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Stornoway est le village jouxtant l'édifice de la W.I.S.E. La route entre les deux se fait, à pieds, en une vingtaine de minutes et offre une vue spectaculaire des plages qui bordent l'île. Village tout près des montagnes est traversé d'une rivière se jetant dans la mer, charmant et pittoresque, Stornoway - à force de cohabiter avec la W.I.S.E. - est devenu un village entièrement sorcier où il fait bon vivre et travailler. Là-bas vous y retrouverez également le quartier Coigrich, un quartier qui, depuis quelques années, s'est naturellement développé avec l'arrivée d'étudiants aux origines multiples à la W.I.S.E. - sur la rue Goathill. Restaurants italiens, japonais, coréens et même canadiens y ont vu le jour. Salles de bowlings, de karaokés, petits salons de thé, boulangeries, bibliothèques, magasins de musique, terrains de foot, studios de danse, gymnases et bars ont pointés lentement le bout de leur nez, faisant maintenant compétition aux édifices ancestraux présent depuis bien longtemps dans les rues de Stornoway. welcome sur Memor Mirificus, un forum University/City/HP de type fantastique ou vous pouvez incarner moldus, sorciers ou cracmols. Le jeu se déroule a Stornoway sur l'île de Lewis, là ou la première université pour sorciers et moldus a ouvert ses portes. Vous aurez sept jours pour terminer votre fiche. aucun nombre de RP par mois n'est demandé, ni de ligne minimum par réponse. |
| Ordure.
Je sentais bien quand elle se mit à fredonner que quelque chose n'allait pas. Elle était vexée. Elle allait se venger. Madame, je me sens plus forte que tout le monde.
En un quart de seconde, me voilà stupefixé et ma baguette envoyée au lien. Je reconnais bien la force de caractère de cette famille de sang pur. Mon test était concluant. Elle est tout à fait ce qu'il me faut.
La laissant rentrer, il me suffit de quelque secondes pour prononcer la forumule sans mots pour me défaire du sortilège. Je suis en septième année, ces sortilèges sont vieux comme le monde et facile à défaire. Après un bon vieux Accio, ma baguette me revint en main. Heureusement, elle n'a rien. Si elle me l'avait cassée, je vous jure que, Grindelwald ou pas, je l'aurais tuée.
Elle a voulu jouée les rusées...mh... Je m'y connais aussi. Il me semble que je connais quelqu'un qui fournit des potions d'amour. De quoi la rendre folle de moi pendant un moment. Puis, plus je m'en fournirai, plus mes plans seront mis à exécution et c'est bien d'avoir une fille folle de moi, comme une serviteur à ma portée. Mais pour l'instant, jouons là doucement. Elle croit que je suis comme les autres. Un gars qu'elle peut manipuler. Alors faisons lui croire cela...
Mon visage de feu redevint celui de l'amoureux transi de la jeune fille. Je me rends à la salle commune et range ma baguette sous ses yeux. Les gens me regardent. Faisons durer cette amour factice. Je m'agenouille devant elle et prend ma baguette, afin de défroissé sa magnifique robe. Puis, je me relève et la fixe avec un visage de tristesse. - Tu as raison, bella. Je devrai plus me consacrer à toi, ma magnifique petite amie qu'à ces stupides admiratrices. Elles n'en valent pas la peine. Et puis, les serpentards sont les plus belles filles du monde non? Je prends doucement sa main et l'embrasse. Puis, je la fixe de ce sourire charmeur qui la ravit le plus souvent. D'un coup de baguette, je me décrotte et me rend aussi beau qu'avant. - On en était où du coup? Mon regard est posé sur l'assemblé qui semble attendri. Je sens une bête monté sur mon epaule. Green a quitter sa cachette pour rejoindre son maitre. Ah lala, ce rat me rend fou parfois lui aussi. Je caresse alors sa petite tête et le laisse vagabonder dans la salle commune. Je cherche alors l'eyeliner que ma belle avait fait tombé dans le café et lui le tend en souriant. - Tu as oublié ça, sucre d'orge. Je pensais que tu en aurais besoin pour embellir tes beaux yeux. | | | | | Bastardo.Je vois bien ce qu'il essaie de faire, celui-là. Il peut jouer le gentil tout beau tout doux mais je sais que ce n'est que temporaire. Il n'empêche qu'il a compris qu'il ne fallait pas se frotter à moi directement, et ça, ça fait toujours plaisir. Ca lui apprendra, et la prochaine fois, il y pensera à deux fois avant de jeter un sort à la grande Grindelwald que je suis. « Elles n'en valent pas la peine. Et puis, les serpentards sont les plus belles filles du monde non ? »Si les verts et argents sont les plus jolies nanas sur Terre, je suis la plus parfaite d'entre elles. Je ne dis rien, le jugeant du regard, légèrement en retrait. Il faut qu'il comprenne qu'on ne se fait pas pardonner aussi facilement de Princesse Cali. Je le laisse m'embrasser vaguement la main avec un air supérieur sur le visage. Les gens s'étonnent ou s'attendrissent autour de nous, à croire que nous sommes le sujet préféré des sorciers, ce qui est peut-être le cas finalement. Et de cette façon, tout le monde peut bien voir ma supériorité envers ceux avec qui je sors. Même dans un couple, je règne. Prenez garde de ne pas finir entre mes griffes. « Tu as oublié ça, sucre d'orge. Je pensais que tu en aurais besoin pour embellir tes beaux yeux. »Déjà de un : mes yeux n'ont pas besoin de maquillage pour être magnifique, ok ? Et de deux.. Tu me dis que les Serpentardes sont les filles les plus belles mais que moi j'ai besoin d'eyeliner ? T'es sérieux dude ? Et en plus ça m'appelle sucre d'orge. Tu vas voir comment je vais t'appeler moi. T'as de la chance que j'ai encore besoin de toi. Pour l'instant, calmons juste nos ardeurs et concentrons-nous. Je déteste l'admettre, mais desfois Collin a raison. La quête du mal n'attend pas. « Tu ferais n'importe quoi pour mes beaux yeux. »Quel dommage que ce ne soit pas réciproque. ;')Je dis ça comme une certitude, c'est évident après tout mais ça échappe encore à certaines personnes. C'est la première phrase que je prononce depuis que je suis arrivée dans la salle commune, ça souligne l'importance, les effets dramatiques et tout ça : je suis une putain de génie. Je lui prends la main et le tire vers son propre dortoir. On a clairement besoin d'un endroit au calme pour parler, et là, personne ne pensera à venir nous déranger, pensant à tout autre chose. Je m'assois sur son lit sans gêne et lui fais un signe de tête désignant le lit d'en face. Il pense pas que je vais aller poser mes fesses sur le lit d'un autre septième année non ? En fait je pourrais carrément, le lit de Dry doit traîner pas loin et il n'empêcherait jamais sa "super-gentille-amie-soeur" de s'y vautrer mais c'est plus amusant si ça peut embêter le vert. « Vas-y grand prince, pousse-moi la sérénade. »- HRP:
Ahah, enjoy. <3 Désolée pour le temps de latence, l'essentiel c'est d'y avoir répondu, nope ? ^^" Si à la fin tu veux que Coco raconte ses plans ou parle d'autre chose, fais ce que tu veux, j'ai laissé aucune indication pour te laisser le choix. C: BEUSOU. <3
| | | | | « Tu ferais n'importe quoi pour mes beaux yeux. » Tu crois que c'est pour tes beaux yeux que je fais tout ça, ma grande? C'est pour ton nom que je fais çA. Et aussi parce que tu es la seule partenaire potable que j'ai trouvée...
Je la laisse faire, suivant comme un majordome, et m'asseyai là où madame le veut. Je sors alors mes carnets et bouquins, avant de sourire simplement.
Mon plan marchera. Bien Sûr.
- Si j'en crois les vieux grimoires, il y a une potion qui permet de rendre la magie noire encore plus puissante que tout. Et puis, il y a des sortilèges et potions d'envoutements également... La préparation de la première potion dure un mois. La deuxième, une nuit. Il faudrait que nous en produisions un maximum pour envouter tout le chateau. Les professeurs principalement. Cela pourrait nous aider à capter du monde. Je pense que les horcruxes sont dépassés... Certes, Voldemort les a utilisés, mais il a été déssimé par le crétin à lunettes. Il faudrait trouvé autre chose pour l'immortalité... Cela pourrait nous servir. Je vais nous chercher dut thé. Nous en aurons bien besoin. Evidemment, le thé est un subterfuge pour y mettre ma potion d'amour. Sachant qu'il dure 24 heures, cela me laissera le temps de m'emparer de certains secrets de la Grindelwald et de la faire enfermer... La dénoncer aux professeurs pour magie noire utilisé à mauvais escient? C'est encore trop tot... Nous allons y doucement tout compte fait. Je racheterai une potion, mais pour l'instant, j'ai bien envie de me faire la jolie fille en face de moi.. ( Oui, collin est légèrement pervers)- Spoiler:
Sorry j'avais pas beaucoup d'inspi alors il est court... Je me rattraperais sur le prochain, promis!
| | | | | J'aime bien le thé. J'voulais lui proposer d'aller me chercher à boire, mais il a compris tout seul on dirait ! Bon gars va. Il est gentil au fond, j'devrais lui faire plus souvent confiance et arrêter d'être une pétasse avec lui. Mais c'est comme ça qu'il m'aime non ? Parce que je suis une Sang-Pur, une vraie, rien à voir avec toutes ces née-moldues qui ont l'air de faire le trottoir sans arrêt pour un peu de notre attention - vraiment, c'est de la pitié à l'état pur là qu'je ressens pour ces garces-là. Mais heureusement qu'Collin est pas comme ça : c'est un vrai, lui. Il sait quel valeur a le sang, c'est pour ça qu'on est ensemble. Il est comme moi, et il changera jamais. C'est pour ça qu'on est ensemble. C'est pour ça que c'est mon copain. C'est mon Coco et puis c'est tout. Et aucune pourrie ne pourra jamais rien y changer. Il revient donc avec le thé, deux tasses - j'ai pas si soif que ça mais pourquoi pas - j'en prends une et la vide cul-sec. Il aurait pu rajouter un truc, j'sais pas moi, un peu de vodka, juste du thé ça fait un peu simple pour Collin Lockhart, mais bon : j'dis ça j'dis rien. Je sens le liquide couler au fond de ma gorge et puis.. Rien. Puis rien. C'est normal, c'que du thé après t.. Je remarque que Collin s'est rapproché. Ou c'est moi qui ai bougé. C'est sûrement moi, c'est pas son lit sur lequel je suis assise. Whut, attends, que fout ma main sur son visage ? Son visage.. Oh. My. King. Comment j'ai fait pour pas remarquer son visage auparavant ? Son visage. Chaque millimètre de sa peau est carrément parfait. J'ai envie d'embrasser chaque recoin, ses lèvres, son front, ses joues. Chaque partie de lui m'appelle. J'pourrais lui sauter dessus, lui arracher ses vêtements, le prendre sauvagement contre le l.. J'secoue la tête. MayDay, c'est Coco là pas L.. Comment j'ai pu passer à côté de ces yeux, de ces pommettes, de sa fossette, de l'arête de son nez.. Ouais, c'est con, mais tout chez lui est juste magnifique. C'est stupide, personne ne prend jamais assez le temps de.. De.. Mes yeux louchent sur sa bouche. Putain, quelle bouche. J'suis nulle en compliments - ça sert à quoi d'être douée quand c'est à toi qu'on doit en faire ? - mais die que j'aurais bien prit des cours pour tergiverser des heures sur chaque coin de sa sublime peau.. Oh, et à quoi bon tergiverser ? Je sors de ma tête tous les rêves auxquels j'ai jamais pensé et je l'allonge sur le lit de son voisin (désolée mec, mais bon, tu cherches). « Je n'ai toujours pas entendu ta sérénade, enamorado. » | | | | | La potion commence à prendre effet. Je le comprends quand je la vois observer chaque coin de mon visage. C'est bizzare, mais j'aime bien la voir me regarder avec ses yeux remplis d'étoile pour une fois. La haine et la jalousie ne l'embellissent pas du tout, alors que là... Elle a l'air tellement innocente et pure... Amoureuse de moi en somme.
Je lache un petit sourire et vint lui chuchoter ces mots à l'oreille. - Ca tombe bien, j'en ai écrit une pour toi, ma jolie. Mais d'abord, j'aimerais bien apprendre un peu plus de chose sur toi et ta famille. Peut-être qu'on se mariera dans le futur, alors j'aimerais bien connaitre tout te petits secrets famillaux.Pour compléter cela, ma bouche se pose doucement sur son cou, avant de rejoindre ses propres lèvres dans un baiser doux et simple. Puis, je m'assois, à ses cotés, histoire de ne rater aucune miette de ses secrets. Cela me permettra de me protéger en cas de problème. Car, je ne veux pas continuer ce jeu. Je sais qui j'aime et ce n'est pas cette vipère de Calypso. Quitte à diriger le monde, que ce soit avec ma véritable petite amie.
Mes yeux se plongent dans les siens, suspendu à ses lèvres. Qu'est ce qu'elle attend! Devrais-je revenir à la magie noire encore?
Mes mains se déposent sur les siennes et un sourire confiant se dessine sur ma bouche. - Tu sais, je t'aime beaucoup Caly... Et j'aimerais pouvoir te protéger, même si je sais que tu es totalement capable de le faire seule, mais un petit ami sert aussi à cela... JE veux pouvoir t'épauler dans les moments difficiles et t'aider à avancer et surtout devenir la reine des ténèbres que tout le monde craindra. | | | | | Mais qui suis-je pour me tenir à côté de Collin, comment puis-je oser souiller son nom de mes lèvres impurs ? Il est si parfait.. Je descends du lit, j'm'assois par terre, si encore j'suis digne de rester près de ses pieds.. Est-ce que j'dois m'incliner ? Peut-être bien. Attendons ses ordres. Il veut en savoir sur moi, pourquoi donc ? Pourquoi pourquoi pourquoi ? J'suis pas aussi intéressante que lui, aussi hypnotique. Il n'empêche que si c'est ce qu'il veut. J'repose mon dos contre le lit, puis j'penche la tête en arrière pour entrevoir son visage dans une expression de CHEN battu. « Rien d'intéressant à savoir » j'marmonne. C'est vrai quoi. J'veux bien comprendre que l'amour de ma vie veuille en savoir plus sur moi.. Mais nan en fait, j'veux pas comprendre. J'suis nulle comparée à lui, comment peut-il s'imaginer une seule seconde que j'ai un truc intéressant à raconter ? C'est sûr, c'est mon âme-soeur. Comment ça, j'crois pas aux âmes-soeurs ? Bah lui me donne envie d'y croire, tu vois. Il veut savoir des trucs sur moi, et pas juste les derniers potins. Il veut savoir comment je vais, pas reluquer mon popotin. Ouais, j'vais l'épouser. Dominer le monde, puis l'épouser. Ouais. Bite me, Ludo. « Si tu y tiens » j'soupire en lui jetant un regard en biais, suppliant, THE regard de la pitié suprême. Ce regard de petit chien que tu préférerais tuer plutôt que de le regarder souffrir. Ce regard d'amour soumi et pas réciproque. Mon regard. « J'm'appelle Ruth - Route - Calypso Rey-Grindelwald. Mon père a abandonné ma mère dès qu'il a su qu'elle attendait un gosse. Mère l'a détesté. Elle l'insultait de tous les noms, elle maudissait le nom de Grindelwald et quand j'suis née.. C'est d'ma faute, pas vrai ? » J'lance au comble du désespoir. Je n'en parle à personne, car personne ne le mérite. Mais lui, je l'aime. C'est différent. J'aime rarement des gens moi. Et celui-là.. Nan, il ne me fera jamais aucun mal. J'vais passer ma vie avec lui, et il ne m'abandonnera pas comme mon père a abandonné ma mère. Mon père, le Grindelwald. Ma mère, la Rey du c. C'est pour ça que ma mère m'aime pas, tout est de ma faute, hmm ? J'en parle à personne, mais j'devrais peut-être m'en parler de temps en temps. « Il l'a quittée à cause de moi. Il a prit "la fuite à la Grindelwald". Tous les Grindelwald ont toujours fuit les problèmes qu'ils causaient. Tu penses que je suis comme ça, que je vais fuir moi aussi ? J'toujours dit que la lâcheté est une qualité, et haters gonna hate, mais.. »J'couvre mes yeux de mes mains. Pourquoi j'ai jamais eu tous ces doutes auparavant ? Est-ce que parce que j'me confie j'peux pas m'arrêter de penser ? Si c'est ça, c'est la première fois et la dernière que j'le fais, j'dirais plus rien.. Mais une envie irrésistible de satisfaire tous ses désirs me prend, alors j'continue : « Est-ce que j'ruine la réputation des Grindelwald ? A mon âge, tous les Grindelwald avaient déjà prouvé leur valeur, moi non. Est-ce que j'perds mon temps à essayer de prouver au monde que Calypso vaut mieux que tout le monde, alors que mon prénom c'est Route ? Si c'est pas la preuve que j'suis pas à la hauteur, c'est quoi alors ? »La domination du monde, c'est mon rêve. C'est celui de Collin, c'est celui de beaucoup de jeunes. Et j'pensais que Grindelwald me donnait le titre de tyran en chef. J'pensais. Est-ce que j'peux continuer à le penser, maintenant que je lui ai ouvert mon coeur comme jamais ? Le flot de mes paroles en est un que je ne peux contenir plus longtemps. Je mords mon poing pour m'empêcher de parler, je mords. Je m'accroche à la dernière parcelle de vie, d'amour propre et de Grindelwald en moi. De Grindelwald. Alors, comme une Grindelwald, je quitte le dortoir et je m'enfuis. Comme la Grindelwald que je suis, comme mon père. Comme une lâche. | | | | | | | | |
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