son prunier officiel sans problèmes. Prunier, pommier, poirier, n'importe quoi d'ailleurs, ça ferait l'affaire tant que ça lui permettait de pouvoir mater les beaux yeux de ce mec. Est-ce qu’elle était toujours dans son rêve ou était-elle réellement décédée d'ailleurs ? Non parce qu’elle n’avait encore jamais entendu parler d’ange descendu sur Terre et ce type-là, elle aurait parié ses fesses que c’en était un, probablement leur chef même vu sa bouille à tomber par terre. Etant donné que sa tête la faisait énormément souffrir et qu'une chaîne de montagne devait probablement avoir poussé dessus, elle en déduisit donc qu'elle rêvait parce qu'on lui avait toujours apprit que quand on est mort, bah on est mort quoi, on n'est plus donc on ne souffre plus et là, elle pourrait clairement sentir la douleur jusqu'au bout de ses orteils. Décidément, elle faisait vraiment des rêves épiques ces temps-ci, il faudrait qu'elle envisage de dormir plus souvent. Aller étudier dans une maternelle moldue pour avoir des siestes l'après-midi, ça c'était le bon plan. Elle se promit d'y réfléchir plus sérieusement prochainement mais pour l'heure, elle avait un beau gosse sous le nez. C'est donc d'un ton rêveur et doux qu'elle lâcha un "T'as d'beaux yeux tu sais.", littéralement envoûtée par les prunelles bleutées qui rayonnaient devant elle. « On ne pouvait pas s’attendre à mieux de cette élève, toujours en train de tout faire tomber sur son chemin celle là ! » Le regard d'Ana se détourna de son trésor pour aller découvrir l'immondice qui ternissait le paysage un peu plus loin. Cette chose-là n'avait aucun pouvoir hypnotique, elle la reconnaissait clairement, c'était l'autre fossile de Rusard. Pas un rêve. Un cauchemar. Sauf que cet ange - parce que la merveille qui se tenait sous ses yeux était donc Ludo, qui d'autre pour être aussi beau en même temps, elle aurait du s'en douter - n'aurait pas été là dans un cauchemar. Donc un rêve. Sauf que ce diable préhistorique n'aurait pas été là dans un rêve. La réalité ? ... Une tornade passe ...Le brouillard de tantôt se dissipa peu à peu, laissant s'éclaircir la situation présente. Oh shit. Boulette. Grosse boulette même et pas en papier. Ana se releva d'un bond, oubliant que c'était une très mauvaise idée lorsqu'on venait de se faire assommer. Le brouillard revint obscurcir son champ de vision tandis qu'elle alla tout droit atterrir dans les bras de l'apprenti-concierge. Elle inhala son parfum en poussant un soupir de contentement avant que la respiration rauque du concierge lui fasse prendre conscience qu'elle enchaînait les faux pas. C'est donc toujours avec un peu trop d'empressement - parce qu'une bonne gryffondor ne faisait jamais rien à moitié - qu'elle repoussa Ludo en faisant mine d'être à la fois déboussolée et consternée. "Wow, j'ai pris un sacré coup sur la tête, je sais plus ce que je dis. Ou ce que je fais." dit-elle en se tenant la tête des deux mains et en baissant le visage pour ne pas que son air embarrassé la trahisse. "Enfin plutôt les deux d'ailleurs" ajouta-t-elle en se pinçant les lèvres, prise d'une soudaine envie de rire parce que mine de rien, d'un certain point de vue la situation était assez comique. Rusard avait l'air perplexe et quelque part il avait de quoi. Il était temps de faire sortir les talents de comédiennes inexistants d'Ana pour redonner un peu de crédibilité à cette retenue. "J'ai tout classé en tout cas, vous pouviez vérifier M'sieur !" dit-elle en pointant du doigt les piles de dossier un peu plus loin. "Par date, ordre alphabétique, gravité, tout ça tout ça enfin vous voyez le genre." Le concierge commença à feuilleter les dossiers en grimaçant et en grommelant dans son vieux menton, mécontent de n'avoir rien à redire sur le travail en réalité effectué par son apprenti qui méritait bien plus que le simple titre d'apprenti d'ailleurs. "Hum, si vous pouviez m'autoriser à me retirer parce que ça m'a pris toute la soirée, c'était vraiment éreintant." dit-elle en glissant un regard discret vers son ouragan. D'une certaine façon, elle ne mentait pas complètement. Certes ce n'était pas d'avoir classé des dossiers mais la soirée s'était tout de même révélée éreintante mais dans le bon sens du terme. Les moments passés avec Ludo étaient indescriptibles, on ne savait jamais à quoi s'attendre, ils étaient tous à la fois uniques et pourtant ils gardaient tous un trait commun : ils étaient magiques, de la magie bien plus grande que celle d'un simple tour de baguette. "Et vous voyez j'ai encore plein de devoirs à faire, je vais probablement y passer la nuit alors..." Un sourire sadique traversa le visage de l'ancêtre à la fin de cette phrase tandis que son visage se détendait, il était probablement heureux à la perspective de la nuit blanche qui attendait la fauteuse de trouble. "Déguerpit et qu'on ne t'y reprenne plus ou la prochaine fois c'est la forêt interdite qui t'attend sale gamine !" "Oui M'sieur !" ajouta-t-elle avant de se mettre en route pour son dortoir, non sans lancer son plus beau sourire à Ludo dans le dos de Rusard. Ce n'était qu'un sourire et pourtant, il reflétait clairement tout le bonheur que la compagnie de Ludo lui avait procuré ce soir ainsi que toute la tendresse et l'amour qu'elle ressentait à son égard. Elle ne savait pas si son rêve éveillé allait toujours durer mais une chose était sûre, c'était sûrement la plus belle année à Poudlard de sa vie. | Anastasia Stonehenge Muggle Lover ft. : Poppy Drayton
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Sur MM depuis : 18/04/2016
Allégeance : Gryffondor
Mornilles : 1803
DC : Stravelopoulet
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