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Stornoway est le village jouxtant l'édifice de la W.I.S.E. La route entre les deux se fait, à pieds, en une vingtaine de minutes et offre une vue spectaculaire des plages qui bordent l'île. Village tout près des montagnes est traversé d'une rivière se jetant dans la mer, charmant et pittoresque, Stornoway - à force de cohabiter avec la W.I.S.E. - est devenu un village entièrement sorcier où il fait bon vivre et travailler. Là-bas vous y retrouverez également le quartier Coigrich, un quartier qui, depuis quelques années, s'est naturellement développé avec l'arrivée d'étudiants aux origines multiples à la W.I.S.E. - sur la rue Goathill. Restaurants italiens, japonais, coréens et même canadiens y ont vu le jour. Salles de bowlings, de karaokés, petits salons de thé, boulangeries, bibliothèques, magasins de musique, terrains de foot, studios de danse, gymnases et bars ont pointés lentement le bout de leur nez, faisant maintenant compétition aux édifices ancestraux présent depuis bien longtemps dans les rues de Stornoway.
welcome sur Memor Mirificus, un forum University/City/HP de type fantastique ou vous pouvez incarner moldus, sorciers ou cracmols. Le jeu se déroule a Stornoway sur l'île de Lewis, là ou la première université pour sorciers et moldus a ouvert ses portes. Vous aurez sept jours pour terminer votre fiche. aucun nombre de RP par mois n'est demandé, ni de ligne minimum par réponse.
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Angoisse nocturne

Dim 15 Mai - 18:20
Spoiler:

Il se réveilla dans un sursaut.

Les yeux grands ouverts, fixés au plafond, il concentrait tout ce qu’il avait de lucidité pour tenter de calmer son rythme cardiaque emballé à pleine allure. La respiration saccadée, le dos trempé de sueur, un poids invisible qui lui compressait le thorax.

A mi-chemin entre le sommeil et l’éveil brutal, Drystan était à moitié conscient de ce qui lui arrivait.

Lorsqu’il arriva à la réalisation qu’il était en train de faire une de ses angoisses nocturnes —cela ne lui était pas arrivé depuis si longtemps qu’il pensait en avoir fini pour de bon avec elles— et qu’il serait très embarrassant de réveiller ses camarades de dortoir avec ses halètements, il se faufila hors de son lit, puis hors de son dortoir.

Il se laissa glisser le long des murs jusqu’à la salle de bain la plus proche. Ouvrit le robinet d’eau en grand, s’aspergea le visage et la nuque, avala de longues gorgées d’eau.
La nausée et la sensation de vertige disparurent rapidement, mais son coeur tambourinait toujours lourdement dans sa poitrine lorsqu’il regagna la salle commune.

Drystan se laissa tomber dans l’un des sofas. Il se frotta le visage comme pour y effacer toute trace de fatigue. Il ne pourrait pas se rendormir. Il ne voulait pas.
Malgré l’obscurité, il parvint à distinguer sur l’horloge de la salle commune qu’il était un peu plus de deux heures du matin.
Ca ne faisait rien. Il ramena ses genoux contre son torse et les entoura de ses bras avant d’y enfouir son visage.
Il resterait là, assis en boule dans ce sofa à tenter d’apaiser sa respiration, jusqu’au lever du jour s’il le fallait.
Anonymous
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Dim 15 Mai - 21:12
Je sais que la nuit n'est pas fini, je sais qu'il y a encore quelques heures que je pourrais prendre pour dormir, mais mes yeux sont ouvert et je ne sais pas pourquoi. Ma tête est posé contre le livre sur lequel je me suis endormie. Je me redresse doucement dans la pénombre du dortoir, tout le monde est paisible, simplement le ronflement qui monte de temps à autre d'un des lits. Je laisse échapper un soupir, j'hésite entre me lever ou rester dans mon lit.

Mes doigts dansent tout doucement sur les pages ouvertes de mon livre. Je mordille ma lèvre inférieure en réfléchissant. Me lever pour aller lire un peu dans la salle commune et essayer de trouver le sommeil, ou simplement rester ici à regarder le ciel de lit et espérer pouvoir me rendormir. Le choix n'est pas trop difficile, il est peut-être deux heures passé si je me fis à ma montre posé sur la table de nuit.

Je pousse la couverture qui recouvre mes jambes et je pose mes pieds nu contre le sol froid, un frisson parcours mon corps, mais je me lève et sort du dortoir sans faire de bruit discrètement avec mon livre collé contre ma poitrine. Je marche tout doucement la tête basse et les yeux qui parcourent le sol alors que je m'habitue à la pénombre, la salle est faiblement éclairer par les braises du foyer. Je marche lentement vers un des fauteuils qui sont plus près, histoire d'absorber un peu de chaleur.

Je m'installe confortablement, mais en relevant la tête je remarque une tête blonde. Je ne comprends pas que je ne l'ai pas remarquer avant. Normalement, je le remarque automatiquement. Je me relève et pose mon livre sur une table et je marche vers lui, toujours doucement, il semble pas très bien, je ne voudrais pas lui faire peur ou le surprendre. Ma main se pose sur sa tête et je lui flatte les cheveux.

« Drystan, qu'est-ce qui se passe? »

Je pris place à côté de lui et ma main qui était dans ses cheveux descendit dans son dos pour le frictionner doucement. Il était évident qu'il n'allait pas bien, juste entendre la manière dont il respirait. J'aimerais bien savoir ce qui se passe avec lui. Je me sentais mal pour lui sans même savoir ce qui lui arrivait, le voir dans un tel état je n'aime pas ça.
Clover Montgomery
Clover Montgomery
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Sur MM depuis : 08/05/2016
Allégeance : Serpentard
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DC : Ludo, Elyssa, Sara, Drystan
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Lun 16 Mai - 5:15
Enfermé dans sa tête, à essayer de tuer le monstre qu’il avait dans la poitrine, Drystan ne réalisa pas qu’il n’était plus la seule âme qui vive dans la pièce.
Jusqu’à ce qu’une main se pose délicatement dans ses cheveux, faisant éclater sa solitude comme une bulle de savon.

Il n’eut guère besoin d’ouvrir les yeux pour savoir de qui il s’agissait. Personne d’autre ne lui caressait les cheveux avec tant de douceur, à part peut-être sa mère. Elle était à ses côtés depuis tant d’années qu’il savait identifier sa présence simplement à l’instinct.

La voix de Clover, brisant le silence confiné de la salle commune, confirma son intuition.

Pour toute réponse à sa question, il lui lança un regard de côté. Il ne savait pas exactement s’il était soulagé que ce soit elle qui le trouve dans cette situation, ou s'il n'aurait pas préféré une personne random qui l'aurait laissé gérer ça tout seul.

« Rien, » parvint-il finalement à articuler, la gorge sèche.

C’était vrai. Il ne se passait rien. A part son esprit qui avait décidé de le faire flipper en pleine nuit, une peur soudaine et irrationnelle basée sur du vent, de la fumée. Comme s’il avait un Epouvantard caché dans son cerveau, un Epouvantard qui se réveillerait de façon complètement anarchique, sans signe annonciateur. Surprise, bitch! It’s me again.
Pas étonnant qu’il ne parvienne pas à s’endormir la plupart des nuits.

Mais objectivement, il ne se passait rien.

Il sentit la main de Clover glisser dans son dos, et étonnamment, son arythmie cardiaque sembla se calmer un peu.

Une profonde inspiration. Il se redressa, se frotta énergiquement le visage avant de s’affaler contre le dossier du fauteuil, les bras croisés derrière sa nuque. Avec toute la bonne volonté qu’il put trouver, il accrocha un sourire à ses lèvres. Pas le sourire goguenard un peu idiot qu’on lui connaissait, mais une bonne imitation en tout cas.

« Et toi, qu’est-ce qui se passe, mec ? Tu me veux tellement que tu viens me chercher même en pleine nuit ? »

Mode comédien : activé.
Anonymous
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Lun 16 Mai - 21:29
La nuit reste un des moments que je préfère dans la journée, son silence enveloppant et apaisant. Dans cette salle commune souvent bondé de gens, il était impossible de s'entendre réfléchir convenablement, mais la nuit, tout était libre, presque pas d'âme qui vive dans cette pièce confortable et accueillante. J'étais venue pour y lire et y trouver le calme puisque Morphée ne voulait plus de moi en ses bras.

Mais à peine installé que j'avais remarquer le blond de ses cheveux, j'avais cru comprendre qu'il ressentait une détresse, m'enfin c'est ce que j'avais cru en voyant sa position, je suis allé le rejoindre en quelques pas, ma main passant délicatement dans ses cheveux, si doux, si … Il ne faut pas que je déraille et que je laisse mon imagination s'emballer, même si mon cœur battait un peu plus rapidement dans ma poitrine comme chaque fois que j'avais l'occasion de passer quelques minutes près de lui.

Mes yeux n'ont pas pu s'empêcher de rouler sur eux même avant de se fixer d'eux même sur le plafond quand j'ai entendu son « rien » sortir de sa bouche. Comme si j'allais vraiment le croire, mais je n'irais pas non plus le forcer à me dire ce qui ne va pas. J'ai appris à la longue à le laisser faire ce qu'il voulait, parce que c'est Drystan, pas besoin de plus d'explication que ça.

Alors qu'il se dégage pour se placer plus confortablement, j'en profite pour remonter mes jambes sous moi, puis je m'installe de manière à pouvoir voir son visage.

Heureusement que je le connais depuis longtemps, que je sais que ce genre de réplique n'est pas pour me faire de la peine, parce que sincèrement, n'importe qui d'autre me parle comme ça et c'est mon poing sur la gueule qu'il se ramasse avant qu'il n'est pu dire quoi que ce soit. Mais je ne dis pas que ça ne me fait rien qu'il me dise ça, parce que oui ça me fait un pincement à chaque fois, parce que j'ai l'air désespérer si on l'écoute.

J'hausse les épaules et je fais une petite moue dans le genre : « Je sais pas. »

« Peut-être qu'en fait je me réveille toutes les heures pour voir que tu n'es pas lever pour accourir à côté de toi et pouvoir te chouchouter comme personne aussi, qu'en penses-tu? » Une main devant la bouche je jouais la fille presque surprise, avant de reprendre mon expression normale et de passer une main dans mes cheveux.

« Non, j'étais venue pour lire,» fis-je en pointant mon livre un peu plus loin, « puis je t'ai vu... Tu veux que... je te laisse tranquille? »
Clover Montgomery
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Mar 17 Mai - 3:37
« Non ! »

Clover n’avait même pas eu à finir sa phrase. Un mouvement imperceptible de sa part qui laissait l’impression qu’elle allait se lever, et les mains de Drystan se retrouvèrent accrochées au bras de la jeune femme.
Un gamin qui aurait peur d’être abandonné par sa mère.
Il n’y avait plus aucune trace de sourire sur son visage, seulement une expression de supplication honnête et brute.
Tout, sauf rester seul.

Le moment fut bref.
Il relâcha le bras de son amie et remis son masque de Serpentard à la cool aussi vite qu’il l’avait laissé accidentellement tomber.

Se donner une contenance. Composer avec ce qu’il avait à portée de main.

« C’est quoi ton bouquin ? J’suis sûr que c’est un roman de cul à la 50 Shades of Grindelwald, pour que tu te lèves la nuit pour le lire en cachette ! »

Il avait bondi sur le fauteuil opposé, celui qu’avait laissé Clover une minute plus tôt, et se saisit du livre avant d’en lire la couverture à voix haute.

« Elfes : de la clairière à la chaumière, Histoire d’une domestication rondement menée. Wow, ça a l’air passionnant. »

Il fit mine d’en feuilleter les pages. Les lignes et les images défilaient devant ses yeux sans qu’il ne les regarde.

La vérité, c’est que son coeur était toujours lourd dans sa poitrine. Il l’imaginait en train de se débattre, prisonnier dans la serre d’un grand corbeau.
Il n’y avait rien à faire, à part se distraire. S’il lui donnait trop d’attention, l’oiseau resserrerait son étreinte.
Anonymous
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Mar 17 Mai - 21:32
Mes yeux ont suivis le geste de sa main en direction de mon bras. Il était donc évident qu'il ne voulait pas me voir partir, qu'il voulait que je reste avec lui, donc encore plus claire dans mon esprit que tout n'allait pas pour le mieux pour lui, mais il ne voulait pas en parler et il a vite repris une expression plus normale pour lui pour camoufler ce petit instant de panique que j'avais cru déceler dans ses yeux malgré la pénombre de la pièce.

« J'ai l'air d'une meuf qui lit des livres de cul? » Voyons, ou allait-il chercher de telles âneries, je ne lisait pas ce genre de truc... Humph, je vais être honnête et vous avouer que je l'ai déjà lu depuis longtemps en fait, mais pas à l'école. Puis, lire des trucs du genre... Non, pas trop souvent, il y a bien trop de choses plus intéressante que ça... Un peu comme ce livre sur les elfes que j'avais emprunté à la bibliothèque.

« Bah quoi? C'est fascinant de voir ou de comprendre comment les elfes de maisons se sont retrouver à nous servir, comment ils sont devenus des êtres qui ne jurent plus que par leur maître tu ne trouve pas? » Demandais-je en haussant un sourcil, je peux paraître étrange, mais j'aime me cultiver et en apprendre plus sur des milliers de sujets.

Je soupire, un petit sourire au coin des lèvres et je m'étends sur le sofa de presque tout mon long, repliant mes genoux et la tête appuyé contre le bras du divan. « Est-ce que tu essaie de me dire que ma lecture nocturne est loin d'être intéressante et que tu aimerais mieux que je m'occupe de toi? Parce que tu le sais que tu n'as pas besoin de tout faire ça pour que je t'écoute hein? »

Je fais rouler une mèche entre mes doigts alors que je fixe le plafond, une idée me venant en tête, bah idée c'est vite dit. « Sinon, tu veux qu'on reste ici à discuter où qu'on sorte faire une balade en forêt, prendre un peu d'air et tout ça... Promis, je ne dirais rien à la préfète.» Ma tête sur le côté je le fixe avec un petit sourire énigmatique, va-t-il accepter ou refuser cette offre. Je ne suis pas une parfaite préfète, mais je sais comment me sortir du pétrin et si ça peut le faire sourire un peu je ne dirais pas non. Il est tellement craquant quand il sourit.
Clover Montgomery
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DC : Ludo, Elyssa, Sara, Drystan
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Mer 18 Mai - 3:33
Drystan releva le nez de son livre, les yeux brillant d’un intérêt renouvelé.

Une balade nocturne en forêt ? Voilà qui paraissait complètement interdit. Et un poil dangereux.

« Tu l’as dit, tu peux pas retirer ! »

Il avait jeté le livre de Clover sur le fauteuil le plus proche, sans aucune considération pour la page qu’elle avait peut-être voulu marquer, et s’était levé d’un bond en pointant son amie du doigt.

Il prit soudainement conscience d’être en chaussettes dans la salle commune, dans son pyjama trempé de sueur et ses cheveux humides. S’il sortait comme ça, il allait attraper la mort.

« Tu m’attends ! » fit-il en reculant vers son dortoir, sans cesser de pointer son index vers elle.

Il ne lui fallut pas plus de quelques minutes pour se changer. (Est-ce qu’il avait déjà un outfit spécial « balade en forêt » tout prêt en cas d’urgence ? Ca, l’histoire ne le dit pas.)

Il enfonça un bonnet de laine sur sa tête, enroula une écharpe autour de son cou et fourra sa baguette magique dans sa botte —aucun doute qu’il en aurait besoin.
Il était en train de jeter sa cape sur ses épaules lorsqu’il rejoint Clover dans la salle commune.

« Allez, allez, en route, qu’est-ce que tu fais encore là ?? »

Rien de tel que l’adrénaline pour vous faire sentir vivant. Son sommeil agité n’était à présent plus qu’un mauvais souvenir.
Le monstre dans sa poitrine était parti se coucher.

Arrivé à la porte du cachot, il stoppa net. Il se tourna vers Clover, un sourcil levé.

« Attention hein, j’suis armé ! Au cas ou t’aurais prévu d’en profiter pour me violer dans la forêt. »

Un clin c’oeil, et il disparut dans la pénombre des couloirs des cachots.



:cl: TOUBI CONTINIOUD :cl:

love love:

look forestif de Drydrou:
Anonymous
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